Pour créer une expérience sans fil, il est devenu indispensable que le client puisse arriver en magasin avec son terminal personnel sur lequel il a, par exemple, commencé à faire son shopping. Pas question pour le consommateur d’accepter de ne pas bénéficier du travail qu’il a exercé, en amont en ligne. Dans une chaîne comme Darty, la question est d’autant plus sensible que les achats réalisés peuvent être d’une valeur très importante.Par ricochet, ce changement a conduit les magasins à équiper les vendeurs de tablettes. En effet, la force de vente vivait très difficilement le renversement de pouvoir qu’induisait ce consommateur savant, a expliqué en substance le directeur du e-commerce de Darty. C’est une des problématiques majeures auxquelles sont exposés nombre de magasins. Après des années où le vendeur conseil était le sachant de la relation, aujourd’hui de plus en plus de clients arrivent armés d’un savoir qui peut dépasser celui du chef de rayon. Armé d’un téléphone portable face à un vendeur démuni, la relation devenait chaque jour un peu plus compliquée. Il fallait ramener le client vers un ordinateur fixe, sachant qu’un magasin contient en moyenne un cinquième des références présentes sur le site Internet. La tablette sert aussi à recréer un lien entre le client, le vendeur et le produit, explique Olivier Godart. C’est aussi ce qui a permis à Darty de mettre en place de nouveaux services comme la wishlist ou les solutions store to web où un client qui commence son achat en magasin peut le finaliser quand il rentre chez lui.
Plutôt que de sortir le chéquier pour une lourde acquisition, comme il l'avait fait avec Yammer ou Skype, justement, Microsoft a préféré en concevoir sa propre version. Skype Teams disposera de nombreuses fonctionnalités similaires à Slack, la principale étant les channels, des groupes de discussions par équipe. Messages privés et partages de fichiers seront également de la partie, ainsi que des fils de discussions (comme sur les forums), une option dont Slack ne dispose pas. Selon le site, ces fils permettront de suivre une conversation donnée (chaque réponse étant connectée à un message spécifique) en faisant fi des commentaires non pertinents et de l'ordre chronologique.
UNE INTÉGRATION PRÉVUE DANS OFFICE 365
Skype Teams profitera également de son lien de parenté avec Skype pour permettre des appels vidéos (privés ou en groupe) en un clic, et il sera possible de planifier des réunions en ligne directement dans l'application. L'un des grandes forces de Slack est sa capacité à se connecter à d'autres services (Dropbox, One Drive, etc.), et Skype Teams devrait également émuler cet aspect. Il sera tout d'abord intégré à la suite Office 365, et devrait aussi pleinement bénéficier du Bot Framework de Microsoft. Enfin, le logiciel disposera d'un onglet Fun Picker pour se divertir à l'aide d'emoticons, gifs animés et autres.
Comme Slack, Skype Teams sera disponible sur le web, sur ordinateur et sur smartphones (Android, iOS et Windows Phone). L'éventuelle date de sortie reste inconnue.
Certains sont prompts à agiter le spectre de masses désociabilisées par la réalité virtuelle, comme ce fut le cas lors de la surprise orchestrée par Mark Zuckerberg pour sa venue à la conférence Samsung Unpacked il y a quelques semaines, à Barcelone. Pourtant, de nombreuses entreprises, comme la start-up BigScreen, travaillent d'arrache-pied pour permettre une meilleure collaboration, même à distance, grâce à ce nouveau média.
La réalité virtuelle, un média isolant et désociabilisant ? Détrompez-vous. Entre de bonnes mains, un environnement virtuel peut devenir un terrain pour se retrouver à plusieurs, que ce soit pour travailler ou se distraire. C'est ce sur quoi travaille BigScreen, une start-up californienne fondée par deux vétérans de la Silicon Valley.
Son application (éponyme) permet aux utilisateurs de se servir de leur ordinateur (sous Windows) dans un environnement virtuel via des fenêtres dédiées et de le partager à d'autres personnes, qui apparaissent sous forme de têtes éthérées. Et pas question ici de limiter l'usage à certaines applications spécifiques, comme ce que propose déjà Oculus par défaut avec Oculus Social (partage de vidéo Twitch ou Vimeo) ou AltspaceVR (partage de pages web).
NETFLIX AND CHILL... VIRTUELLEMENT
Comme avec la plate-forme Improov3 du français MiddleVR, il est possible d'utiliser n'importe quelle application de l'ordinateur dans BigScreen. Mais contrairement à Improov3, qui est très orienté CAO, BigScreen se veut social avant tout : faire une LAN party (jeu en réseau local) virtuelle, regarder un film entre amis ou même simplement discuter en écoutant de la musique... Pour rendre l'expérience la plus naturelle possible, l'application gère le son positionnel 3D en relation avec les avatars de chacun, qui se déplacent en temps réel suivant ce qu'ils regardent.
BigScreen est pour le moment encore en version beta. L'application est en développement depuis décembre 2014, et en beta privée depuis juillet 2015. Son lancement est prévu pour avril 2016 sur Oculus Rift et HTC Vive (compatible entre les deux types d'équipements), avec une compatibilité mobile (Samsung Gear VR) plus tard cette année. Des fonctionnalités de customisation des avatars et des tailles d'écrans, ainsi que l'ajout d'un pointer laser y seront rajoutés d'ici là.
Chez Google, on réagit rarement aux rumeurs. Pourtant, le géant californien a tenu ce lundi 2 novembre 2015 à mettre les choses au clair (ou presque) concernant une éventuelle fusion de ses systèmes d’exploitation Android et Chrome OS. “Bien que nous travaillions sur les différentes possibilités de réunir le meilleur de chacun des systèmes d’exploitation, nous n’avons aucun projet de suppression de Chrome OS”, a assuré Hiroshi Lockheimer, vice-président sénior en charge d’Android, Chromecast et Chrome OS, dans un post de blog. Jeudi, le Wall Street Journal avait affirmé que la firme de Mountain View comptait fusionner ses systèmes d’exploitation. Google, ou plutôt désormais Alphabet, y travaillerait depuis déjà deux ans, avec pour projet de dévoiler un unique OS - Android et non Chrome - en 2017, toujours selon le quotidien économique américain.
Dans son billet, intitulé “Chrome OS est là pour durer”, Hiroshi Lockheimer ne dément pas un éventuel nouveau système d’exploitation. Et bien qu’Android et Chrome OS soient pour le moment très différents, une fusion à terme pourrait permettre à Google de venir concurrencer Microsoft. La firme de Redmond a en effet choisi, avec Windows 10, d’équiper ses derniers téléphones, tablettes et ordinateurs d’un système d’exploitation commun. Mais le géant californien tient à rassurer ses partenaires - tels que Dell qui a par exemple lancé récemment un Chromebook destiné aux professionnels - ainsi que les utilisateurs de Chromebooks : Google ne les abandonne pas. Mieux, sur Chrome OS, il va y avoir du nouveau, renchérit Hiroshi Lockheimer. Le responsable chargé des systèmes d’exploitation évoque le futur lancement d’un lecteur multimédia, ou encore celui de “dizaines” de nouveaux Chromebooks en 2016.
Google compte parmi ses clients de nombreuses écoles et entreprises, qui ont trouvé en ses ordinateurs portables une solution économique et fonctionnelle. Des dizaines de milliers d’écoliers américains et “plus de 2 millions” d’élèves dans 150 pays utilisent notamment l’extension Chrome “Share to Classroom” (partager avec la classe), qui permet de se connecter à une même page instantanément, affirme la firme de Mountain View. Le géant de la Silicon Valley s’est par ailleurs engagé auprès de ces clients à des mises à jours régulières. Et ce, pour une durée de 5 ans...
HACK OF THE WEEK De plus en plus d'attaques informatiques utilisent les réseaux publicitaires sur Internet pour infecter leurs victimes. Dernier en date, une version modifiée du malware Angler qui installe un ransomware pour prendre les ordinateurs en otage. Une tendance inquiétante pour les utilisateurs comme pour les annonceurs, pour qui le risque est une généralisation du blocage des pubs.
Depuis quelques jours, une série d'attaques frappe les visiteurs de sites d'information à fort trafic comme le New York Times, la BBC, MSN, AOL, Newsweek ou encore The Weather Network. Identifiée par MalwareBytes, SpiderLabs et Trend Micro, l'attaque utilise le malware Angler, qui exploite des failles dans Adobe Flash, le javascript et d'autres technologies web pour infecter les ordinateurs des victimes. Angler existe depuis plusieurs années, mais cette nouvelle version installe le grand succès du moment chez les criminels : un ransomware. Celui-ci crypte tous les fichiers de la victime et lui promet de les déverrouiller en échange d'une rançon payée en Bitcoin.
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