Je tenais à remercier les personnes qui m'ont laisser des commentaires d'encouragement et de soutien, c'est très gentil à vous...
Je tenais à dire également que nous avons appris le sexe du bébé de ma soeur : ce sera une petite fille et elle va s'appeler Eva. A défaut d'habits pour mon futur bébé, j'en achète avec mon mari pour ma filleule à naître =)
Sinon les (vrais) essais du premier mois n'ont rien donné, comme l'on pouvait s'en douter. Nous verrons ce que cela donne pour le mois d'août.
Je discutais avec une de mes amies qui a un petit garçon de 2 ans et qui essaye d'en mettre en route un autre quant à l'impact psychologique que le désir de grossesse à sur nous les femmes : pensez-vous vous aussi, comme elle, et comme bon nombre de gynécos, que trop y penser (soit un phénomène psychologique ou psycho-somatique) peut influencer sur la fécondité (un phénomène biologique ou physiologique) ?
Comment peut-on s'empêcher de penser, surtout nous les femmes, à quelque chose qu'on attend et qu'on espère? Comment ne pas penser au prénom de notre futur enfant, à la façon dont on va l'annoncer au père/à la famille...?
Et surtout, ne pas y penser permet-il réellement aux spermatozoïdes de notre chéri d'atteindre (plus vite) leur but?! Je ne crois pas non (puisque cela fait 9 mois que nous le faisons sans y penser et sans faire attention aux dates d'ovulation) mais c'est une question sur laquelle méditer^^
