Oracle, de son côté, dit vouloir offrir aux spécialistes des données (scientifiques, ingénieurs...) une solution cohérente quelle que soit l'infrastructure dans laquelle ils travaillent, que ce soit sur leur ordinateur portable, dans la base de données elle-même ou sur Hadoop. Sa distribution de R est téléchargeable gratuitement.
Les institutions de paiement demeurent les cibles favorites des pirates, qui n'hésitent plus à investir Facebook pour toucher le plus grand nombre d'internautes, selon un rapport de l'éditeur Bitdefender. Dans son rapport sur l'état des e-menaces dans le monde au premier semestre 2012, Bitdefender souligne que les quelque 900 millions d'utilisateurs de Facebook ont été exposés à une multitude d'escroqueries. Les plus répandues concernent des messages allant du classique changement de couleur de Facebook à la suppression de sa fonction Journal (Timeline).
L'internaute doit alors télécharger puis installer une extension pour Firefox ou Chrome qui, non seulement va modifier le site Facebook en manipulant les feuilles de style, mais va également effectuer des redirections vers des pages d'enquêtes ou des services SMS surtaxés. De fausses applications Facebook s'en prennent également aux données des utilisateurs d'appareils portables. Bitdefender cite l'application Girlfriend Checklist, capable de surveiller le trafic des mobiles et de rediriger les utilisateurs vers des jeux Android qu'ils sont invités à installer.Le spam pharmaceutique, proposant pilules et autres produits stimulants, représente 46% de l'ensemble des courriers indésirables envoyés dans le monde. Viennent ensuite les emails liés à la contrefaçon (15,2%), les casinos (12,5%) et les sites de rencontre (7,5%).Du côté du phishing, PayPal est de très loin le service en ligne le plus visé, représentant à lui-seul 52% de l'ensemble de ces tentatives d'arnaques. Plus de la moitié (51%) de toutes les pages de phishing du monde entier sont hébergées sur des serveurs ou des ordinateurs aux Etats-Unis. Seuls 3% le sont en France.
Intel prépare déjà les puces Core de quatrième génération - nom de code Hasawell - qui succéderont aux Ivy Bridge. Au programme, une consommation électrique sérieusement rabotée et de meilleures performances CPU et graphiques.
IDF 2012 : Avec ses puces Haswell, Intel espère doubler l'autonomie des ultrabooks
Selon les dirigeants d'Intel présents à l'Intel Developer Forum (IDF) qui s'est tenu à San Francisco (11-13 septembre), la durée de vie de la batterie des ultrabooks va presque doubler grâce aux futurs processeurs basés sur la microarchitecture Haswell et dont la consommation n'excèdera pas 10 watts. Les puces Haswell, qui succèderont aux processeurs Ivy Bridge, permettront aussi d'améliorer les performances graphiques et l'exécution des applications. Comme l'a déclaré Dadi Perlmutter, directeur produit chez Intel lors d'un discours à l'IDF, « des ultrabooks équipés de la puce Haswell apparaîtront sur le marché dès l'an prochain ».Actuellement, il y a sur le marché plus de 70 modèles d'ultrabooks intégrant des processeurs Intel, mais les premières ventes de ces ordinateurs portables fins et légers avec des fonctions tactiles ont été décevantes, en partie à cause de leur prix, trop élevé. Parmi les futurs modèles, certains tourneront sous Windows 8 et seront dotés d'un écran tactile détachable pour les transformer en tablette.
Les puces Haswell ont été conçues pour les ultrabooks, et leur consommation électrique a été drastiquement réduite pour qu'elles puissent s'intégrer aussi dans des tablettes. Certaines puces Haswell consomment moins de 10 watts pour une performance équivalente aux puces Ivy Bridge qui consomment elles 17 watts. Mais selon Intel, « à consommation égale, la puce Haswell peut être deux fois plus performante que la puce Ivy Bridge ». Le fondeur a d'ailleurs réparti ses puces Haswell en deux familles selon les besoins, et les deux versions seront disponibles pour les ultrabooks dès l'an prochain. Une famille de processeurs Haswell, dont on ne connaît pas le nom, consommera moins de 10 watts et sera destinée aux ultrabooks convertibles. Intel n'abandonne pas pour autant ses loyaux processeurs Core, dont la consommation varie entre 15 et 17 watts. Les deux familles de processeurs sont basées sur le design du processeur Core, qui a subi quelques modifications pour réduire la consommation en dessous de 10 watts.
Sur les ultrabooks convertibles intégrant des processeurs Haswell dont la consommation n'excède pas 10 watts, la durée de vie de la batterie sera doublée. C'est une amélioration par rapport aux 17 watts minimum consommés par les puces Sandy Bridge actuelles. « Nous allons presque doubler la durée de vie de la batterie », a déclaré Kirk Skaugen, vice-président et directeur général du groupe clients PC, lors d'une présentation séparée à l'IDF. Selon les fabricants de PC, les ultrabooks équipés de la puce Ivy Bridge offrent une autonomie de 6 à 8 heures, et parfois jusqu'à 10 heures. Avec les nouvelles puces, les ultrabooks convertibles pourraient bénéficier d'une autonomie de 12 heures, pouvant peut-être aller jusqu'à 20 heures. Dadi Perlmutter a aussi déclaré que les puces Haswell seraient plus rapides et pourraient être utilisées dans des ultrabooks et des PC haute performance. Mais dans ce cas, la consommation d'énergie de la puce risque d'être plus élevée.
Les ultrabooks équipés de puce Haswell seront disponibles en 2013, mais les responsables d'Intel ne se sont engagés sur aucune date précise. Selon les analystes, les ultrabooks intégrant des processeurs Haswell devraient être disponibles à partir de mi-2013. Les puces Haswell ont été optimisées pour les fonctionnalités de gestion d'alimentation de Windows 8, et la réduction des pertes d'énergie contribuera aussi à augmenter l'autonomie des machines. Les ultrabooks Haswell auront des capacités de mises en veille 20 fois supérieures à celle des ultrabooks équipés de processeurs Sandy Bridge, c'est-à-dire deux générations avant Haswell. « La puce Haswell est très prometteuse et pourrait permettre de concevoir de nouveaux facteurs de forme », a déclaré Nathan Brookwood, analyste principal chez Insight 64, lors de l'IDF. « C'est forcément très intéressant d'avoir une puce qui consomme moins de 10 watts avec des performances comparables à celle d'Ivy Bridge. Les facteurs de forme peu épais et les tablettes pourront offrir ainsi une très bonne autonomie », a encore déclaré l'analyste.
Mais l'avenir d'Haswell dépend aussi de l'évolution de l'offre de puces Atom que l'on trouve dans les tablettes et les netbooks et qui consomment moins de 10 watts. Le vice-président exécutif et directeur général de l'Intel Architecture Group a aussi insisté sur l'amélioration des performances graphiques de Haswell, un point traditionnellement faible par rapport aux puces du rival AMD. Dadi Perlmutter n'a pas hésité à dire que les futures puces Haswell « offriront les meilleures performances graphiques possible sur Terre ! » Le GPU des Haswell supportera le graphisme 4K, c'est-à-dire qu'elle sera capable de gérer des résolutions jusqu'à 4096 x 3072 pixels. Parmi les autres caractéristiques des ultrabooks Haswell à venir, on compte la recharge sans fil, les capacités NFC, l'interaction vocale et des fonctionnalités de sécurité supplémentaires.
Le réseau social Facebook comptait fin juin 955 millions de visiteurs actifs, en hausse de 29% sur un an, dont 552 millions qui se connectent tous les jours, selon des chiffres publiés par le cabinet Nielsen. Les utilisateurs sont toujours plus mobiles car 543 millions d'entre eux se connectent au moins une fois par mois depuis un téléphone portable, un bond de 67% par rapport à 2011, selon ces chiffres fournis mardi par Facebook.
La France compte 26 millions d'utilisateurs du réseau social, dont 63% se connectent chaque jour. La moitié des utilisateurs (13 millions) utilise un terminal mobile pour s'y connecter.
Les derniers chiffres de Nielsen montrent que l'utilisation de Facebook croît de manière constante pour s'établir fin juin à plus de 7 heures mensuelles pour les utilisateurs américains, contre 05H18 par mois pour les Français.Selon Facebook, quelques 235 millions d'utilisateurs dans le monde jouent chaque mois avec des jeux conçus pour le réseau social, contre 205 millions l'an dernier, en hausse de 14,6%. Cela représente un marché grandissant pour les entreprises de développement de jeux, notamment européennes, et permet de développer "un écosystème plus dynamique que jamais", estime Facebook.Ainsi, cinq des dix premières entreprises qui utilisent le réseau social dévolu aux loisirs et à la convivialité sont européennes souligne Facebook : la britannique Kingcom, l'allemande Wooga, la turque Peak Games, l'espagnole Social Point, et la française Freshplanet.
Le site internet communautaire Facebook a vu son titre chuter presque de moitié depuis son entrée en Bourse le 18 mai, à un cours largement surévalué selon certains analystes. La jeune société de Mark Zuckerberg, qui bénéficie d'un nombre exceptionnel de clients, est maintenant attendue sur la manière dont elle saura en tirer profit.Publié pour la première fois dans le cadre du rapport State of Information 2012, le Digital Information Index de Symantec a pour objectif de représenter sur un planisphère la prolifération des informations et de fournir un baromètre sur l'emplacement des informations dans différentes régions du monde. Il en ressort que la Chine et l'Inde sont les pays les plus touchés par la prolifération des informations avec respectivement un indice à 108 et 151 points, alors que dans le même temps, le Japon est plus épargné par ce phénomène (75 points). Avec un indice base 100 pour la moyenne mondiale, la Suisse se situe à 93 points et la France à 86 points. D'une manière générale, la prolifération des informations s'explique par l'utilisation de plus en plus importante des terminaux mobiles dans l'entreprise.
Stockage des informations commerciales Globalement, Symantec estime que 14% des informations des entreprises sont stockées sur les smartphones et les tablettes. Toutefois, les différences entre les pays sont importantes. Ainsi, ce taux se situe à 62 % pour l'Inde, à 46% pour l'Australie et la Nouvelle-Zélande et 38% pour l'Italie mais à 11% pour la France. Par ailleurs, au niveau mondial, les utilisateurs peuvent accéder à 28% des informations de l'entreprise via un terminal mobile (43% en Inde, 42% au Brésil, 39% à Singapour et 23% en France). En raison des avantages du cloud en termes de coût et d'agilité, de plus en plus d'entreprises y stockent leurs données. En effet, 23% des informations professionnelles sont stockées dans des clouds publics, privés ou hybrides. Ce chiffre est encore plus élevé en Indonésie (45 %), en Chine (39 %), au Vietnam (34 %) et au Japon (32 %). Les données spécifiques à la Suisse n'ont pas été communiquées.
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