Ces derniers mois, vous n’avez pas pu passer à côté de Snapchat et son petit fantôme blanc en guise de logo. L’application de partage de photos et de vidéos éphémères séduit les ados du monde entier… et les mastodontes de la high-tech.
Comme Uber ou Airbnb, la start-up créée en 2011 par des étudiants de l’université américaine de Stanford flirte aujourd’hui avec une valorisation à plus de dix milliards de dollars.
Car après avoir éconduit les avances de Facebook et Google en 2013, Evan Spiegel, le jeune cofondateur et CEO de Snapchat, a failli céder aux sirènes d’un autre géant du numérique : Alibaba. Le leader du e-commerce en Chine a négocié plusieurs mois avec le réseau fantôme pour figurer en bonne place lors d'une nouvelle levée de fonds.
Si l'entrée au capital du chinois a finalement été écartée, Snapchat continue son bonhomme de chemin en solitaire en réussissant de régulières levées de fonds lucratives.
Mais le service de partage commence à frémir sous la pression du marché : son business modèle est questionné, son statut de cash machine remis en cause. Une émission de nouvelles actions de la société a été dévoilée le 9 août par Bloomberg. Elle représenterait 3% du capital de la start-up.
De récents scandales sur le manque de protection des données des utilisateurs ont terni l’image du réseau social éphémère. Avec un nombre d'utilisateurs de plus en plus conséquent, Snapchat pourra-t-il continuer à jouer dans la cour des grands en solo ?
Même si Apple propose des produits certifiés comme économes énergétiquement (...) les documents de confirmation nécessaires et les agréments légaux n'ont jamais été fournis, a expliqué à Reuters le ministère chinois des Finances. L'information a été confirmée par le Centre d'achat gouvernemental.
La confusion et les incertitudes entourant les produits Apple reflètent l'anxiété et la méfiance croissantes et réciproque entre la Chine et les entreprises de technologie étrangères.
La Chine a annoncé la semaine dernière l'ouverture formelle d'une enquête visant Microsoft qu'elle soupçonne d'infractions à la législation sur la concurrence. Pékin reproche notamment à Microsoft de ne pas avoir dévoilé un certain nombre d'informations sur son système d'exploitation Windows et sur sa suite bureautique Office.
Le gouvernement chinois a également interdit à ses agences de se procurer toute une série de logiciels de sécurité étrangers dont ceux fabriqués par le Kaspersky Lab et Symantec.
La suspicion mutuelle entre Pékin et Washington en termes de piratage informatique est par ailleurs montée d'un cran l'année dernière après les révélations de l'ex-consultant des services secrets américains Edward Snowden, le Département de la justice américains ayant par ailleurs inculpé cinq officiers chinois en mai dernier pour espionnage industriel à grande échelle.
Ce 13 août, un Français a reçu la prestigieuse médaille Fields lors du congrès international des mathématiques qui se tient à Séoul jusqu'au 21 août. L’occasion de rappeler l’importance des mathématiques pour l'économie. Big-data, modélisation, calcul intensif, simulation, optimisation, statistiques, cryptographie... aucun de ces secteurs n'existerait sans eux.
Si vous envisagez la collaboration vidéo mobile, félicitations ! La vidéo mobile offre des opportunités incroyables pour accélérer les communications professionnelles, proposer de nouveaux modèles de ventes et de de service et améliorer l'efficacité des travailleurs à distance et mobile. Vos employés (et vos clients) ont probablement déjà, pour la plupart, un appareil mobile prenant en charge la vidéo (tablette, smartphone, ordinateur portable). Désormais, vous pouvez maîtriser ce potentiel de communication pour qu'il profite à votre entreprise.
Déclinés en versions HD et Full HD pour un prix démarrant à 280 dollars HT, les derniers Chromebook 14 de HP intègrent un processeur Intel Celeron N2840 en lieu et place d'un ARM Tegra K1, mais conservent par ailleurs les mêmes caractéristiques techniques.
Hewlett-Packard prend une longueur avant les fêtes de fin d’année en renouvelant ses Chromebook 14 et en revoyant leur prix à la baisse. L’édition 2015 n’est certes pas aussi séduisante que la version à écran tactile de l’an dernier tarifée 400 dollars (HT), mais ces modèles silencieux - en l'absence de ventilateur - ont toujours belle allure et leurs prix restent abordables. La firme a appliqué une baisse de prix de 50 dollars sur ces appareils, qui sont maintenant proposés 250 dollars HT pour la version HD et 280 dollars pour la déclinaison Full HD, avec un accès à 100 Go de stockage gratuit sur Google Drive pendant deux ans.
Les caractéristiques techniques n’ont pas été modifiées pour cette version revisitée, si ce n’est l’abandon du processeur ARM Nvidia Tegra K1 au profit d’une puce dual-core Intel Celeron N2840 cadencée à 2,16 GHz. Pour le reste, on retrouve un écran IPS 14 pouces (1366 x 768 pixels), 2 Go de RAM, 16 Go d’espace de stockage, une connexion aux réseaux WiFi et Bluetooth, 3 ports USB (dont un en USB 3.0) et des sorties son et HDMI. HP promet également une autonomie de 9,25 heures sur ces machines. Les portables sont aussi livrés avec 12 pass pour des connexions Internet en vol (Gogo in-air) utilisables aux Etats-Unis, trois locations de films sur Google Play et 90 jours gratuits sur Google Play Music. Déclinées en deux coloris seulement, bleu et gris métal, ces Chromebooks seront disponibles cet automne en Europe.HP étant particulièrement intéressé par le marché des PME et de l'éducation, où les Chromebooks se sont bien implantés, il sort également le modèle Chromebook G4 en version argentée avec un support VPN amélioré, Citrix Receiver 1.8 pour Chrome et 16 Go de stockage intégré avec un total de 32 Go.
Plus rapide et mieux armée pour lutter contre ses rivales, la dernière tablette tactile de Microsoft Surface Pro 4 sous Windows 10 a plusieurs solides atouts dans son jeu. Si les problèmes de chauffe ont enfin été maîtrisés, ses qualités techniques auraient pu être encore meilleures.
La Surface Pro 4 de Microsoft, disponible depuis le 26 octobre, reprend les éléments qui ont fait le succès de la Surface Pro 3, et va encore plus loin. En particulier, le gain en performance est très substantiel. Mais, comme le déclare notre confrère de PCWorld qui a testé la Surface Pro 4, les véritables nouveautés se trouvent à l'intérieur de la tablette.Cependant, malgré ces atouts, il faudra aussi prendre en compte le fait que, depuis le lancement de la Surface Pro 3, l'écosystème de la tablette a considérablement évolué. Des clones de Surface comme la Lenovo Miix 700 et la Vaio Canvas devraient sortir prochainement. Par ailleurs, la famille des Surface Pro 4 s’est élargie avec l’arrivée de la Surface Book. Ce portable deux en un affiche une autonomie bluffante, et permet, en option - très onéreuse - d’ajouter une GPU. Si bien que, comparée à la Surface Book, la Surface Pro 4 semble un peu terne. Néanmoins, la Surface Pro 4 pourra très bien supporter cet ombrage. En effet, elle est dotée de fonctionnalités impressionnantes, ses performances sont excellentes, et l’expérience globale relève la barre des tablettes Windows haut de gamme.
Il est facile de confondre la Surface Pro 4 avec la Surface Pro 3, car les deux tablettes de Microsoft sont quasi identiques. La Surface Pro 4 mesure 11,5 x 7,93 x 0,33 pouces. En s’approchant un peu plus, on remarque que Microsoft a réduit la taille du panneau et a augmenté celle de l’écran, passant de 12 pouces en 2160 x 1440 pixels pour la Surface Pro 3 à 12,3 pouces en 2736 x 1824 pixels pour la SP4. À noter que, même avec ces pixels supplémentaires, notre confrère a trouvé l’affichage du texte un peu juste. Il a poussé l’affichage à 175%, au lieu des 150% proposés par défaut. Par ailleurs, Microsoft a accordé un peu plus d’espace au nouveau clavier Type Cover, moins étriqué que celui de la SP3.Mais, cette fois, les vraies différences se trouvent à l’intérieur de la tablette : la Surface Pro 4 intègre un processeur Intel Skylake de sixième génération qui fait bondir les performances 3D par de 81%. Microsoft a également revu la conception de la Surface Pro 4 afin que répartir la dissipation de chaleur sur toute la partie supérieure du panneau arrière et supprimer les points chauds. Les processeurs Core i5 ou Core i7 proposés en option pourront tourner à plein régime, ce qui était impossible avec la SP3.
Reste encore la question du prix. La version de base Core i3 de la Surface Pro 3 coûte 849€ TTC. Comparativement, la version Core M3 de la Surface Pro 4 démarre à 999€. La SP4 prêtée en test par Microsoft à nos confrères de PCWorld comportait un processeur Intel Core i5 avec 8 Go de RAM et un SSD de 256 Go. Ce modèle est commercialisé au prix de 1449 euros TTC. Il faudra débourser jusqu'à 1799€ pour le modèle Core i7 plus haut de gamme. À noter que le Type Cover est en option et qu’il coûte 150€, même si l’on peut considérer que c’est un accessoire indispensable. Microsoft n'a pas parlé d’une éventuelle option 4G/LTE pour la Surface Pro 4, mais on peut penser qu’elle sera offerte plus tard.
La Surface Pro 4 ne bouscule pas les habitudes. Comme sur la SP3, le bouton d'alimentation se trouve toujours en haut à gauche, à côté du bouton de contrôle du volume, il y a toujours un seul port USB 3.0 standard, un connecteur miniDisplayPort, et un lecteur de carte microSD. Elle est également équipée du 802.11ac WiFi et du Bluetooth 4.0. La légère différence de taille fait que la SP4 n’est pas compatible avec le dock de la Surface Pro 3, mais le chargeur semble identique. (À noter que, si le connecteur de la Surface Pro 4 est identique à celui de la Surface Pro 3, le connecteur du dock est plus trapu)La béquille est quasiment identique : sur la SP3, elle pivote facilement à 30° en mode « scène », puis plus lentement jusqu'à 150° maximum. Comparativement, sur la SP4, la béquille bouge de façon fluide de 0 à 150°. Ce n’est pas forcément un avantage : la charnière SP3 tient la tablette solidement en place, alors que la béquille de la SP4 peut changer de position si l’on passe son temps à taper sur l’écran. Cependant, il est plus facile de choisir l’angle d’inclinaison de la tablette. Les deux tablettes tiennent de façon équivalente sur les genoux.(cliquez ici pour suivre le lien)