Optimisée pour une utilisation au volant, l'application permet de profiter de l'ensemble des fonctionnalités du réseau social, à l'arrêt, et d'envoyer des messages prédéfinis par reconnaissance vocale lorsque la voiture roule.
Une spécialiste de la robotique du MIT a créé le robot de maison Jibo, un assistant personnalisé capable d'interactions plus chaleureuses qu'une tablette. Il reconnaît les voix et les visages, répond à des questions, peut raconter des histoires, prendre des photos... Une version physique humanisée de Siri, en somme.
Le projet Jibo vient de lever près de 600 000 dollars sur la plateforme de crowdfunding Indiegogo. La campagne de financement promet la livraison d'une première version en 2015, avant un lancement public en 2016.
HUMANISER LA TECHNOLOGIE
Pourquoi développer un nouvel assistant personnalisé en plus de Siri, Google Now, Blackberry et autres ? Le robot Jibo se veut une version humanisée, et une représentation physique d'un assistant intelligent.
Le robot a vocation, selon le site, à devenir partie intégrante de la famille.
Et si la technologie vous traitait comme un être humain ? Et si elle vous aidait comme un partenaire, et non pas comme un outil ? C'est l'objectif de Jibo, affirme la créatrice Cynthia Breazeal, chercheuse au MIT. Sur la vidéo de présentation du projet, Jibo ressemble étrangement à Eve, le compagnon du gentil robot Wall-e dans le dessin animé Pixar du même nom.
Les créateurs semblent miser avant tout sur un aspect social, avec un robot qui pourrait devenir le compagnon intelligent de personnes âgées par exemple. L'équipe a déjà établi un partenariat avec un hôpital américain pour accompagner les enfants malades.
PLUS D'INTERACTIONS QU'UNE TABLETTE
Jibo fonctionne avec une application dédiée sur iOS et Android. Il est équipé de deux caméras haute résolution, peut reconnaître les visages, prendre des photos et permet des vidéos conférences à plusieurs. Jibo peut également faire pivoter sa tête pour suivre le mouvement des individus.
T-MOBILE US DEMANDE À FREE DE REVOIR SON OFFRE À LA HAUSSE
Lors d'une conférence devant des analystes, le directeur financier de l'opérateur de téléphonie mobile T-Mobile US, courtisé par le français Iliad (maison-mère de Free dirigée par Xavier Niel), a laissé entendre qu'il pourrait être intéressé par une offre plus élevée que celle actuellement sur la table.
LA RÉVOLUTION DE L'USB RÉVERSIBLE
L'USB 3.0 Promoter Group a publié le 12 août les spécifications techniques de la nouvelle norme régissant le standard USB. Le nouveau connecteur pourra se connecter sur les mobiles, les tablettes et les laptops mais surtout... il pourra se brancher dans n'importe quel sens !
QUAND ROBIN WILLIAMS IMPROVISAIT DEVANT LE PATRON DE GOOGLE
Alors que la semaine a été entachée par la disparition de Robin Williams, L'Usine Digitale a ressorti des archives une vidéo montrant l'acteur américain effectuant un exercice d'improvisation de haute volée. Lors d'une conférence TED-BBC organisée en 2008, il avait en effet profité d'un incident technique pour monter sur scène et assurer le show devant le cofondateur de Google qui participait à l'évènement.
Après l'annonce par Iliad (maison mère de Free) de sa volonté de rachat de T-Mobile US, Sprint (un autre opérateur américain qui était sur les rangs) a jeté l'éponge tandis que Dish (société américaine de diffusion par satellite) pourrait être intéressé.
Deutsche Telekom (maison mère de T-Mobile US), pourrait, elle, attendre un climat politique plus favorable pour vendre sa filiale.
GUERRE OUVERTE CHEZ LES VTC
Uber et Lyft, les deux start-up californiennes devenues les pires ennemis des taxis avec leurs applications de réservation de véhicules, s'affrontent désormais ouvertement. Toutes deux viennent de lancer des offres concurrentes pour que leurs utilisateurs puissent partager le coût d'une course. Ne s'étant pas encore internationalisée alors qu'Uber existe déjà dans 42 pays, Lyft mise tout sur le big data pour tirer son épingle du jeu.
WIKIPEDIA, VICTIME DU DROIT À L'OUBLI EUROPÉEN
Jimmy Wales, le fondateur de Wikipedia, a virulemment critiqué la mesure européenne pour le droit à l'oubli numérique après que des pages de l'encyclopédie libre ont été déréférencées par Google.
USB : LE VER EST DANS LE FRUIT
Deux chercheurs ont découvert que l'USB présente une faille de sécurité grave, inhérente à son design.
Ils sont parvenus à modifier le firmware (logiciel interne) d'un appareil pour lui faire exécuter du code aussi malicieux qu'indétectable.
L'ÉCRAN EN SAPHIR DE L'IPHONE 6 DÉJÀ PRODUIT
D'après le site Macrumors, l'entreprise américaine spécialisée dans la fabrication de saphir synthétique et partenaire d'Apple, GT Advanced Technologies, a démarré la production de ce matériau particulièrement résistant qui composerait l'écran du prochain iPhone.
LE CONFLIT ISRAÉLO-PALESTINIEN VU DU CIEL
Alexander Gerst, astronaute allemand présent à bord de la Station spatiale internationale depuis le 28 mai dernier a posté sur Twitter sa plus triste photo, affirmant que les explosions et tirs de rockets sur la bande de Gaza étaient visibles depuis là-haut.
LA LISEUSE DU FRANÇAIS BOOKEEN DÉBARQUE AU BRÉSIL
Le français Bookeen a lancé une gamme de liseuse au Brésil, en partenariat avec le premier libraire local, Saraiva. Un nouveau marché prometteur pour le fabricant, déjà associé à Carrefour et Relay en France.
SUNRISE BOUSCULE LE CALENDRIER PRO
Sunrise a développé un calendrier intelligent pour rassembler au même endroit les calendriers professionnel et personnel et compte l'adapter aux besoins de l'entreprise.
L'Usine Digitale a renconté Pierre Valade, le patron français de cette start-up basée à New York.
BIENTÔT DES POP-UP PERTINENTS DANS HANGOUTS
Pas de trêve estivale pour Google qui poursuit ses acquisitions. Il vient de racheter Emu, une application de messagerie instantanée qui inclut un assistant personnel directement dans les conversations, capable de fournir automatiquement des suggestions suivant le contexte de celles-ci. Des fonctionnalités qui devraient être intégrées à Google Hangouts.
HILLARY CLINTON A DOMPTÉ TWITTER
Les élections politiques américaines reposent désormais beaucoup sur les réseaux sociaux, et notamment sur Twitter. Barack Obama avait su en tirer profit lors de ses deux campagnes. Pressentie pour prendre sa succession en 2016, Hillary Clinton s'est déjà mise à l'œuvre et travaille subtilement son image sur le site de microblogging.
Google s'immisce petit à petit sur le marché des applications à destination des professionnels, adaptant ses produits grand public aux besoins des entreprises. Dernier en date, son service de messagerie instantanée et de visioconférence, Google Hangouts.
Google Hangouts, le service de messagerie instantanée et de visioconférence de Google, sera bientôt intégré à la sélection d'applications cloud de Google pensée pour les entreprises (Google Apps for Businesses).
Hangouts, qui s'appuie sur les bases du protocole XMPP (qu'utilisait également ses précédents services, notamment Google Talk), est fortement intégrée au réseau social Google+ et nécessitait jusqu'à maintenant d'avoir un compte associé.
Cette nécessité devrait disparaître pour les clients professionnels, qui verront également le service se doter d'un support permanent et d'une garantie de fiabilité de 99,9% (courant pour les services web professionnels). Une compatibilité avec les Chromebox (ordinateurs de bureau tournant sous Chrome OS) est également prévue.
Des efforts consentis par Google qui tente d'imposer son service à la fois comme un rival à Skype (acquis par Microsoft en 2011) pour le grand public et à Microsoft Lync (anciennement Communicator) pour les professionnels. De manière plus générale, Google cherche à installer sa suite d'applications en ligne comme un rival crédible et pérenne à la suite bureautique Office, qui représente depuis de nombreuses années une manne précieuse pour la firme de Redmond.
Ci-dessous, une vidéo de présentation commerciale de Google Hangouts en entreprise :
Après avoir remporté deux prix au CES de Las Vegas, le bracelet connecté pour surveiller son exposition au soleil, June de Netatmo, se met au service des inconditionnels du bronzage estival.
Le bijou connecté, dont l'ornement est un petit galet à facettes équipé de capteurs UV, communique par Bluetooth avec l'iPhone. Via l'application dédiée, téléchargeable gratuitement, il indique le taux d'exposition au soleil et conseille ses porteurs sur l'indice de crème UV le plus approprié, envoie une alerte en cas de coup de soleil imminent et calcule le taux d'exposition au soleil optimal par jour. Ainsi, June peut prévenir le vieillissement de la peau, voire des risques de tumeurs cutanées.
Vendu au prix de 95 euros, le bijou anti coup de soleil est disponible sur les étals depuis le 15 juin 2014.
La machine à vapeur, l'électricité : les précédentes révolutions industrielles ont stimulé la productivité dans l'ensemble des secteurs de l'économie, entrainant dans les pays concernés une croissance forte. Pour Bernard Guilhon, professeur d’économie à Skema Business School, les Nouvelles Technologies de l'information et de la communication n'ont pas eu cet effet miracle.
Ralentissement de la productivité, emploi stagnant, coûts techniques et d'organisation qui ne baissent pas…
Certains économistes pointent les retombées inattendues de la vague d'innovation qui s'est emparée des Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication (NTIC).
Outre-Atlantique, le paradoxe de Solow (qui pose que le progrès technique apporté par les NTIC n'a pas eu autant d'impact sur l'ensemble de l'économie que les précédentes révolutions industrielles, qui ont dégagé d'importants gisements de productivité, ndlr) est toujours d'actualité. Au moment où les gains de l’investissement informatique auraient dû se matérialiser, la production s'est contractée dans les secteurs utilisateurs des TIC par rapport au reste de l'industrie.
DISCONTINUITÉS TECHNOLOGIQUES
Le ralentissement de la productivité du travail au début des années 2000 est associé à une production déclinante et à une contraction encore plus forte de l'emploi dans ces secteurs. La discontinuité technologique provoquée par les TIC ne semble pas avoir les effets attendus : accroître la production et, par là, l'emploi grâce aux améliorations qualité-coût.
Artefact statistique ?
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