La firme a finalement opté pour SAP CRM, installé sur les PC portables des forces de vente, complété par la plate-forme de mobilité SUP (Sybase Unwired Platform), héritée du rachat de Sybase. Cette offre comprend un environnement de développement, ainsi qu'une couche d'intégration avec SAP. « Toute la difficulté du volet mobilité a consisté à définir les fonctions de mobilité utiles pour les commerciaux, et en conséquence, les données à répliquer sur les PC portables », explique Isabelle Illy-Weisbecker, DSI d'Ingenico.Un déploiement sur tablette est désormais envisagé. « Le portage, par exemple sur iPad, devrait être assez rapide car il suffirait juste de revoir l'interface utilisateur. Les aspects bases de données et synchronisation sont en effet complètement mutualisés », explique Isabelle Illy-Weisbecker. L'entreprise a témoigné à l'occasion de la convention annuelle de l'USF (association des utilisateurs de SAP Francophones) à Dijon les 3 et 4 octobre 2012.
Intel profitera du salon Computex pour annoncer la sortie de 30 modèles d'ultrabooks avec écrans tactiles et puces Ivy Bridge, Certains d'entre eux pourront être exploités en mode tablette.
Intel a indiqué avant-hier qu'une série d'ultrabooks équipés des dernières puces Core Ivy Bridge commenceraient à être commercialisées à partir du mois de juin et qu'une trentaine de modèles seraient dotés d'un écran tactile. La firme de Santa-Clara annoncera officiellement la sortie de ses puces Ivy Bridge pour PC portables lors du salon Computex qui se déroulera du 5 au 9 juin à Taiwan. Becky Emmett, porte-parole de la compagnie, a précisé que certains ultrabooks seraient convertibles grâce à un écran rotatif permettant de les exploiter en mode tablette.Au début de l'année, le constructeur chinois Lenovo avait présenté l'IdeaPad Yoga, un mélange d'ultrabook et de tablette tactile tournant avec la version pré-bêta de Windows 8. L'interface tactile Metro sera activé lorsqu'il est plié en mode tablette. Equipé d'un écran de 13,3 pouces, ce modèle de 1,6 centimètres d'épaisseur pèse1,4 kg. Pour l'heure, le fabricant n'a pas fourni de détails sur son prix, ni sur sa disponibilité.
Dell lancera également des ultrabooks tactiles et des tablettes lors de la sortie de Windows 8, La semaine dernière, le PDG du groupe, Michael Dell, a déclaré qu'ils seraient probablement commercialisés à un prix un peu plus élevé que des équipements similaires sans écrans tactiles.Les ultrabooks ont essuyé des critiques par certains qui considèrent leurs tarifs trop élevés, avec des prix qui peuvent atteindre 800 dollars ou plus. Les modèles animés par les derniers processeurs Core seront probablement disponibles à partir de 699 $ d'ici la fin de l'année, a déclaré Becky Emmett, sans préciser s'ils intègreraient une interface tactile. La porte-parole d'Intel a ajouté qu'environ 110 modèles d'ultrabooks étaient actuellement en cours de fabrication avec ou sans écrans tactiles, « C'est une amélioration importante par rapport aux 21 ultrabooks développés avec les processeurs Core basés sur l'architecture Sandy Bridge », a-t-elle estimé.
HP a déjà présenté ses ultrabooks avec puces Ivy Bridge - mais n'a encore rien indiqué sur ses modèles à écran tactile. Acer et Lenovo ont également annoncé les leurs et Toshiba devrait leur emboîter le pas. Les utilisateurs de ces PC portables fins et légers verront un avantage significatif en termes de performances avec les puces Ivy Bridge, selon Becky Emmett. Elle a assuré que les processeurs Core basse consommation qui intègrent des circuits graphiques embarqués, délivrent deux fois plus de performances que les puces Sandy Bridge. Au début de l'année, un porte-parole d'Acer avait affirmé que les puces Ivy Bridge améliorait les performances du CPU de 20% par rapport aux Sandy Bridge.Les ultrabooks sont capables de sortir du mode veille prolongé en moins de sept secondes. Ils disposent de fonctionnalités de sécurité qui peuvent les désactiver à distance ou les pister en cas de vol.Intel a installé des fonctions supplémentaires et instauré des exigences techniques pour ses ultrabooks, dont un minimum de 5 heures d'autonomie, l'intégration de ports USB 3.0 et de Thunderbolt pour accélérer le transfert des données. Les versions à écran de moins de 14 pouces ne devraient pas dépasser les 18 mm d'épaisseur et les modèles de taille plus importante n'excéderont pas 21 mm.
Le fondeur a introduit le concept des ultrabooks l'an dernier, dans le but de proposer des PC portables fins et légers offrant une connectivité permanente, une batterie longue durée et des temps de démarrage rapide. Ils ont été lancés pour redonner des couleurs au marché affaibli des PC et aider à conforter Intel face à la demande croissante des tablettes, un domaine où il n'est encore qu'un acteur marginal.Après ces modèles à base d'Ivy Bridge, Intel prévoit de lancer une troisième vague d'ultrabooks en 2013. Equipés des prochains processeurs Core Haswell, ces modèles seront encore plus fins, auront davantage d'autonomie et proposeront des fonctionnalités telles que la reconnaissance vocale.
A partir de 2002, la ville de Paris a déployé de nombreux services sur Lutèce. Cet outil développé pour un usage interne et reversé à la communauté en Open Source connaît un succès croissant, y compris hors de la ville.Déployé à partir de 2002, Lutèce fête en ce moment son dixième anniversaire. La ville de Paris a rappelé, au cours d'une cérémonie le 21 novembre 2012 au soir, les succès de ce progiciel développé pour son usage et reversé en Open Source. Il est aujourd'hui largement utilisé non seulement au sein de la ville de Paris mais aussi à de nombreux autres endroits.
« Le site de Météo France est ainsi bâti sur Lutèce et connaît plus d'un million de visiteurs par jour » a mentionné en exemple Jean-François Danon, secrétaire général adjoint de la ville de Paris. Les utilisateurs de Lutèce sont nombreux : la Haute Autorité de Santé, l'Institut des Hautes Etudes Supérieures, la Mairie de Marseille...
Construit au départ comme un CMS banal, Lutèce comporte aujourd'hui plus de 180 plugins qui permettent aussi bien la gestion de contenu, le travail collaboratif, la dématérialisation des actes...A ce jour, plus de 180 projets et 400 instances de Lutèce sont déployés à Paris. On y trouve aussi bien des portails d'agrégation applicatifs (accès au système d'information social, portails des directeurs d'école, portail des fournisseurs...), des applications de gestions (gestion des marchés publics...), des services aux citoyens (Facil'Famille, enlèvement des encombrants, e-pétition...), des services aux personnels (compteurs RH...)... et, bien entendu, le site web Paris.fr.Parmi les grands projets récemment déployés, on peut mentionner la gestion des dossiers de délibération pour le Conseil de Paris. Des ordinateurs portables ont ainsi remplacé des tonnes de papier pour les élus et leurs collaborateurs. Catherine Schmitt, secrétaire générale du Conseil de Paris, a noté : « pour la prochaine mandature, nous réfléchissons à remplacer les portables par des tablettes ».
A l'horizon 2015, le m-commerce, c'est-à-dire les ventes en ligne réalisées depuis un smartphone, représenteront près de cinq milliards d'euros, selon les estimations d'une étude Xerfi-Precepta.
Dans la même tendance de croissance que le e-commerce, le m-commerce est promis à un avenir qui devrait enchaîner, année après année, les hausses des ventes. En 2012, deux milliards d'euros ont dépensés sur Internet, au moyen d'un téléphone portable. Un chiffre en hausse de 63% par rapport à 2011. En 2015, le panier d'achat virtuel constitué sur smartphone atteindrait 4,7 milliards d'euros, pour représenter un peu plus de 7% de l'activité du e-commerce. "Il existe encore un potentiel inexploité pour les distributeurs lorsque le consommateur est en déplacement et encore peu habitué ou sollicité à consommer depuis son téléphone" commente l'étude Xerfi-Precepta. C'est d'autant plus intéressant pour les commerçants en ligne que l'essor du e-commerce devrait, lui, s'essouffler en 2018, selon les prévisions. Le panier moyen du cyberacheteur devrait se stabiliser entre 2013 et 2015, pour s'établir à 87,50€. Le m-commerce incarnerait ainsi un nouveau relais de croissance.
OLPC ne livrera pas de tablette XO-3 mais indique que les technologies qui la composent pourront être utilisées séparément. L'organisation présidée par Nicholas Negroponte veut se consacrer à ses projets éducatifs.
One Laptop Per Child ne lancera pas sa tablette XO-3. Le projet a été abandonné, mais la technologie associée pourrait encore être utilisée dans d'autres produits, selon Nicholas Negroponte, président de l'organisme à but non lucratif. « La XO-3 n'a pas du tout disparu. Elle peut émerger sous la forme d'une de ses composantes, plutôt que sous la forme d'un tout », a-t-il expliqué dans un mail à nos confrères d'IDG News Service.
OLPC a démarré ses activités en 2005 avec un projet d'ordinateur portable. Son premier XO-1 a été salué pour sa conception particulière, respectueuse de l'environnement. L'annulation de la XO-3 intervient alors que les responsables de l'organisation ont indiqué que celle-ci pourrait se désengager de la mise au point de matériels pour se consacrer à des projets d'éducation.
L'organisme avait annoncé son projet de tablette XO-3 en 2009 et montré des prototypes au dernier CES de Las Vegas. Le terminal mobile, destiné à équiper des étudiants dans des pays en développement, devait être livré cette année pour 100 dollars. Mais sa sortie a été repoussée tandis qu'OLPC finalisait sa conception et cherchait des partenaires pour la fabriquer.Son prix avait initialement été fixé à 75 dollars, ce qui avait suscité quelques réactions, notamment parce que cela apparaissait irréaliste. OLPC n'avait pas l'intention de la fabriquer lui-même, comme il l'avait fait avec l'ordinateur portable XO-1. Ce dernier avait également été livré plus tard que prévu et, finalement, pour un prix deux fois plus élevé que les 100 dollars annoncés au départ.Le design de la XO-3 est toujours disponible. Certaines de ses technologies pourront être utilisées, comme ses capacités d'alimentation, fait remarquer Ed McNierney, directeur technique d'OLPC. Il souligne qu'il y a différentes technologies intéressantes dans ce projet, mais que le problème est plutôt de les rassembler pour en faire un produit qui convienne au public auquel il est destiné. « La Nexus 7 est bien aussi, et sa taille est plus adaptée à des enfants et il y a d'autres exemples de ce type ».
La tablette montrée au CES avait un boîtier renforcée, un écran de 8 pouces et parmi ses options, un chargeur solaire et le support d'une connexion Internet par satellite. Son affichage (Pixel Qi) préservait la batterie en utilisant la lumière ambiance pour éclairer l'écran. La priorité d'OLPC a toujours été l'éducation et le besoin de concevoir ses propres systèmes peut être mis de côté, estime Nicholas Negroponte. Les tablettes constituent un outil d'apprentissage important pour les enfants, il est possible de rendre plus robustes certains modèles bon marché qui existent déjà afin de pouvoir les utiliser dans les écoles, ajoute-t-il. « Il fallait que nous fabriquions le portable [XO-1], mais nous n'avons pas besoin de fabriquer la tablette. Cela peut se transformer en quelque chose d'autre. »OLPC a aussi conçu une tablette hybride qui se combine à un laptop, la XO-4, qui inclut certaines fonctionnalités de la XO-3. Ce produit est toujours programmé pour être lancé au début de l'an prochain. Il ressemble au laptop OX-1 d'origine mais présente un écran tactile qui peut pivoter et se plier sur le clavier pour devenir lecteur de livres électroniques.
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