Alors qu'Emmanuel Macron présente son plan de lutte contre la pauvreté ce jeudi, le dispensaire Saint Martial de Limoges répond à un vrai besoin depuis sa création il y a un an. Il a déjà reçu près de 300 patients démunis coupés du système de soins, notamment des jeunes de moins de 26 ans. Athenadental est une Société de distribution de produits dentaires en possession de plus de 5000 produits de grandes marques telles que NSK, JINME, TOSI, COXO etc. Ainsi que de diverses catégories :
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En créant le dispensaire Saint-Martial à Limoges il y a un an, l'Ordre de Malte (associé au Lion's Club et soutenu par la ville de Limoges) savait qu'il répondait à un vrai besoin. Selon l'Observatoire Régional de la Santé, près d'1 Limousin sur 4 renonce à des soins médicaux à cause d'une mauvaise couverture santé. L'objectif était donc d'offrir des consultations dentaires, ophtalmologiques et dermatologiques gratuites, ces soins étant souvent onéreux pour les patients.
Ainsi, depuis son inauguration en septembre dernier, le dispensaire a reçu et traité près de 300 patients, avec environ 400 consultations. En effet, certains d'entre eux nécessitent d'être vus à plusieurs reprises, notamment en matière dentaire.
Les soins dentaires sont justement les plus répandus au sein du dispensaire. "On voit parfois des personnes avec une bouche dans un tel état qu'elles ne mangent plus que de la purée, et se retrouvent même avec la figure déformée !" se désole Alain Bourion, responsable départemental de l'Ordre de Malte. A la sortie du cabinet, un patient confirme : "il m'est arrivé de perdre une dent, puis deux autres sur le côté. Mais je suis en situation précaire, je ne peux pas les faire soigner, alors je viens au dispensaire pour essayer de me faire poser un petit implant".
Le dispensaire s'avère utile à plusieurs populations : des sans-abris ou des personnes sans aucune couverture sociale, mais aussi des travailleurs pauvres, et surtout "un tiers de jeunes de moins de 26 ans" souligne Alain Bourion, le responsable du dispensaire, qui fait part de sa surprise : "nous nous attendions à voir surtout des personnes âgées ou des familles monoparentales, mais finalement ce public-là est peut-être sur la retenue". Difficile parfois, en effet, de pousser la porte d'un cabinet caritatif. Mais le dispensaire ne baisse pas les bras et s'efforcera de les convaincre par l'intermédiaire des différents services sociaux.