Comme c’est le cas chaque année pour tous ceux qui le peuvent, voici le temps tant attendu des vacances. Pendant cette période, plutôt creuse en matière d’actualité, mais également en matière de visites, elle permet de laisser de côté l’aspect blog pour revenir aux choses essentielles que sont la détente, la famille et les loisirs.Alors que vous êtes nombreux à être revenu de vacances (oui, j’en ai croisé plein samedi), il est temps pour moi de prendre quelques jours. Après une année très riche, je vais en profiter pour me déconnecter totalement du Web. Pour ce faire, j’ai décidé de me rendre à la montagne, aux Orres 1800 pour être précis, une commune française située dans le département des Hautes-Alpes en région Provence-Alpes-Côte d’Azur.
Autrement dit, très peu de réseau de données, pas de connectivité Wi-Fi et de télé à l’appartement. Vous l’aurez donc compris, c’est une déconnexion totale pour profiter au maximum de la nature et de la détente.Donc oui, vous ne verrez pas des dizaines d’articles par semaine sur le blog, mais plutôt quelques-uns qui restaient en suspens dans mes brouillons, et notamment divers tests que je n’ai pas publiés. Et puis, si je m’éclipse rapidement, je partagerais sur les réseaux sociaux les articles du jour qui me paraissent pertinents. Je vais également en profiter pour faire le tirage au sort des concours qui ont très bien marché.Lorsque vous utilisez une connexion HTTPS, les adresses que vous visitez sont censées être chiffrées, quel que soit le réseau auquel vous êtes connecté. Néanmoins, une vulnérabilité récemment découverte prouve que ce n’est pas nécessairement une vérité absolue.
Si vous êtes connecté à un réseau sans fil non sécurisé, en particulier un qui n’a jamais été vérifié, le HTTPS seul ne vous protégera pas, ont déclaré les chercheurs en sécurité Itzik Kotler et Amit Klein lors d’un discours à la conférence de sécurité Black Hat à Las Vegas. Avec la bonne configuration, un réseau malveillant peut découvrir chaque URL soi-disant protégée que vous avez visitée.« Nous allons démontrer que, en forçant votre navigateur/système d’utiliser le fichier de Configuration Automatique de Proxy ou fichier malveillant .PAC, il est possible de récupérer les données d’une URL en HTTPS », explique les deux chercheurs. La vulnérabilité affecte potentiellement les ordinateurs Windows, Linux et Mac indépendamment du navigateur : IE, Safari et Chrome. Mais pas de panique en ce qui concerne vos connexions à la maison ou au travail. Si vous vous connectez à un réseau sécurisé, vous n’êtes pas affecté. À contrario, c’est quelque chose que les propriétaires de soi-disant réseaux Wi-Fi libres pourraient mettre en place dans le cadre d’une opération de phishing.
Il est intéressant de noter que le contenu des sites que vous visitez n’est pas révélé par cette vulnérabilité. Mais, de nombreux sites mettent des informations vitales, telles que les noms d’utilisateur et les mots de passe, même dans les URL en HTTPS. C’est une mauvaise pratique de sécurité que prennent certains développeurs qui supposent que le HTTPS protège les informations dans de tels cas.Dans d’autres cas, même le partage des URL que vous visitez fournit trop d’informations aux potentiels hackers.La seule façon d’être vraiment à l’abri des exploits comme celui-ci est de ne pas se connecter à des réseaux que vous ne connaissez pas. Si vous êtes dans un café, vérifiez qu’il propose une connexion Wi-Fi et le nom du réseau avant de se connecter.Et même si un réseau non sécurisé est attesté, sachez que certaines informations peuvent être visibles de tous même si vous utilisez une connexion HTTPS. Les failles comme celle-ci prouvent que les réseaux Wi-Fi publics ne sont pas sans risque. Restez donc vigilant…
Cependant, notez que tous les utilisateurs ne seront pas en mesure d’utiliser Electrolysis dès son lancement. Au lieu de cela, Mozilla est en train de déployer progressivement cette caractéristique. Aujourd’hui, seulement environ 1 % des personnes qui installent Firefox 48 vont pouvoir utiliser la nouvelle architecture multiprocessus. Dans le futur, Mozilla va étendre cela à davantage d’utilisateurs, sauf si les tests ne sont pas concluants.Firefox 48 offre le support mutiprocessus, encore limitéFirefox 48 offre le support mutiprocessus, encore limité
Afin de vérifier si vous êtes dans l’échantillon de test, tapez about:support dans la barre d’adresse du navigateur, puis cherchez « Fenêtres multiprocessus ». Il est mentionné « 0/2 (désactivé) », c’est que ce n’est pas le cas. Vous ne voulez pas attendre que Mozilla active l’option pour vous ? Vous pouvez forcer le support multiprocessus manuellement.Outre cette gestion multiprocessus, Firefox 48 pour les ordinateurs de bureau, et sur Android apporte son lot de nouveautés. Entre autres choses, vous allez pouvoir synchroniser la liste de lecture de votre smartphone pour que vous puissiez accéder à la même liste sur votre ordinateur portable ou de bureau.
Microsoft Windows 10 Anniversary Update est maintenant disponible pour les PC y compris les ordinateurs portables, de bureau, les tablettes et les dispositifs convertibles (2-en-1). Mais que faire si vous êtes l’un du petit groupe d’utilisateurs avec un smartphone sous Windows 10 Mobile ?Vous devrez attendre un peu plus longtemps. Microsoft précise que la mise à jour anniversaire (Anniversary Update) sera disponible pour les téléphones « dans les prochaines semaines ». Autrement dit, nous n’avons pas de date précise, et les « prochaines semaines » peuvent être une à deux dans le meilleur cas, ou de quatre à six semaines ou plus.Il s’agit donc d’une mauvaise nouvelle. Néanmoins, les bonnes nouvelles sont que la mise à jour ne va pas vraiment vous manquer. En effet, si la mise à jour Anniversary Update apporte un tas de nouvelles choses pour les utilisateurs sur un périphérique de bureau, y compris des fonctionnalités améliorées Windows Ink, le support des extensions dans le navigateur Web Microsoft Edge, et même la possibilité d’exécuter certains logiciels Ubuntu Linux sous Windows, ce n’est pas la même chose pour les utilisateurs sur mobile.
La mise à jour Anniversary Update de Window 10 Mobile n'est pas prêteLa mise à jour Anniversary Update de Window 10 Mobile n’est pas prête
Ces derniers sur mobile ne reçoivent aucune de ces caractéristiques de Windows 10 Anniversary Update. Néanmoins, la mise à jour inclut une icône de caméra sur l’écran de verrouillage pour ouvrir rapidement l’application Appareil photo, la possibilité de personnaliser le centre de notifications, et les « Chaseable Tiles » sur l’écran d’accueil qui permettent aux applications d’en savoir plus sur la façon dont vous interagissez avec leurs Lives Tiles – cela signifie que dès que vous cliquez sur une telle tuile lorsqu’une information est affichée vous amènera au sein de l’application, où se situe l’info affichée.
Bien que cette décision puisse être frustrante pour les utilisateurs sous Windows 10 Mobile qui peuvent à nouveau se sentir mis à l’écart par Microsoft elle-même, cela semble plutôt logique puisque les dernières builds poussées aux membres du programme Insider ne semblent tout simplement pas prêtes pour le prime time.Les bugs sont toujours là, et la performance globale du système d’exploitation a besoin d’être peaufinée, ce qui est probablement la principale raison pour laquelle la société a décidé de ne pas déployer la dernière version de suite, et ainsi continuer à travailler sur la mise à jour Anniversary Update pour les appareils mobiles.
Si cela a été l’une des caractéristiques évoquées pour l’iPhone 7, malheureusement elle n’est pas apparue. Allons-nous la voir dans l’iPhone 8 ? Peut-être.Vous vous retrouvez à naviguer sur le Chrome Web Store pendant que vous êtes sur votre mobile, et vous tombez sur une extension ou une application vraiment géniale. Dès lors, vous souhaitez désespérément l’installer sur votre ordinateur. Que faire ? Si jusqu’ici vous deviez vous rendre sur votre ordinateur dans les plus brefs délais, aujourd’hui Google introduit une nouvelle fonctionnalité qui va exactement faire cela : un bouton qui installe des extensions Chrome à distance.En théorie, c’est assez simple. Comme l’a découvert Android Police, lorsque vous visitez la page Web d’une application ou d’une extension du Chrome Web Store sur votre smartphone, vous avez deux options à l’écran : la partager avec un ami par e-mail ou les réseaux sociaux, ou « l’ajouter à votre bureau ». Si vous optez pour cette dernière option, une pop-up informative vous alerte sur le fait que l’extension en question sera installée « [à] tous les ordinateurs où vous êtes connecté à Google Chrome ».