Concernant l'autonomie, l'Idol 4S fait légèrement mieux que le One M8, mais elle n'est pas exceptionnelle pour autant. En pratique, j'atteins rarement les deux jours d'autonomie en utilisant ce téléphone de façon modérée. Lorsque je le sollicite plus (GPS, jeux, Facebook…), il tient tout juste une journée éloigné de toute prise électrique.Globalement, ce smartphone fait bien mieux qu'un téléphone haut de gamme d'il y a deux ans. À 450 €, ce n'est pas vraiment une bonne affaire. En revanche, si son prix venait à baisser rapidement, je serais sûrement tenté…Le terminal souffre d'un problème de chauffe assez gênant en usage intensif. Cela ne concerne peut-être que mon appareil, mais j'ai aussi constaté une perte de sensibilité sur les bords de l'écran : assez inquiétant pour un portable vendu à ce prix.Excepté ces quelques défauts, l'Idol 4S reste un bon téléphone, élégant et correctement fini, que je peux recommander sans problème. La charge rapide est un véritable plus au quotidien : en moins de 2 heures, la batterie est pleine. Pour conclure, si Alcatel arrive à corriger le défaut de chauffe et de sensibilité de l'écran, ce portable n'aura rien à envier aux smartphones très haut de gamme… vendus deux fois plus cher !
Le son incomparable des 4 haut-parleurs, le design et la qualité des matériaux utilisés ainsi que les accessoires fournis font de l'Idol 4S un véritable haut de gamme. JULIE, e-commerçante
Il n'y a pas de doute : l'Idol 4S surclasse mon Asus Zenphone 2. Il fait aussi bien, voire mieux sur certains points, que mon Samsung Galaxy Note 3. Ce smartphone Alcatel m'a séduite par sa facilité d'utilisation, la fluidité de son interface et son écran Amoled lumineux, net et réactif.La Boom Key ajoute une touche d'originalité à ce mobile. Musique, photo, vidéo, jeux vidéo… Ce bouton permet d'introduire à tout moment une dose de peps et de fantaisie dans son contenu multimédia.Le son incomparable des 4 haut-parleurs JBL intégrés, le design et la qualité des matériaux utilisés ainsi que les accessoires fournis (coque, protection d'écran, kit mains-libres JBL et casque VR) font de l'Idol 4S un véritable appareil haut de gamme.
En revanche, l'impossibilité d'ajouter une carte mémoire microSD lorsque deux SIM sont intégrées dans le smartphone pourra être vu comme un défaut rédhibitoire par certains utilisateurs, notamment les professionnels jonglant avec deux lignes téléphoniques. La chauffe excessive de l'appareil pendant les jeux vidéo et la VR est aussi gênante.
Je recommande sans hésiter ce téléphone à toutes les personnes qui souhaitent acquérir un modèle double SIM avec un bel écran et un son puissant et fidèle. FAUVE, étudiante
Je possède actuellement un One Touch Idol 2S. Comparé au 4S, il n'y a vraiment pas photo : le dernier modèle d'Alcatel fait beaucoup mieux. L'interface est plus attractive, la réactivité nettement supérieure et le contraste de l'écran bien meilleur. Les couleurs sont aussi plus vives. Cet élégant smartphone permet de surfer sur Internet, d'utiliser des applications ou de jouer sans rencontrer le moindre problème de saccade ou de ralentissement.
Du côté des défauts, je reproche à l'Idol 4S la qualité de ses photos en basse lumière ainsi que le bouton d'alimentation/veille assez mal placé.Il est vrai qu'Alcatel nous a habitués à des prix plus attractifs. La présence d'un casque VR atténue toutefois cette déception. À ce tarif-là, un capteur d'empreintes digitales aurait été le bienvenu. Je recommande sans hésiter ce téléphone à toutes les personnes qui souhaitent acquérir un modèle double SIM avec un bel écran et un son puissant et fidèle. Bon point aussi pour la coque et le film protecteur d'écran fournis en standard.
À la place de la rédaction des Numériques, j'attribuerais 4 étoiles à ce téléphone performant et élégant. Un bon rapport qualité/prix pour résumer ! BENOIT, informaticien
L'Idol 4s est un très bon mobile. Dans presque tous les domaines, il est clairement plus performant que mon LG G3. Son look réversible — vous pouvez l'utiliser dans n'importe quel sens ! — et son excellente finition lui confèrent un certain cachet. De nombreux collègues (plus ou moins geeks) sont venus regarder l'appareil avec intérêt.
Je pense que la partie son est clairement ce qui impressionne le plus. L'écran se révèle largement meilleur que celui de mon G3. Le rechargement s'avère très rapide avec l'adaptateur fourni, ce qui est plutôt une bonne chose vu l'autonomie limitée de la batterie. En usage intensif, vous ne tiendrez pas plus d'une journée sans faire le plein d'électricité !De même, Alcatel doit absolument procéder à une correction de son logiciel photo pour améliorer la qualité et la rapidité de la mise au point des clichés en milieu peu éclairé. Je regrette aussi que la batterie ne soit pas amovible. D'autant plus que le téléphone n'est pas compatible IP68 [résistance à la poussière et à l'eau, NDLR]…L'expérience VR se révèle quant à elle plutôt sympathique, mais le manque de contenu en fait plutôt un gadget pour le moment. À la place de la rédaction des Numériques, j'attribuerais 4 étoiles à ce téléphone performant et élégant. Un bon rapport qualité/prix pour résumer !
Dans l'ensemble, l'Alcatel Idol 4S a convaincu nos quatre lecteurs-testeurs. Design et ergonomie réussis, performances au rendez-vous, bel écran Amoled, son puissant… Ce smartphone fait l'unanimité. Des mises à jour seraient toutefois les bienvenues afin de corriger la qualité des photos en basses lumières ainsi que la chauffe excessive de l'appareil dans les jeux vidéo 3D et VR.
Sur le plan esthétique, la T7 arbore de nouveaux coloris. La base est disponible en noir ou en marron, associée à une housse en cuir noir ou marron avec un intérieur en daim confectionnée par Burberry et finie à la main en Italie.
Le reste de cette enceinte portable est identique à la T7 originale et conserve une finition impeccable, une excellente autonomie d'environ 18 heures. Côté audio, on aime sa très bonne puissance, le son précis et sa jolie stéréophonie, le tout avec un taux de distorsion contenu. Néanmoins, l'absence de kit mains-libres, de NFC ou encore de port de recharge USB pour smartphone lui font perdre une précieuse étoile.
Alors que le déploiement du Wi-Fi se poursuit dans les gares françaises, la SNCF vient d'annoncer qu'elle avait enrichi son portail d'un troisième mode de connexion à destination des usagers. Désormais, ceux-ci peuvent accéder au réseau avec leurs identifiants Twitter.
À en croire la SNCF, 176 gares dans l'Hexagone ont déjà été connectées, dont 60 sur le réseau Transilien. Cela signifie que dans chacune de ces gares, il est possible de dégainer son smartphone, sa tablette ou son laptop et de trouver un point d'accès Wi-Fi estampillé SNCF. Dans tous les cas, deux formules sont proposées. La première ne nécessite pas d'authentification et offre une session de surf de 20 minutes à 512 kb/s en échange du visionnage d'une publicité. La seconde, elle, passe par la case authentification, mais élimine pour ce prix la limite de durée de la session et fait grimper le débit théorique à 2 Mb/s.
Or, c'est précisément cette option — avec authentification — qui vient d'évoluer. Alors qu'il fallait jusqu'ici se créer un compte dédié, il est désormais possible de se connecter au moyen de ses identifiants Twitter. Selon la SNCF, cette nouvelle méthode de connexion évite aux utilisateurs Twitter d'avoir à recréer un nouveau compte, et leur donne rapidement et simplement accès à la meilleure expérience de surf en gare. Mais pour le réseau social, l'enjeu est ailleurs. D'après Damien Viel, directeur général de Twitter France, il est surtout important que les utilisateurs de Twitter en France puissent accéder aux services de [la] plateforme où qu'ils soient, y compris pendant leur temps de transport.
Quoi qu'il en soit, la SNCF, de son côté, ne manque pas de se féliciter que plus de 6 millions de visiteurs soient en mesure, chaque jour, de profiter de ce service. Elle annonce d'ailleurs prévoir un sérieux effort de déploiement dans les mois à venir : si tout se passe bien, son prestataire (Nomosphère) aura équipé 345 gares à l'horizon 2017. On nous précise même qu'il est question de 129 gares nationales, 175 transiliennes et 41 gares TER en Rhône-Alpes.
Razer était une des premières marques de périphériques gaming à introniser les intras avec ses Hammerhead. Quelques années plus tard, elle revient avec les Hammerhead V2, qu'elle a décliné en deux versions, avec ou sans micro. Nous avons jeté notre dévolu sur la version Pro pour éprouver toutes les possibilités offertes par ce nouveau modèle.
Les Hammerhead Pro V2 ne révolutionnent pas le monde des intras et misent sur la simplicité. La qualité de construction et le travail sur les finitions sont globalement très corrects. On retrouve l'habituel jeu de coloris noir et vert ainsi que le logo incrusté dans un bouton sur la base de chaque intra. Ces derniers sont reliés par un câble plat de 1,2 mètre qui se termine par un connecteur coudé mini-jack 3,5 mm à 4 points et qui propose une commande avec contrôle du volume et un bouton multifonction.
Celui-ci est compatible iOS, mais pas totalement compatible avec Android (pas de retour arrière) et encore moins avec un portable Windows, car aucune commande ne fonctionne, ce qui est particulièrement étrange et handicapant. De plus, le câble est sensible aux bruits de contact ; un peu moins aux bruits de frottement.Les Hammerhead Pro V2 se placent facilement et confortablement dans les oreilles. Trois paires d'embouts uniflange sont fournies en 3 tailles (S, M et L) ainsi qu'une paire biflange. En revanche, avec quelques testeurs, nous avons remarqué que la partie légèrement crantée des intras a tendance à se frotter sur la conque, ce qui peut vite devenir gênant. En dehors de cela, ces intras ne provoquent pas une très forte pression une fois positionnés dans l'oreille et ils tiennent très bien en place.