Ainsi, l'Ideapad Y700-17ISK est un PC portable au format 17,3 pouces, proposant une dalle IPS Full HD de bonne qualité, un processeur Intel Core i5-6300HQ, 8 Go de mémoire vive et une carte graphique Nvidia GeForce GTX 960M (2 Go). Bref, des spécifications suffisantes pour, à la fois, travailler dans de très bonnes conditions, mais également jouer à des titres récents, dans la définition native de l'écran et à un niveau de détails compris entre moyen et élevé. Et ce qui nous séduit ici, et qui justifie la différence de 50 €, c'est la présence d'un SSD de 128 Go, en plus du disque dur de 1 To. De quoi profiter d'un démarrage très rapide et d'un Windows 10 très réactif.
La M-910 fait partie de la catégorie des enceintes transportables avec ses dimensions de 303 x 125 x 128 mm (L x H x P). Résistante à l'eau (IPX4), elle propose également d'un kit mains-libres. L'utilisateur peut se connecter à la M-910 via son entrée auxiliaire (mini-jack) ou en sans-fil par Bluetooth avec fonction NFC, ce qui permet de la coupler plus facilement avec un smartphone. Côté audio, l'enceinte intègre deux haut-parleurs de 2 x 15 W. Il est possible de la poser à la verticale ou à l'horizontale.
La M-710, deux fois plus petite que sa grande sœur, présente les mêmes caractéristiques ergonomiques, hormis la recharge qui s'effectue par le connecteur micro-USB et non par le secteur.Côté audio, la M-710 diffère de la M-910 en proposant une diffusion à 360° via 2 haut-parleurs à l'avant et 2 haut-parleurs à l'arrière pour une puissance totale de 10 W.
Il y a une poignée de semaines, Microsoft publiait un article vantant les mérites de son navigateur Edge, largement plus optimisé que ses concurrents et offrant ainsi une meilleure autonomie aux PC portables. Nous avons souhaité refaire ces tests de notre côté, afin de vérifier les dires de la compagnie.
Après avoir publié les résultats de quatre navigateurs web (Edge, Chrome, Opera, Firefox), sous l'angle de la consommation électrique, intéressons-nous à leur impact en terme d'autonomie. Voici comment nous avons procédé : nous avons installé les quatre browsers sus-cités sur un HP Envy 15 — test de la machine à paraître vendredi — et avons fait tourner en boucle une vidéo YouTube issue de la chaîne Les Numériques. Nous avons délibérément choisi cette méthode, et non pas une simulation de surf sur le web, afin de coller au plus près de la méthode utilisée par Microsoft sur le Surface Book.Comme vous pouvez le constater, les chiffres sont à la fois cohérents avec ce qu'avance Microsoft, mais également avec notre précédente actualité concernant la consommation électrique. Edge est ainsi un bon cran devant les autres, avec 6h15 de streaming vidéo possible, alors que Firefox arrive dernier, avec pile 4h. Le classement est cependant légèrement différent de celui de MS, qui plaçait Chrome en queue de peloton. Au final, et pour notre part, l'écart entre Edge et Firefox est de l'ordre de 36 %.
Bien entendu, ce n'est pas parce que Edge est le navigateur le plus économe qu'il est le meilleur. Chacun des outils cités ici a ses défauts et ses qualités : la praticité de Chrome, lorsque l'on utilise beaucoup les services Google, est indéniable, tandis que Firefox est sans doute le navigateur le plus sécurisé. Quoi qu'il en soit, on peut, sur ce coup, aller tout de même dans le sens de Microsoft et saluer l'excellente optimisation entre Edge et Windows 10.
La Charge 2+ qui vient d'être remplacée par la Charge 3 n'a rien à lui envier grâce à une construction solide, la possibilité de recharger un appareil, Splashproof (et non waterproof comme la Charge 3). Côté audio, on aime ses basses percutantes et sa bonne largeur stéréophonique. En revanche, on regrette l'absence de housse de transport, de puce NFC et, surtout, il sera difficile d'écouter un film — en Bluetooth — avec cette enceinte qui offre une trop grande latence. En dehors de cela, la Charge 2+ devient très intéressante avec ce rapport qualité/prix et on ne peut que vous la conseiller.
La JBL Charge 2+ est donc proposée exclusivement pour les membres Amazon Premium à 109 € dans tous les coloris sauf rouge, contre 123 € habituellement. Pour en profiter, il suffit de cliquer sur l'offre Amazon affiché à 122,70 € dans notre tableau de prix (ou sur le lien en début de news).
Lors de notre test de la Soundblaster Roar, première du nom, nous avions relevé un panel de fonction complet et un rendu sonore de qualité. En revanche, nous avions été plus critiques vis-à-vis de sa lourdeur d'utilisation, son micro défaillant ou encore son autonomie trop faible par rapport à la concurrence. Cette nouvelle version, plus petite et donc plus légère, voudrait-elle corriger le tir afin de nous séduire davantage ?
La Roar 2 perd du poids et surtout du volume, ce qui lui permet d'être plus nomade. Sur le plan esthétique, cette enceinte garde son aspect rectangulaire, mais contrairement à l'ancien modèle, se couvre de matériaux de meilleure qualité. L'absence de bande caoutchouteuse notamment, présente sur l'ancienne version, lui offre un aspect général résolument plus moderne, même si le style de vieille radio lui tient à la peau.
Les boutons sont un peu moins nombreux grâce à la suppression de deux modes : LS, qui permettait à différents utilisateurs de prendre le contrôle de l'enceinte ou encore d'appairer deux enceintes ensemble, ainsi que la fonction Sirène — bref, des applications dont on peut aisément se passer.Néanmoins, le nombre de boutons reste important, comme on peut le voir sur l'image ci-dessous. Tout à droite, un interrupteur permet de passer du mode audio au mode stockage de masse lorsque l'enceinte est connectée en USB à un ordinateur. Viennent ensuite, sur la gauche, un bouton ROAR permettant d'augmenter la largeur de la scène sonore et d'utiliser la commande TeraBass pour augmenter le niveau des graves à faible volume, puis des boutons pour le contrôle de la lecture et de l'enregistrement.
Sur la face avant, on trouve le bouton marche/arrêt, volume haut/bas et une commande multifonction permettant l'appairage en Bluetooth (si l'on ne dispose pas de puce NFC) ou encore la prise d'un appel. La connectique n'est pas en reste avec une prise mini-Jack (Aux-In), un port USB et un micro-USB. On y aperçoit également un emplacement pour carte microSD afin d'enregistrer les voix ou conversations au cours d'un appel, directement en appuyant sur la touche REC. Enfin, la transmission peut aussi s'effectuer en Bluetooth (3.0) avec les codecs AAC et aptX, qui permettent, en théorie, une restitution sonore proche de celle du CD.
L'ultime changement notable sur cette version est la perte de la fonction carte son (via USB) qui nous avait agréablement surpris, ainsi que la possibilité d'appairer deux enceintes ensembles (pour un véritable rendu stéréophonique). L'autonomie, visible à travers trois petites loupiotes, est toujours aussi décevante avec une longévité d'à peine 7 heures à 75 % du volume sonore maximum. Côté son, La Roar 2 intègre un haut-parleur de 63,5 mm pour la diffusion des graves et des médiums, ainsi que deux membranes de 38 mm reproduisant les hautes fréquences. Le tout est alimenté par une biamplification et couplé à deux radiateurs passifs.
Le spectre de la Roar 2 commence dès 70 Hz, une valeur assez basse pour une enceinte si compacte. Toutefois, les graves gagneraient à être plus percutants et génèrent un son un peu rond. Cette impression se traduit sur la courbe ci-dessus par la bosse située aux alentours de 300 Hz. On remarque ensuite un creux correspondant à la fréquence de crossover, visible sur la courbe entre 400-500 Hz. On perçoit enfin que la courbe est légèrement bombée dans les médiums, ce qui se traduit à l'écoute par un rendu global axé ces fréquences. Cela a pour conséquence de mettre légèrement en avant les voix, au passage tout à fait intelligibles.
Courbe de réponse en fréquence : en vert, la fonction Terabass est activée ; en noir, aucun effet n'est activé ; en bleu, la fonction Roar est activée.Comme on peut le voir ci-dessus, il est possible de modifier directement le niveau de graves via le mode Terabass, potentiellement utile pour une écoute à faible niveau.En atteignant un niveau sonore maximal de 85 dB, on peut dire que cette enceinte portable est relativement puissante au regard de son petit gabarit, lui permettant de sonoriser une pièce de taille moyenne. La distorsion reste plutôt faible, excepté aux alentours de 8 kHz ou l'on aperçoit un pic assez important (5-6 %) ; pic certainement à l'origine des sifflantes réellement dérangeantes que l'on ressent lors d'écoutes à fort volume. Sans être renversante, la stéréophonie reste correcte par rapport à la concurrence et se trouve encore étendue si l'on active le mode Roar (visible ci-dessus sur la courbe bleue de la réponse en fréquence).
Pour finir, la latence Bluetooth est très bien gérée et se situe, avec une valeur de 170 millisecondes, dans la bonne moyenne. Cela signifie que le décalage entre le son et l'image est si ténu que le visionnage d'une vidéo reste très agréable.
Dell a inauguré l'année dernière le nouveau design de ses PC portables XPS, en misant sur des contours d'écran très fins. Un design très réussi, au service d'une machine compacte et performante. Cette version 2016 reprend les mêmes bases et profite essentiellement d'une mise à jour du processeur.
L'année dernière, Dell nous proposait un PC portable de 13 pouces au design très impressionnant, notamment grâce à un superbe écran aux contours très fins. Quelques mois plus tard, le XPS 13 version 2016 ne change pas sa formule, mais passe à la nouvelle génération de processeur Intel. Et contrairement au modèle testé en avril 2015, la machine reçue propose un écran tactile doté d'une définition de 3600 x1800 px. Rappelons, enfin, que Dell vend ses ordinateurs uniquement sur son site, et que le XPS 13 testé ici est proposé à partir de 1599 €.
Note : Cette version 2016 du Dell XPS 13 est très semblable, à l'extérieur, au Dell XPS 13 de l'année dernière. En conséquence, nous avons procédé à une mise à jour du test de l'année dernière, en prenant en compte le nouveau processeur et la dalle en 3200 x 1800 px. Le châssis de ce nouvel XPS est constitué d'aluminium et de fibre de carbone ; des matériaux qui confèrent à la machine un aspect sérieux et qui l'allègent sans concession sur la solidité. La qualité de construction est au rendez-vous. Ce petit portable est extrêmement bien assemblé, sans jeu ni défaut visible.
Les touches sont de bonne taille et correctement positionnées. Elles offrent une frappe souple, mais avec suffisamment de consistance pour rester agréables lors de longues séances de frappe. Le touchpad est assez petit, mais la glisse est précise. Les clics gauche et droit sont rapides même s'il faut, à de rares moments, s'y reprendre à deux fois pour les déclencher. On retrouve bien sûr tous les raccourcis spécifiques à Windows 10.
En pleine charge, la machine dégage des températures pouvant atteindre 50,6°C. Ce fort dégagement thermique s'explique par le confinement des composants dans ce petit châssis. Il faudra donc veiller à le poser sur des surfaces planes pour ne pas entraver le refroidissement. Les nuisances sonores sont quant à elles assez contenues (39 dB(a) au maximum).La dalle du XPS 13 est de type IPS en 3200 x 1800 px, avec un revêtement mat. Si sa luminosité maximale est un peu faible (202 cd/m²), l'excellent — pour un ordinateur portable — taux de contraste (1104:1) offre une bonne lisibilité dans toutes les conditions de luminosité ambiante.