Maps, l’application cartographique de Google traquait déjà les files d’attente en temps réel. L’ajout d’une fonctionnalité permettra au service de donner bientôt des indications sur la disponibilité des places de parking à proximité d'un lieu de destination. Disponible pour l’instant en version bêta, l’app renseigne les conducteurs sur la difficulté à trouver une place de stationnement à l’aide d’une icône « P ». Celle-ci s’affiche en bleu si les places sont simples ou moyennement faciles à trouver, et en rouge si elles ne le sont pas. Ces indications ne sont pas des données en temps réel. La nouvelle fonctionnalité renseigne simplement sur la difficulté moyenne de stationner à un endroit précis dans des lieux comme des centres commerciaux ou des aéroports.Actuellement testée aux Etats-Unis, cette fonctionnalité n’est pas encore disponible en France. La version bêta numérotée 9.44 peut toutefois être téléchargée à cette adresse.En prévision du rebond de la demande, les fabricants présentent des stations de travail mobiles plus petites, plus fines et plus légères. Grâce à elles, ils espèrent freiner l'usage croissant de PC portables professionnels haut de gamme dans des environnements propres aux stations de travail.
Selon IDC, les ventes de stations de travail mobiles ont baissé de 1% en 2013 dans la région EMEA. Ce chiffre signe, certes, une nouvelle décroissance du marché. Mais il traduit tout de même une amélioration notable de la situation par rapport à l'année précédente lors de laquelle les livraisons avaient reculé de 20%. Les choses devraient continuer de s'améliorer en 2014 où les ventes de stations de travail mobiles sont attendues en hausse de 2,3%. D'après le cabinet d'études, le secteur va tirer profit du redressement de l'économie et du retour de la volonté d'investir des entreprises.Malgré tout, l'inflation, les taux de chômage importants et les restrictions de crédit continueront d'être des obstacles à une hausse plus importante du marché des stations de travail mobiles. En outre, IDC indique que la crise de la dette qui frappe l'Union Européenne, marché le plus important et le plus mature pour les stations de travail, exerce une pression négative sur beaucoup d'économies et limite ainsi les grands projets publics. Prenant tous ces éléments en compte, Mohamed Hefny, analyste chez IDC, indique que les moyennes et les grandes entreprises resteront prudentes quant à leurs investissements IT, surtout lorsqu'il s'agit de stations de travail. Elles donneront davantage la priorité au cloud computing, aux infrastructures de postes de travail virtuels et aux applications mobiles.
Face à cette situation d'incertitude, les fabricants de stations de travail ne restent pas les bras croisés à attendre que leur marché se redresse. Ils sont déjà en train de mettre sur le marché des modèles plus petits, plus fin et plus légers dans l'optique de freiner l'usage croissant des PC portables professionnels haut de gamme en lieu et place des stations de travail. Ils misent pour cela sur une meilleure qualité au niveau du graphisme, une autonomie plus importante, d'avantage de mémoire ainsi que la possibilité de connecter les machines à plusieurs moniteurs à la fois.
Avec le programme ProDeploy Client Suite, Dell souhaite proposer à ses partenaires intégrateurs une gamme de services de déploiement de PC incluant des images système pré-chargées ou encore un Bios configuré. Un service de migration de données, avec effacement sécurisé des informations contenues sur les anciens systèmes, est également proposé.
Il est depuis longtemps difficile de dégager des marges intéressantes dans le commerce des PC. Aussi, les revendeurs se montreront-ils peut-être intéressés par le nouveau programme que lance Dell EMC pour le déploiement de parcs d'ordinateurs. Baptisé ProDeploy Client Suite, le dispositif renferme des prestations qui peuvent être revendues ou co-délivrées (en fonction des certifications obtenues) par les partenaires. Ses atouts, selon Dell EMC, sont d'apporter aux clients un meilleur contrôle de leurs installations de postes clients et de les réaliser plus rapidement.Pour ce faire, trois niveaux de services sont proposés au sein du programme ProDeploy Client Suite. Basic Deployment, le premier d'entre eux, permet aux clients de réceptionner des ordinateurs préparés, avec une image système pré-chargée, un BIOS configuré et des étiquettes d'inventaires appliquées. ProDeploy, le second niveau, propose tous les services pré-cités et comprend aussi la mise à disposition d'un ingénieur spécialisé dans les déploiements qui va développer un plan de mise en oeuvre couvrant tous les aspects de l'installation et de la confirguration des matériels comme des logiciels qui leurs sont associés. Par ailleurs, les clients ont accès à l'outil ImageAssist qui autorise la création rapide, le déploiement et la maintenance d'une image système sur l'ensemble des PC en production.
Les clients qui souhaitent le plus haut niveau de services prévu par ProDeploy Client Suite opteront pour le niveau ProDeploy Plus. Ce dernier reprend l'ensemble des prestations de ProDeploy avec en supplément la prise en charge de l'ensemble des tâches à réaliser pour disposer de nouveaux PC, depuis l'usine jusqu'aux bureaux des collaborateurs. Il donne aussi accès au système Dell Connected Configuration qui ouvre la possibilité de placer au sein des usines de Dell EMC une instance du System Configuration Manager de Microsoft d'une entreprise pour lui permettre de stocker et de maintenir elle-même les images des PC et le BIOS. Grâce à lui, une entreprise peut également accomplir des opérations de configuration qui ne sont normalement possibles que lorsqu'un PC est présent sur son réseau. Un service de migration de données, avec effacement sécurisé des informations contenues sur les anciens systèmes, est également proposé. Dell EMC offre aussi des crédits de formation et un service d'assistance valable pendant 30 jours après le déploiement. En outre, un référent technique est designé. Selon Dell EMC, ce niveau de services permettrait de réduire de 35% le temps de déploiement des PC et d'économiser jusqu'à 620 $ part PC déployé.
Les projets de déploiements effectués dans le cadre du programme ProDeploy Client Suite sont initiés et gérés par les clients et/ou les partenaires depuis le portail web TechDirect. Il permet également aux partenaires d'obtenir la certification Deployment Services Compentency qui les leur permet de co-délivrer prévus par ProDeploy et ProDeploy Plus.Bien qu'ayant enregistré leur première décroissance annuelle, les ventes de l'iPhone ont dépassé celles des smartphones de Samsung au quatrième trimestre. Toujours numéro un du secteur sur douze mois, le fabricant sud-coréen a fait les frais de l'affaire des batteries explosives du Note 7 et de la concurrence de plus en plus rude de ses concurrents chinois.
Malgré les préoccupations des industriels, les ventes mondiales de smartphones ne se sont pas effondrées en 2016. Comparées à l'année précédente où leur hausse avait atteint 10,4%, elles ont réussi à progresser de 2,3% à 1,47 milliards d'unités, selon IDC. Et pourtant, les leaders du secteur que sont Samsung et Apple ne sont pas parvenus à en tirer profit. Les volumes livrés par le premier et le second ont respectivement reculé de 3% et de 7%. C'est la première fois depuis l'existence de l'iPhone que les ventes du smartphones de la firme à la pomme baissent, note le cabinet d'études. A notre connaissance, c'est aussi la première fois que le nombre de terminaux écoulés par Samsung se repli.
L'autre événement de l'année 2016 est le fait qu'Apple ait pris la première place du classement des fabricants de mobiles dans le monde au cours du quatrième trimestre. Fort de ventes en hausse de 4,7% entre octobre et décembre, l'américain s'est en effet adjugé 18,3% de parts de marché. Dans le même temps, Samsung n'a capté que 18,1% des volumes commercialisés, à cause de livraisons en baisse de 5,2%. L'accession (momentanée ?) d'Apple au rang de numéro un mondial n'est néanmoins pas inédite. Cela est déjà arrivé une première fois au quatrième trimestre 2014. Durant le dernier quart de l'année passée, le fabricant sud-coréen a fait à la fois les frais de l'affaire des batteries explosives du Galaxy Note 7, de la bonne performance d'Apple avec ses iPhone 7 et de la concurrence de ses homologues chinois. Cette dernière a d'ailleurs une incidence sur ses résultats de l'ensemble de l'année.
La poussé des fabricants chinois a été encore une fois étonnante en 2016. Titulaires des trois dernières places du Top 5 mondial des fabricants de smartphones, ils sont tous parvenus à renforcer leurs positions. Numéro trois du secteur avec 9,5% de parts de marché annuelles (+2,1 points), Huawei a vu ses ventes progresser de 30,2%. Au cours du quatrième trimestre, le fabricant est même parvenu à capter une part de marché à deux chiffres (10,6%). En très forte progression également, avec des livraisons qui se sont appréciées de 132,9%, Oppo capte désormais 6,8% des ventes mondiales en volume. Quant à Vivo, ses parts de marché ont été portée à 5,3% (+2,7 points), grâce à un nombre d'unités écoulées en croissance 103,2%.Une étude menée par IDC pour le compte de Dimension Data et Cisco, montre que les équipes en charge des opérations et de l'administration informatiques passent la majeure partie de leur temps sur des tâches à faible valeur ajoutée - mais non moins essentielles - pour la DSI. Afin de consacrer plus de temps sur l'innovation et les nouveaux projets, passer par l'optimisation et l'automatisation des processus IT pourrait s'avérer utile.
On entend souvent dire - et à juste titre - que le coeur de métier d'une entreprise n'est pas l'informatique. Il va maintenant devoir aussi s'habituer au fait que la DSI a de plus en plus comme objectif de passer moins de temps sur des tâches de bas niveau pour en passer un peu plus sur d'autres, à plus forte valeur ajoutée. D'après une étude menée par le cabinet IDC pour le compte de Dimension Data et de Cisco, on apprend ainsi que les équipes chargées des opérations et de l'administration informatiques passent près du quart de leur temps (21%) sur des tâches liées à l'installation de logiciels, de mises à jour, de correctifs ou encore de configuration. 20% de leur temps est également consacré au provisioning de ressources de stockage, serveur et/ou réseau, sachant qu'ils sont également bien occupés par les opérations de monitoring, résolution d'incidents et de remédiation (près de 16%).Revers de la médaille, les équipes IT passent moins de 15% de leur temps (14,5%) sur des pistes d'innovation et sur de nouveaux projets. « L'informatique est encore inefficace dans les environnements complexes actuels. En effet, les opérations IT fondamentales manquent toujours d'efficacité et finissent par consommer la majeure partie des ressources », peut-on lire dans l'étude.
Afin de réallouer du temps aux équipes IT pour permettre de pousser l'innovation et faire éclore de nouveaux projets, l'optimisation et l'automatisation des processus informatiques existants pourrait, d'après l'étude, constituer une aide précieuse. Hors actuellement, tous les systèmes sont loin d'être hautement automatisés. La proportion varie en fonction de leur nature : dans les serveurs, près d'un quart pourrait encore être hautement automatisés (23,3%) contre plus du tiers des systèmes réseaux (36,5%) et plus de 9 systèmes de stockage sur 10 (93,1%).Outre des gains de temps au profit de l'innovation et des nouveaux projets, l'optimisation et l'automatisation des systèmes et tâches informatiques permettrait également de constituer un terreau propice à la numérisation de l'entreprise. « L'automatisation permet à l'IT de devenir de plus en plus efficace dans la fourniture de services au business et constitue un élément de l'histoire de la transformation numérique. Elle englobe toute la pile infrastructure, y compris l'architecture. »Le cabinet d'études IDC prévoit que les investissements IT réalisés dans l'Hexagone cette année avoisineront les 49 Md€. Les secteurs des services et du logiciel devraient croître, à l'inverse de celui des infrastructures.
Selon IDC, les dépenses IT réalisées sur le marché français atteindront 48,9 Md€ en 2017, soit 2% de mieux que l'année passée. La transformation numérique des entreprises devrait nourrir notablement cette croissance, puisque le cabinet d'études s'attend à ce que les organisations y consacrent 11,7 Md€ (+14%). Avec une prévision de hausse annuelle de 4,2%, l'industrie du logiciel est celle qui devrait tirer le plus profit de la progression globale prévue. De son côté, le chiffre d'affaires du marché des services devrait s'apprécier de 2,6%. A l'inverse, les ventes d'infrastructures classiques devraient connaître un recul de 1,7%.Ces dernières souffrent de la concurrence du cloud public qui captera 13,1% des revenus du segment des infrastructures cette année. En comparaison, il s'arrogera 24% des revenus du segment des applications et 8,9% de ceux du marché des systèmes (machines virtuelles, containers...).D'après les prévisions d'IDC, 58% des DSI investiront dans des solutions de sécurité de nouvelles générations. Elles seront 46% à réaliser des dépenses dans le big Data et l'Analytics, 32% dans l'IoT, 30% dans les systèmes cognitifs, et 30% dans la réalité virtuelle ou augmentée.