C'est Windows Central qui a indiqué vendredi que la société travaillait dure sur un PC tout en un, baptisé Surface AIO. Une nouvelle qui vient ainsi renforcer la véracité d'une autre news rapportée cette fois par DigiTimes peu de temps avant indiquant que Microsoft pourrait introduire un PC Surface non portable au plus tôt au 3e trimestre 2016. Pour l'instant, les caractéristiques de ce nouveau venu dans la galaxie Surface ne sont pas encore connues, le timing de lancement pourrait être lié à la disponibilité du prochain processeur Kaby Lake d'Intel doté d'une finesse de gravure en 14nm.Très rapide, le format de cartes flash UFS 1.0 (Universal Flash Storage) poussé par Samsung ambitionne de remplacer les traditionnels microSD dans les terminaux mobiles.
Samsung vient de présenter ses premières cartes mémoires amovibles UFS 1.0 (Universal Flash Storage), qui comptent bien détrôner les microSD. Cette dernière n’est toutefois pas prête de disparaître puisque les terminaux mobiles équipés de lecteurs UFS n’ont pas encore été lancés. Les cartes UFS - de 32 à 256 Go pour commencer - seront toutefois bientôt utilisées dans les appareils photo et vidéos, les drones, des robots, des casques de réalité virtuelle et, en fin de compte, même les terminaux mobiles.
Tous ces équipements électroniques nécessitent aujourd’hui un format de stockage amovible plus rapide et de haute capacité. Les microSD plafonnent aujourd’hui à 256 Go après une longue étape intermédiaire à 200 Go. Selon Samsung, les utilisateurs seront en mesure de transférer (en théorie) 5 Go de données - soit la taille d’un film complet en haute résolution - en 10 secondes à partir d'une carte UFS. Une carte microSD UHS-1 prendrait 50 secondes pour faire la même chose.Samsung indique que sa première carte UFS 256 Go affiche une vitesse de lecture séquentielle de 530 Mbps (66,3 Mo/s), soit la vitesse de base du SATA. La vitesse en lecture aléatoire est elle 20 fois plus rapide qu'une carte micro-SD. La vitesse d'écriture séquentielle est d'environ 170 Mbps (21,3 Mo/s) selon le sud-coréen qui elle est deux fois plus rapide que les cartes micro-SD. Enfin, la vitesse d'écriture aléatoire est 350 fois plus rapide qu’une micro-SD. Samsung n'a pas fourni de prix ou la disponibilité des informations sur les nouvelles cartes de stockage UFS. Toshiba permet également le stockage UFS, mais n'a pas publié de cartes basées sur la norme de carte d'extension UFS 1.0.
Ceux qui n’ont pas la chance de connaitre quelqu’un qui possède une imprimante 3D et qui souhaitent fabriquer leur propre machine peuvent acheter l’ensemble des pièces sur Internet. Pour se lancer dans cette entreprise, il faut maîtriser les bases de l’électronique ainsi que de la mécanique et avoir du temps devant soi : la Reprap est un appareil complexe. Des kits, comme ceux vendus pour 449,99 dollars par Boots Industries, peuvent guider les débutants qui souhaitent s’attaquer à cet ambitieux projet.
Le scandale Prism, qui a fait suite aux révélations d'Edward Snowden l'année dernière, a retenti comme un coup de tonnerre, choquant la communauté internationale de par l'ampleur de l'espionnage de la NSA, l'agence de renseignement américaine. Ses suites continuent [...]La réalité virtuelle a un futur prometteur qui l'attend dans l'industrie jeux vidéo, mais son potentiel ne s'y limite pas. La start-up Jaunt compte le prouver au travers de sa technologie dédiée au cinéma, et vient pour ce faire de lever 6,8 millions de dollars d'investissement.
… ET LE RÉSEAU SOCIAL ANIMALIER YUMMYPETS
Plus étonnant, l’agence web bordelaise Octopaper a développé le réseau social YummyPets pour animaux de compagnie. Pour leurs propriétaires tout du moins… Avec déjà 200 000 membres actifs et 2 millions de photos publiées, il se propose d’être un canal de communication pour les industriels concernés par ce public.
L’entreprise imagine déjà le prolongement de son réseau avec des colliers connectés pour géolocaliser les animaux, suivre leur carnet de santé et leur activité, et avec un label Pet Friendly pour les lieux dans lesquels les animaux sont les bienvenus.
L’auteur du livre Digital Leader, Erik Qualman, dernier a partagé récemment sur son blog Linkedin les dix leçons de leadership qu’il a apprises en observant Steve Jobs à l’œuvre. Certaines sont attendues, d’autres beaucoup moins mais les dix commandements qu'il a listé sont tous matière à réflexion.
Autant le dire de suite, Erik Qualman est un fan de Steve Jobs. Un inconditionnel qui voue une sorte de culte à cet homme qu’il considère comme un personnage historique. A tel point qu'il place l'ancien patron d'Apple sur le même plan que Rosa Parks ou Nelson Mandella dans le billet qu'il publie sur son blog Linkedin. Sa vision est sans aucun doute exagérée mais il n’en demeure pas moins que l’ancien patron d’Apple a eu un impact extrêmement fort en matière d’innovation. Il constitue pour ses admirateurs comme pour ses détracteurs une source d'inspiration en matière créativité industrielle. C'est pourquoi je vous livre ici les 10 leçons qu'Erik Qualman pense avoir apprise de Steve Jobs. A vous de voir si elles vous seront utiles ou pas
1. A SIMPLIFIER, TU APPRENDRAS
« Le cahier des charges que Steve Jobs avait fixé pour l'iPod était simple, écrit Erik Qualman. Il ne devait tout simplement comporter aucun bouton, y compris un simple interrupteur « marche/arrêt ». Ce défi semblait impossible à réaliser pour les ingénieurs travaillant sur le projet mais Steve Jobs n’a pas lâché sur ce prérequis. Il a pousséde cette manière ses équipes à leurs limites. Et cette contrainte leur a inspiré l’invention de la molette de défilement. » La capacité à se concentrer sur un sujet majeur et la quête absolue de simplicité ont clairement été les mantras favoris du patron d’Apple. « Faire simple peut être plus difficile que de faire complexe car vous devez travailler dur pour épurer au maximum votre projet, souligne l’auteur de Digital Leaders. Mais ça vaut le coup de faire cet effort car à la fin, cela vous permet de déplacer des montagnes. »
2. LES PROJETS À NE PAS FAIRE, TU LISTERAS
« Steve Jobs se disait aussi fier des produits qu'il a tué que de ceux qui ont connu un succès phénoménal. Avant l'iPhone, l’ancien patron d’Apple a ainsi travaillé sur un dispositif similaire au Palm Pilot mais il a décidé de le tuer pour mieux se concentrer sur le marché du téléphone portable. C’est ce sacrifice qui a indirectement donné vie à l'iPod et à l'iPhone, assure Erik Qualman en conseillant : Toute entreprise devrait créer une liste mensuelle des projets à ne pas faire. »«Être l'homme le plus riche du cimetière n'a pas d’importance... Aller au lit le soir en disant que nous avons fait quelque chose de merveilleux, voilà ce qui compte vraiment pour moi. Pour Steve Jobs, cité par Erik Qualman, l’innovation n'a rien à voir avec le nombre de dollars que vous investissez en R&D. Quand Apple a lancé le Mac, IBM a dépensé 100 fois plus en R&D pour sortir son ordinateur personnel. Pourtant, les deux objets se valaient.
Alors que les objets connectés sont en plein essor et que les voitures sont de plus en plus équipées de réseaux informatiques complexes, les problématiques de cybersécurité deviennent de plus en plus présentes. Un chercheur vient de le souligner à nouveau en démontrant que le Model S de Tesla Motors était très simple à pirater.
Le chercheur en sécurité Nitesh Dhanjani a récemment révélé que les portières du Model S, le véhicule électrique high-tech très médiatisé de Tesla Motors, peuvent être déverrouillées à l'aide de techniques basiques de piratage informatique. Il a fait part de ses découvertes lors de la conférence Blackhat de Singapour. [...]
Les adeptes de l’open hardware, ce mouvement qui applique les règles de l’open source aux produits physiques, s’attaquent au marché des tablettes. Une équipe de développeurs, pilotée par Richard Blair, a publié sur Internet en septembre 2013 les plans de la DukePad, une tablette à fabriquer soi-même.
Mais pour bricoler leur propre appareil, les curieux - pas effrayés par la high tech - devront s’armer de patience : le kit de la machine n’est pas encore disponible à la vente. La liste des composants nécessaires à sa conception est en revanche accessible sur le site qui présente le projet.
La DukePad reste chère comparée aux tablettes premier prix qui sont arrivées en 2013 sur le marché, comme celle développée conjointement par Intel et HP qui ne coûte que 65 euros : pour réunir le matériel nécessaire, il faut compter 370 dollars. La pièce centrale de l’appareil est un nano ordinateur mono carte low-cost, baptisé Raspberry pi. Développé par la Fondation Raspberry Pi, une association qui pousse les écoles à enseigner la programmation à leurs étudiants, il ne coûte que 35 dollars.
La DukePad utilise le système d’exploitation Raspbian Linux. Richard Blair a posté sur son site web des instructions précises pour installer les différents programmes nécessaires sur le cœur de la machine, le Raspberry Pi. Aujourd’hui, la qualité de l’environnement logiciel de l’appareil n’est pas optimum, mais ses créateurs travaillent sur sa structure pour fournir prochainement un plus grand nombre de fonctionnalités.
Le Centre suisse de compétence nationale de la recherche prépare un événement d'un genre nouveau : une compétition sportive pour athlètes handicapés, qui utiliseront des prothèses technologiquement avancées, notamment robotisées. Baptisé Cybathlon, l'événement comprendra six épreuves reposant sur six technologies différentes.
Il arrivera à l'intérieur d'une petite caisse en carton qui tient dans votre boîte aux lettres. L’ordinateur Kano, livré en pièces détachées. Les amateurs de lego seront dans leur élément avec ce kit, qui se monte comme une table Ikéa, tout simplement avec le mode d’emploi, comme sur la vidéo ci-dessous.(cliquez ici pour suivre le lien)
Le cœur de la machine est un nano ordinateur mono carte, pas plus grand qu’un billet de banque. Baptisé Rasperry Pi modèle B, il fonctionne avec un processeur ARM et dispose de 512 Mo de mémoire vive. Une série de pièces se branchent sur cet élément de base : une carte mémoire équipée du logiciel d’exploitation Kano OS (développé pendant six mois par les porteurs du projet à partir de Debian Linux, un système d’exploitation open source), un clavier disposant d’un pavé tactile, un haut-parleur, quelques câbles (USB, Ethernet)…
Mais Kano n’est pas qu’un boitier d’ordinateur à assembler : ses utilisateurs peuvent aussi apprendre les bases du codage informatique en programmant de petits jeux basiques, comme Pong (une balle rebondit de plus en plus vite entre deux baguettes).
Le kit n’est pas encore commercialisé mais il intéresse déjà le grand public : ses créateurs ont récoltés plus de 1,5 millions de dollars de dons grâce à une campagne de crowdfunding sur le site américain Kickstarter. Mais Alex Klein vise aussi les entreprises : Kano permettra au secteur privé, mais également aux institutions publiques et aux organisations non gouvernementales, de donner à leurs salariés de nouvelles compétences de codage indispensables au XXIe siècle.
C'est une petite pièce sans fenêtres qui ne paie pas de mine, au deuxième étage du QG d'Apple à Cuppertino. Au mur, quelques posters Think different et des traces d'humitidé dûes à une fuite d'eau dans une pièce adjacente. Des néons, une table centrale et c'est à peu près tout. C'est entre que ces quatre murs (à l'accès limité) que l'équipe fantôme de développement du projet Purple (qui deviendra l'iPhone) se réunira régulièrement dès 2005.