Les utilisateurs sont contraints de connecter des capteurs de pulsations externes, en utilisant, par exemple, une sangle de poitrine, afin d'obtenir des informations biométriques durant une activité sportive. L'utilisation de plusieurs composants de ce type peut être encombrant et rendre difficile certains mouvements. Par conséquent, l'adoption d'un tel équipement électronique durant une activité sportive n'est pas aussi répandu qu'il pourrait l'être », indique le brevet.Ce périphérique Surface, qui aura un écran et un bracelet amovible pour faire office de smartwatch, pourra également être inséré dans d'autres équipements de remise en forme ou une station d'accueil pour la recharge. Bien que l'accent sera mis sur la santé et la forme physique avec la capacité de mesurer la fréquence cardiaque de l'utilisateur, il y aura d'autres fonctions comme la lecture de musique, le radio-réveil, la messagerie et la téléphonie. Il est également possible que Microsoft livre sa smartwatch avec son outil de recherche Bing et son assistant vocal Cortana, rival de Siri.
Si Microsoft lance bien son propre dispositif portable, il trouvera sur son chemin les boitiers basés sur le système Android de Google, comme la LG G Watch, et surtout l'iWatch d'Apple. On ne sait pas encore très bien quand Microsoft dévoilera sa smartwatch, mais un événement est programmé le 20 mai pour le lancement de la mini tablette Surface. Une bonne occasion pour également révéler la smartwatch si elle est prête.
Le fabricant de puces Qualcomm prépare une plateforme pour améliorer la performance des réseaux d'entreprise. Elle reposera notamment sur la technologie d'antenne Multi User-Multiple-Input Multiple-Output.
Le WiFi est victime de son succès et l'usage des réseaux sans fil dans des environnements surpeuplés peut être une expérience très frustrante, les points d'accès étant souvent saturés. En effet, les réseaux actuels sont incapables de prendre en charge les ordinateurs portables, smartphones et tablettes aujourd'hui en circulation. Les chipsets de Qualcomm destinés aux points d'accès de prochaine génération pourront utiliser une technologie d'antenne qui promet de meilleurs débits. Les premiers produits devraient arriver au cours du second trimestre 2015.
L'un des problèmes vient de ce que les points d'accès ou les routeurs sans fil actuels sont Single-User MIMO (ou SU-MIMO), c'est-à-dire que chaque client dispose d'un accès exclusif à la bande passante disponible pendant un temps donné avant de céder la place au client suivant. Donc, plus il y a d'utilisateurs connectés, plus la probabilité de surcharge du réseau augmente. La dernière technologie d'antenne MU-MIMO (Multi User-Multiple-Input Multiple-Output) va justement permettre aux réseaux 802.11ac de transmettre des données simultanément à un nombre plus important d'utilisateurs. « Les vendeurs attendent le déploiement de cette technologie avec impatience, car il est vraiment indispensable de résoudre ce problème de surcharge », a déclaré Rishi Grover, directeur du marketing produit chez Qualcomm.
Hier, le concepteur a annoncé une plateforme de produits pour l'entreprise basée sur les processeurs annoncés en avril dernier. David Callisch de Ruckus Wireless, qui prévoit de l'utiliser, espère que la technologie améliorera les performances du WiFi. « MU-MIMO va changer complètement la donne du 802.11ac. C'est comme si la technologie transformait le WiFi en réseau Ethernet commuté », a expliqué David Callisch. Ruckus Wireless voudrait être parmi les premiers sur ce marché et compte lancer des produits MU-MIMO dans le courant du premier semestre de l'année prochaine. De son côté, Qualcomm est un peu plus optimiste et estime que les premiers points d'accès MU-MIMO seront disponibles au début du second trimestre. Et Asus a déjà sorti un routeur RT-AC87 compatible MU-MIMO en juillet dernier. Pour que la technologie d'antenne fonctionne, les clients devront être upgradés. Les terminaux mobiles construits autour des puces Qualcomm Snapdragon 801 et 805 supportent déjà la technologie. Mais il faudra quand même passer par une mise à jour logicielle à venir pour activer la fonction. Qualcomm prévoit également de livrer des processeurs pour ordinateurs portables, téléviseurs connectés et décodeurs.
La plateforme proposera aussi des fonctionnalités autres que le MU-MIMO pour améliorer la performance des réseaux d'entreprise. Par exemple, elle permettra de contourner les problèmes d'interférences à l'origine de chutes de bande passante en déplaçant les utilisateurs vers un autre canal, ou encore d'empêcher les clients plus anciens et plus lents de bloquer le réseau. Autre nouveauté, la plateforme pourra orienter les utilisateurs connectés à des clients bi-bande vers la bande à 5 GHz, beaucoup moins fréquentée que la bande à 2,4 GHz. Ces fonctions ou ces options sont déjà proposées par certains vendeurs, mais Rishi Grover affirme que leur intégration dans le software et dans le hardware permettra d'améliorer les performances.
Aujourd'hui, l'utilisation efficace des ressources I/O affecte directement les coûts d'exploitation et les performances réseau, virtuel et environnement de cloud computing.
Malgré les progrès dans la vitesse du matériel et la technologie de stockage, avec l'augmentation énorme de données stockées, la fragmentation des fichiers et l'espace libre est devenu une problématique très importante.
La fragmentation engendre une usure profonde des performance au niveau O/S et est une des principale cause de saturation d'E/S, de l'augmentation les délais d'attente du système, du gel, du ralentissement et le blocage du système. Cela est vrai à tous les niveaux du système: les ordinateurs portables, ordinateurs de bureau, des serveurs, SAN.
Ceci n'est pas simplement une théorique, ceci a été testée et prouvée de ma manière contrôlée dans un laboratoire et également en condition réelle dans l'entreprise.
La première vague de puces Intel Ivy Bridge comprendrait 13 processeurs quad-core conçus pour les ordinateurs de bureau et les PC portables.
Les processeurs Ivy Bridge d'Intel sont attendus cette semaine et promettent d'apporter des améliorations significatives au niveau des performances et de la consommation d'énergie, de prendre en charge l'interface USB 3.0, le tout dans une enveloppe plus compacte que celle des actuelles puces Sandy Bridge. La première vague de puces Ivy Bridge rassemblera 13 processeurs quad-core conçus principalement pour les ordinateurs de bureau et les PC portables. Les processeurs dual-core, destinés aux ultrabooks, aux tablettes hybrides comme le concept Intel Cove Point, et à d'autres types de terminaux mobiles sortiront un "plus tard ce printemps," selon un article de la BBC.
Les prévisions la BBC sont en phase avec les annonces d'Intel de mercredi dernier qui indiquaient que les premières puces Ivy Bridge ne seraient pas destinées aux ultrabooks. Ces processeurs seront les premiers gravés en 22 nanomètres, contre 32 nm pour les plus volumineux Sandy Bridge. Pour vous donner une idée du travail accompli avec le passage au 22nm, Intel précise qu'il serait possible de déposer 100 millions de transistors en 22 nanomètres sur la tête d'une épingle (environ 0,05 pouces de diamètre, soit 1,27 mm).
Les transistors utilisés dans les processeurs Ivy Bridge diffèrent également de ceux utilisés dans les précédentes puces d'Intel puisqu'elles reposent sur la technologie Tri-gate. En effet, le transistor sMOS (Metal Oxyde Semiconductor) planar classique à deux dimensions est remplacé par un mince aileron en trois dimensions qui sort verticalement du substrat de silicium. Le fondeur a précédemment indiqué que ces nouveaux transistors permettront à ses puces d'être jusqu'à 37% plus rapide que les processeurs précédents. Toutefois, la BBC cite un vice-président d'Intel, Kirk Saugen, qui prétend que les premières puces Ivy Bridge vont améliorer les performances et l'efficacité énergétique de 20% par rapport à Sandy Bridge.
Les partenaires d'Intel travailleraient sur plus de 300 produits mobiles, selon M. Saugen, et plus de 270 appareils de bureau différents (y compris de nombreux PC tout-en-un) exploitant la micro-architecture Ivy Bridge. C'est une bonne nouvelle pour les fans de Mac, qui espèrent retrouver rapidement cette génération de puces dans les tout-en-un iMac pour commencer, puis les prochains MacBook Pro. Les serveurs de la firme à la pomme équipés de processeurs Xeon Ivy Bridge sont également attendus avant l'été. Les premières annonces sur les postes de travail Windows reposants sur des processeurs Ivy Bridge, sont donc attendues cette semaine, mais les livraisons en volume de puces aux constructeurs d'ordinateurs portables ne commenceraient qu'en juin. Soit largement avant la rentrée scolaire de septembre, une période propice aux ventes de PC portables.
AMD innove sur le marché des stations de travail professionnelles avec les FirePro A300 qui intègrent sur la même puce le processeur et le circuit graphique. Si ce changement apparaît radical par rapport aux précédentes puces FirePro, cette solution a déjà été proposée par AMD pour les PC portables et certains postes de travail avec ses processeurs Serie A, C et E. Principale différence, les puces grand public d'AMD possèdent un coeur graphique Radeon alors que les A300 reposent sur un coeur FirePro et délivrent des performances généralement proposées par des circuits externes.(cliquez ici pour suivre le lien)
Ces puces sont destinées aux professionnels des médias et de l'ingénierie, a déclaré AMD dans un communiqué. Elles ont été conçues pour une utilisation dans des stations de travail multimédias qui sont généralement exploitées pour réaliser des effets spéciaux pour des films haute définition, ou pour des applications d'ingénierie de type CAD/CAM.La puce AMD FirePro A300 dispose de quatre processeurs cadencés à 4 GHz et de 384 coeurs graphiques fonctionnant à une vitesse pouvant aller jusqu'à 760MHz. Elle consomme 65 watts. L'A320 embarque quant à elle quatre processeurs à 4,2GHz, associés à 384 coeurs graphiques cadencés à 800 MHz, pour une consommation de 100 watts. Ces puces vont permettre aux fabricants de PC de concevoir des stations de travail plus petites et plus efficientes en énergie tout en offrant les performances que l'on attend habituellement des stations de travail, a indiqué AMD. Ces puces pourraient aussi réduire le coût de fabrication d'un ordinateur puisque les fabricants de PC n'auront plus à acquérir des composants CPU et GPU séparés.