Nous n'avons pas testé ce modèle en particulier, cependant la lecture de la fiche technique nous éclaire sur ses capacités. Nous retrouvons donc un processeur i5-5200U accompagné de 8 Go de mémoire et d'un disque dur de 1 To. Cette configuration est capable de faire tourner bon nombre de programmes. Seuls les plus lourds comme le traitement photo et vidéo demanderont à l'utilisateur d'être un peu de patient. La carte graphique Nvidia GeForce 840M peut quant à elle convenir pour jouer à un certain nombre de titres dans la définition native de l'écran (1 600 x 900 px), à condition de mettre le niveau de détails graphiques sur moyen, voire faible pour les jeux les plus gourmands. Elle décode en revanche sans aucun souci n'importe quel fichier vidéo.Pour la connectique, on peut compter sur deux ports USB 3.0, un port USB 2.0, un lecteur de cartes SD, une prise Jack combo casque-micro, une sortie HDMI, une VGA et un port Ethernet. La connectivité sans fil est assurée par le Wi-Fi ac et le Bluetooth 4.0.
Annoncée lors du CES 2016, la Galaxy TabPro S est une nouvelle tentative de Samsung sur le marché du 2-en-1. Pour ce faire, le constructeur coréen recycle habilement le design de ses tablettes Galaxy Tab S, y intègre Windows 10 et propose en série un étui doté d'un clavier. Pour moins de 1000 €, on se retrouve donc avec une concurrente directe de la Surface Pro 4 de Microsoft, sur le papier tout du moins.On pourrait tout à fait résumer le design de la Galaxy TabPro S par un mélange de Galaxy Tab S et de Galaxy Note Pro 12,2. Samsung reprend en effet le châssis ultra-fin (6,2 mm sans le clavier), la coque en magnésium, les contours en métal, les coins arrondis et une confortable diagonale de 12 pouces. La tablette seule pèse 696 grammes, et son étui ajoute 388 grammes sur la balance, pour un total de 1084 grammes. On reste donc dans la catégorie ultraportable. Comme souvent dans cette gamme de produits chez Samsung, la finition est excellente et l'ensemble respire la solidité.
Ce fameux étui, justement, est globalement convaincant. Le revêtement imitation cuir désormais bien connu chez Samsung est agréable au toucher, mais semble toujours un peu fragile. Il recouvre intégralement la tablette, mais nous avons constaté un léger décalage au niveau de l'objectif de la caméra arrière sur notre modèle de test.
Une fois l'étui ouvert, un aimant permet de connecter la tablette au clavier en un clin d'œil. Le système est astucieux, fonctionne extrêmement bien et permet de basculer en mode laptop très rapidement. L'écran peut s'incliner dans deux positions différentes : soit quasi verticale, soit presque horizontale. Pas d'autre position, ce qui est un peu dommage et finit par nuire au confort d'utilisation. L'usage sur les genoux est envisageable, le support restant assez stable une fois posé. Nous sommes loin du confort d'un vrai laptop, mais tout de même au-dessus de la solution proposée par la Surface Pro 4.
Par son format, sa légèreté et sa finesse, la Galaxy TabPro S est clairement à ranger dans la catégorie des grandes tablettes accompagnées d'un clavier. En résulte un produit hautement mobile, que l'on transporte très facilement et qui se range dans n'importe quel sac de taille moyenne, d'autant plus que son étui protège bien l'ensemble.
Le bilan concernant l'autonomie est un peu plus mitigé. La machine profite d'une batterie 5200 mAh, pour une autonomie annoncée de 10 heures. La réalité est un peu moins rose, puisque notre test de lecture vidéo sous Netflix (sous Chrome, casque branché, luminosité à 200 cd/m²) a tourné pendant 4h48. Un constat décevant, surtout en comparaison des autres tablettes du marché sous Android ou iOS, mais qui mérite cependant d'être nuancé : dans le cadre d'un usage plus polyvalent, mêlant bureautique et web, et en jouant sur la luminosité et l'économie d'énergie, on monte facilement à 9 heures de durée vie. Notons enfin qu'un cycle de recharge complet prend environ 2h30.
La sortie casque de la Galaxy TabPro S est de très bonne qualité : la distorsion est très faible (0,009 %), la puissance sonore est élevée (130 mVrms) et l'ensemble du spectre sonore est très bien restitué.
Cdiscount nous propose une remise très intéressante de 299 € sur cet ordinateur 17,3 pouces polyvalent (43,9 cm). Le Lenovo Y70-70 est équipé d'un processeur d'avant-dernière génération (Haswell), d'une carte graphique dédiée Nvidia GeForce GTX860M et d'un disque dur mécanique hybride de 1 000 Go avec 8 Go de mémoire flash. Une configuration convenable avec laquelle on pourra même jouer pour 699,99 €.
Ce portable n'est jamais passé sur notre banc de test, mais sa fiche technique nous indique quelle utilisation en attendre. Nous retrouvons donc un processeur i5-4200H (testé sur le Acer V Nitro) accompagné de 4 Go de mémoire et un SSHD de 1,08 To. Cette configuration permet à la machine d'avoir une bonne réactivité globale, tandis que les programmes tels que le surf Internet, le traitement de texte, l'export photo sous Lightroom ou l'encodage de vidéos ne poseront aucun problème. La partie graphique n'a pas non plus été oubliée avec une Nvidia GeForce GTX 860M. Elle permet de jouer dans de bonnes conditions (niveau de détails sur haut ou moyen) dans la définition native de la dalle IPS. Cette dernière affiche une définition Full HD (1920 x 1080 px).
Côté connectique, on peut compter sur deux ports USB 3.0, un port USB 2.0, un lecteur de carte SD, un port jack combo casque-micro, un HDMI, un VGA et un port Ethernet. La connectivité sans fil est assurée par le Wi-Fi ac et le Bluetooth 4.0. La machine profite de plus d'un clavier rétroéclairé de couleur rouge et d'une finition mêlant le plastique et l'aluminium.
Les Freedom partagent des points communs avec les X2, les derniers intras en date signés Jaybird que nous avons testés. Toutefois, les Freedom ne jouent pas tout à fait dans la même catégorie puisque leur châssis a subi une très sévère cure d'amincissement. Cette finesse de conception lui permettrait notamment d'épouser bien mieux le bas du pavillon, afin d'être utilisé avec un casque de moto par exemple. Cerise sur le gâteau, le châssis est totalement en métal et promet une résistance accrue à la sueur et à l'eau.
Pour ce qui concerne les nombreux accessoires dédiés au confort, ce modèle ne fait pas exception à la règle. On retrouve 3 paires d'embouts en silicone, 3 paires d'embouts en mousse à mémoire de forme Comply (un peu aéré et spongieux que ceux habituellement fournis), 3 paires d'ailettes en silicone à loger sous la conque pour favoriser le maintien, 2 petits adaptateurs de gestion du câble pour le resserrer à l'arrière ainsi qu'une pince. Comme les UE Custom, les Freedom peuvent être portés de deux manières : en position standard avec le câble qui passe par en bas, ou en position in-ear, avec le câble passant par le haut et derrière l'oreille. Les quelques heures que nous avons pu passer en leur compagnie nous ont rapidement confirmé cette volonté d'offrir un confort à toute épreuve, même s'il faut avouer qu'un temps d'adaptation est nécessaire pour comprendre comment placer les ailettes et surtout trouver la bonne taille pour chaque élément.
Lors de notre article de présentation des UE Custom, nous avions évoqué la participation de Jaybird sur l'intégration d'un boîtier de commande pour la communication Bluetooth et le contrôle de la lecture. Les Freedom bénéficient de ce même boitier, avec les mêmes possibilités (Bluetooth multipoint, kit mains-libres, contrôle du volume et bouton multifonction) et surtout le système astucieux de batterie portable qui permet de recharger les intras ou d'étendre tout simplement le temps d'utilisation en branchement direct.
Avec la promesse initiale de 4 heures, les Freedom ne porteraient pas bien leur nom sans cette petite batterie, qui allonge la durée d'écoute à 8 heures. 20 minutes de rechargement permettent d'ailleurs de profiter d'une heure de lecture. Pour le moment, nos quelques jours d'utilisation confirment cette autonomie et attestent par ailleurs d'une excellente facilité de prise en main : la plupart des actions importantes sont notifiées soit par des indications sonores, soit par des indications vocales, pour le moins énergiques. Seul bémol, le volume des alertes vocales est un peu exagéré, surtout si votre niveau d'écoute est faible.
Pour parfaire l'expérience sonore, Jaybird propose une application entièrement dédiée à la personnalisation sonore. Le fabricant aurait cherché une réponse en fréquence neutre pour ses intras pour ainsi laisser la liberté à l'utilisateur de personnaliser son expérience d'écoute via l'appli. MySound App (iOS, Android smartphones, tablettes et smartwatches) offre donc un égaliseur paramétrique relativement simple qui communique directement à la puce interne des intras pour transmettre automatiquement les changements opérés.
Les modifications apportées sont gardées en mémoire par la puce, il n'est donc pas obligatoire de garder l'appli lancée pour conserver ses préférences. Cet EQ est avant tout pensé pour les néophytes, mais il est possible d'opérer un réglage un minimum précis, sous réserve d'avoir un minimum de doigté. Cette application dispose également de quelques presets partagés par les partenaires sportifs et d'une partie sociale qui permet de partager son EQ avec d'autres utilisateurs.
La promesse d'Izzy, c'est une configuration d'un simple geste — sans routeur, mot de passe ou application. Le système est à la fois bien plus souple (avec la possibilité, enfin, d'écouter ses podcasts, YouTube, ses mémos, etc.) et plus compatible que les autres systèmes multiroom (possibilité se connecter à n'importe quel appareil, pourvu qu'il soit équipé du Bluetooth). La contrepartie, c'est une qualité audio limitée à 16 bits/44,1 kHz et une distance maximale entre le terminal et l'enceinte maîtresse de 10 mètres, sans compter les obstacles. Sous le patriarcat Gibson, la famille Izzy s'est récemment agrandie ; jetons ensemble un coup d'œil au faire-part des naissances.
Un port USB est disponible — seulement pour la recharge d'appareils idoines — ainsi qu'une entrée analogique. Tout comme les autres enceintes de l'écosystème Izzy, la BM5 peut être appairée avec 5 de ses consœurs.
De son côté, la BM6 est une enceinte multiroom... portable ! Elle promet 8 heures d'autonomie en Bluetooth et 4 en multiroom. De manière analogue, elle consomme 15 watts sur secteur pour 10 sur batterie. La naïade nomade est certifiée IPX4 (protégée contre les projections d'eau de toutes directions) et peut basculer entre la musique de deux appareils différents grâce à la fonction Multipair.
La dernière, mais non la moindre, est la seule descendante connue à ce jour d'Izzy... et de Fidelio. Les amateurs de la sous-marque pourront se ravir de cet enfantement : la BM90 est bien entendu équipée du Bluetooth, mais aussi d'un lecteur CD (CD-MP3, CD et CD-R/RW), d'un Tuner et d'un port USB — cette fois-ci pour la lecture également, mais seulement en MP3.