MYTHE N° 5 : LES SYSTÈMES DE SÉCURITÉ PROTÈGENT DE TOUS TYPES DE DOMMAGES
Contrairement aux idées reçues, qui veulent que la plupart des systèmes de sécurité soient infaillibles, un grand nombre d’entre eux présente en réalité des failles.
Pour contrer avec succès les attaques, les systèmes de sécurité doivent répondre à des exigences spécifiques. Si les barrières physiques constituent d’importants premiers remparts de défense, une protection doit également être mise en œuvre à l’intérieur même des installations, dans les systèmes et équipements vulnérables et pouvant être ciblés.
Dans une lettre ouverte, Brian Krzanich, CEO d'Intel, a annoncé le 3 septembre que le fondeur va investir 50 millions de dollars dans la recherche sur l'informatique quantique. Cet investissement se fera dans le cadre d'un partenariat sur 10 ans avec l'Université de technologique de Delft (Pays-Bas) et TNO, l'organisme néerlandais pour la recherche appliquée.
Intel apportera également ses ressources d'ingénierie en soutien aux recherches, notamment en matière d'électronique spécialisée, de conception de microarchitecture et de fabrication avancée. La promesse de l'informatique quantique se trouve pour Intel dans sa capacité à résoudre des problèmes complexes, insurmontables aujourd'hui, comme des simulations financières à très grande échelle ou la modélisation plus efficace de nouvelles molécules pour l'industrie pharmaceutique.
Un ordinateur quantique réellement fonctionnel nécessitera encore au moins 12 ans de recherche, mais les recherches pratiques et théoriques que nous annonçons aujourd'hui marquent une étape importante dans la quête pour en faire une réalité, a commenté Mike Mayberry, vice-président en charge des Intel Labs. La recherche s'est concentrée ces derniers temps sur le développement de qubits, mais l'électronique à basse température sera impérative pour connecter, contrôler et mesurer plusieurs qubits, et c'est dans ce domaine que nous pouvons contribuer, a-t-il ajouté.
Les ventes de tablettes sont attendues en hausse de 11% cette année, selon les nouvelles prévisions du cabinet d'études Gartner, après avoir grimpé de 55% en 2013. Parallèlement, les ventes de smartphones continuent à s'envoler et celles d'ordinateurs de bureau se reprennent.
La conférence annuelle de présentation des produits d'Apple s'est déroulée le 9 septembre. Comme prévu, Tim Cook y a dévoilé les iPhone 6S et 6S Plus, dotés d'une capacité 3D Touch. Plus surprenant, ils seront désormais disponibles par abonnement afin de changer d'iPhone chaque année. La marque à la pomme a également présenté l'iPad Pro, une tablette de 12,9 pouces compatible avec un stylet et un clavier amovible, ainsi qu'une Apple TV nouvelle génération, équipée de Siri et d'une télécommande avec pavé tactile.
Pour sa conférence de rentrée, qui s'est déroulée cette année le 9 septembre, Apple a varié un peu son menu. Après une brève présentation de nouveaux bracelets (dont un d'Hermès, commercialisé à partir de 1100 dollars) pour l'Apple Watch, Tim Cook est remonté sur scène pour dévoiler l'iPad Pro.
Cette tablette à l'écran de 12,9 pouces pour une résolution de 2732 x 2048 pixels a été présentée comme le futur de l'informatique personnelle. Son écran plus grand permet d'afficher deux applications iPad classiques côte à côte, et a été décrit comme idéal pour la consommation de films, séries télé ou de jeux. Il dispose par ailleurs de 4 haut-parleurs, et fait 6,9 mm d'épaisseur. Il pèse 712 grammes, soit presque le même poids que l'iPad originel.L'iPad Pro est de plus est équipé d'une puce A9X, qu'Apple a décrit comme étant 1,8 fois plus rapide que la puce A8X qu'elle remplace. Ces performances sont du niveau de celles d'un ordinateur de bureau, a déclaré Tim Cook. Le CPU de la puce A9X est plus rapide que 80% des PC portables vendus l'année dernière, et son GPU (processeur pour le calcul graphique) plus rapide que 90% d'entre eux.
Suivant la voie ouverte par Microsoft avec les Surface Pro, l'iPad Pro est accompagné d'un clavier nommé Smart Keyboard qui fait également office de protection pour l'écran. Il se connecte magnétiquement à l'iPad Pro. Le système reconnaît lorsque le clavier est branché et s'adapte en conséquence. Toujours dans la lignée des Surface, l'iPad Pro pourra utiliser un stylet : l'Apple Pencil.
La nouvelle tablette aura une caméra iSight de 8 mégapixels et un bouton Touch ID. Son autonomie est de 10 heures, elle sera vendue 799 dollars avec 32 Go de stockage, 949 dollars avec 128 Go de stockage, et 1079 dollars avec 128 Go et une connexion 4G. L'Apple Pencil coûtera quant à lui 99 dollars, et le clavier 169 dollars. Ils seront disponible au cours du mois de novembre. Les autres iPad ont vu leurs prix ajustés en conséquence. Pour illustrer ses capacités, des démonstrations ont été effectuées sur scène par des représentants de Microsoft (suite Office), d'Adobe (mise en page, retouche photo) et de 3D4Medical (visualisation anatomique du corps humain). Apple a aussi annoncé très brièvement la nouvelle version de l'iPad mini, qui dispose d'un processeur A8 (comme l'iPad Air 2).
Les iPhone 6S et 6S Plus n'ont pas surpris. Outre le fait d'être plus puissants (puce A9) et de disposer d'une caméra de 12 mégapixels capable de filmer en résolution 4K, ils conservent les mêmes caractéristiques générales que la génération précédente. Principale évolution : l'introduction d'une technologie nommée 3D Touch, équivalente au Force Touch de l'Apple Watch qui réagit différement selon la pression appliquée par l'utilisateur. Elle permet notamment à l'utilisateur de prévisualiser certains éléments depuis un menu en gardant le choix de l'ouvrir en appuyant plus fort ou de revenir en arrière en relâchant la pression.
La nouvelle la plus marquante liée à l'annonce de cette génération d'iPhone est finalement dans le business model : Apple propose un nouveau service d'abonnement sur 24 mois permettant à un possesseur d'iPhone d'en recevoir un nouveau chaque année. L'utilisateur pourra choisir son opérateur et la garantie AppleCare+ sera intégrée à l'abonnement. Ce service sera accessible à partir de 32 dollars par mois, d'abord aux Etats-Unis puis étendu au reste du monde. Les prix restent autrement les mêmes que l'année dernière, de 199 à 499 dollars (suivant le modèle et la capacité de stockage choisis) avec deux ans d'abonnement chez un opérateur.
Dernier grand point de la conférence, le retour de l'Apple TV après 3 ans d'absence. Sa grande nouveauté réside dans sa télécommande, équipée d'un pavé tactile (sans écran), d'un bouton dédié à Siri, d'un accéléromètre et d'un gyroscope. Elle permet de naviguer dans les menus par commandes vocales ou tactiles et d'effectuer des recherches universelles au sein de plusieurs services (Netflix, Hulu, HBO...), ce que proposent déjà la majorité des produits concurrents. Son autonomie est de trois mois, et elle se recharge via un port Lightning.Achat Acer batterie ordinateur portable - fr-batterie-portable.com
L'autre aspect mis en avant a été le système d'exploitation et les apps. La télévision n'a pas évolué depuis sa création. Aujourd'hui nous allons changer cela. Cela commence par une vision, et notre vision est à la fois simple et provocatrice : le futur de la télévision, ce sont les applications, a déclaré sur scène Tim Cook. L'Apple TV tourne sous tvOS, une variante d'iOS qui bénéficie des mêmes outils de développement que son ainé pour smartphones et tablettes. Apple espère créer ainsi un riche écosystème, notamment en matière de jeux vidéo, avec des titres comme Geometry Wars 3, Skylanders SuperChargers, Crossy Road, Rayman Adventures, Disney Infinity 3.0, Guitar Hero Live ou Beat Sports. L'Apple TV sera vendue 149 dollars (avec 32 Go de stockage) ou 199 dollars (64 Go de stockage) et sera disponible en octobre.