Un porte-feuille intégré à l’iPhone et un système de sécurité qui utiliserait directement la touche de sécurité Touch ID de l’iPhone 5S ? Selon The Information, c'est le nouveau service que développerait actuellement Apple, en partenariat avec Visa.
LA MISE EN PLACE D'UNE PUCE NFC
Pour ce faire, les informations de la carte de crédit seraient stockées dans l’iPhone et les paiements s'effectueraient, par le biais d'une puce NFC, par Wifi ou par Bluetooth.
Pour l’heure, Apple n'a pas confirmé cette information. Ce service de paiement mobile, s'il était lancé à l'automne prochain, coïnciderait avec la sortie des iPhone 6 qui pourrait être équipé de cette puce et qui disposera également de la Touch ID.
Le site américain annonce 200 suppressions de postes, sur les 700 que compte Beats. Les employés conservés seront transférés chez Apple. Ce sont principalement les fonctions liées à la finance, aux ressources humaines, à la comptabilité qui risquent d'être sacrifiées.
Côté nominations, c'est Phil Schiller, le vice-président marketing d'Apple, qui dirigera l'équipe hardware de Beats tandis que les activités liées au streaming musical devraient être intégrées à la division iTunes d'Apple.
Mi drone-mi smartphone, le Flone permet de transporter un simple téléphone dans les airs, pour prendre des photos et des vidéos à 20 mètres d'altitude.
Cet appareil, conçu par l'artiste Lot Amorós, et les ingénieurs Cristina Navarro et Alexandre Oliver, a gagné le "Next Things award" en 2013, rapporte le site du Guardian.
La machine est facile et économique à concevoir. Sa structure en bois est alimentée par une batterie autonome et quatre propulseurs. Le smartphone installé sur le Flone est commandé à distance par un autre téléphone, via une application dédiée. Il peut par exemple zoomer pendant le vol ou passer du mode vidéo au mode photo.
La start-up française CodLight, créée par deux anciens de Texas Instruments, imagine des produits basés sur une utilisation innovante de la lumière. Sa première création, une coque pour smartphone incluant un "deuxième écran" en diodes électroluminescentes (LED), est disponible en pré-commande sur Kickstarter.
Les smartphones modernes sont souvent équipées de LED : une ou plusieurs diodes lumineuses qui clignotent et changent de couleur pour signaler des notifications. Mais la technologie est encore sous-exploitée. Yan Lee-Dajoux et François Mazard, deux anciens de Texas Instruments, considèrent pourtant que mieux utilisée, la technologie LED permettrait de réinventer l'interaction entre l'utilisateur et la machine. Pour développer des produits autour de cette idée, ils ont créé la start-up Codlight, basée à Sophia-Antipolis.
"Ce n'est pas juste de la lumière, c'est un nouveau langage. Nous croyons qu'on peut augmenter l'intelligence d'un objet en utilisant la lumière comme média", résume Yan Lee-Dajoux, co-fondateur et chargé des ventes et du marketing. "Les LED se sont démocratisées du point de vue du prix, mais pas au niveau des usages. Leur utilisation reste souvent cantonnée à de l'éclairage pur et dur", ajoute François Mazard, responsable technique.
LA LUMIÈRE COMME MÉDIA ET MODE D'INTERACTION
Codlight, installée depuis décembre 2013 dans l'incubateur Telecom Paris Tech, défend une autre vision. Elle se matérialise à travers son premier produit, CPulse, une coque pour smartphone équipée d'un pavé de lumière composé de 128 LED. Elle est pour l'instant compatible avec quatre modèles Android : les Samsung S4 et S5, le HTC M8 et le LG G3. Cette surcouche ajoute un écran supplémentaire, composé de gros pixels, aux smartphones. Il peut être utilisé de multiples façons : générer des visualisations basées sur la musique jouée, afficher messages et notifications, créer des ambiances lumineuses dans une pièce, créer un "réveil intelligent" qui se calque sur les cycles de sommeil de l'utilisateur…
A première vue futile et low tech, la coque est en fait un concentré de technologie. "Nous maîtrisons la chaine complète de fabrication du produit, matériel et logiciel, explique le CTO.
Nous nous sommes concentrés sur trois points : intensité lumineuse maximum, épaisseur mininum (la carte électronique fait moins d'un millimètre) et consommation d'énergie maîtrisée".
Codlight a réalisé une première levée de fonds de 305 000 euros en mars dernier, et vient de lancer sa première campagne Kickstarter pour le produit CPulse. L'expérience accumulée lors de la conception de son premier produit devrait être mise à profit pour créer de nouveaux concepts plus ambitieux encore. L'équipe de la start-up, qui compte 8 salariés, compte sur la campagne de crowdfunding pour se faire connaître et séduire des partenaires pour construire ses futurs projets.
Plus besoin de porter son bracelet connecté pour déverrouiller son Moto X, son fabricant, Motorola, a développé des tatouages autocollants NFC à scanner pour accéder au contenu de son smartphone. Résistant à l'eau, l'e-tatouage peut tenir 5 jours.
Motorola e-tatoue les utilisateurs du Moto X
Motorola e-tatoue les utilisateurs du Moto X © Motorola
Le dernier accessoire annoncé par Motorola pour connecter son Moto X est un autocollant doté de la technologie NFC à mettre sur la peau. Par un simple passage du smartphone à l’endroit où celui-ci est placé, votre appareil se déverrouille.
Ainsi, l'utilisateur n'a plus besoin de taper le code ou de dessiner le schéma de déverrouillage.
Ce tatouage temporaire a donc la même utilité que les bracelets connectés proposés par la marque, en plus discret et plus pratique.
ACTUS REUTERS Boosté par la Coupe du monde de football, le nombre mensuel d'usagers actifs de Twitter a augmenté plus rapidement que prévu, soit de 24%, et se fixe à 271 millions au deuxième trimestre. A l'annonce de ces résultats meilleurs que prévu, l'action du réseau social a fait un bond de 35% à 51,20 dollars après la clôture de Wall Street.
Twitter a fait mieux que prévu au deuxième trimestre. Alors que Wall Street s'attendait à une hausse proche de 21%, le site de microblogging semble avoir ainsi réussi à enrayer une décrue régulière de son rythme d'usagers actifs, avec 271 millions de twittos.
Aidé par la Coupe du monde de football, les vues de la "timeline" (chronologie des messages), qui mesurent le degré d'engagement des utilisateurs, ont augmenté de 15% au lieu des 8% attendus.
UN BOND DE 35% À WALL STREET
Sur le trimestre en cours, Twitter anticipe un chiffre d'affaires de 330 à 340 millions de dollars.Le site a par ailleurs annoncé le 29 juillet, une hausse de 124% de son chiffre d'affaires du deuxième trimestre, à 312 millions de dollars, contre 283,1 millions attendus.
Côté bourse, alors que les prévisions étaient moroses, à l'annonce des résultats, l'action du réseau social a fait un bond de 35% pour atteindre les 51,20 dollars à la clôture de Wall Street.
ACTUS REUTERS Quatre ans après sa sortie, l'iPad est en perte de vitesse mais Apple mise sur son partenariat avec IBM pour relancer la tablette en l'engageant sur le marché encore largement inexploité de la clientèle d'entreprises.
Les ventes d'iPad, qui représentent 15% du chiffre d'affaires d'Apple, sont ressorties en deçà des attentes de Wall Street sur la période avril-juin, et ce pour le deuxième trimestre consécutif. Apple a vendu 13,2 millions d'iPad au deuxième trimestre, soit 8% de plus qu'un an plus tôt, contre 14 millions attendu.
En 2010, quand Apple a lancé son premier iPad, le marché, alors inexistant, a connu une forte croissance. Les consommateurs se sont ensuite rués sur des téléphones aux écrans toujours plus grands, contribuant à une forte décélération du marché. L'iPad perd actuellement des parts de marché face aux tablettes meilleur marché de Samsung Electronics et des fabricants chinois. Selon le directeur général d'Apple, Tim Cook, les ventes d'iPad sont "très binaires": leur croissance atteint 50% ou plus dans les marchés émergents comme le Moyen-Orient et la Chine tandis que dans les pays développés comme les Etats-Unis, le "marché est plus faible".
Le cabinet d'études IDC a revu en forte baisse sa prévision de croissance de la demande pour 2014, à seulement 12,1%, contre 51,8% en 2013.
Sur les trois premiers mois de l'année, la part de marché d'Apple a glissé à 32,5%, contre 40% sur la même période en 2013. "Le marché mondial de la tablette se heurte à un mur", estime Brian White, analyste chez Cantor Fitzgerald.
L'ALLIANCE DE DEUX EXPERTISES
L'autre menace qui pèse sur les ventes d'iPad pourrait venir de l'intérieur. Un iPhone doté d'un écran plus large, de 14 cm, étant attendu à l'automne et à ces dimensions, le smartphone se rapprocherait de l'iPad Mini et de son écran de 19,8 cm. "L'iPhone avec un écran plus large aura un impact négatif sur l'iPad Mini", a déclaré un analyste de Piper Jaffray, Gene Munster. "Il y aura un iPhone plus grand avant que le partenariat avec IBM ne fasse son effet."
Les investisseurs espèrent que l'alliance avec IBM, annoncée mi-juillet, permettra de doper les ventes dans les multinationales, ce qui pourrait être une aubaine pour les ventes de tablettes aux Etats-Unis.
Tim Cook a cité des chiffres d'IDC selon lesquels le taux de pénétration de l'iPad dans les milieux d'affaires est d'environ 20% contre 60% pour les ordinateurs portables. Selon les analystes, l'alliance, qui verra les deux groupes travailler sur une série d'applications sécurisées destinées à une clientèle d'entreprises, pourrait cependant mettre plusieurs années avant de porter ses fruits. Ils soulignent cependant le potentiel d'un partenariat entre les deux groupes, avec l'expertise d'IBM dans les logiciels professionnels d'un côté et celle d'Apple dans les services et le matériel de l'autre.
CAP SUR LES PROS
"Je pense qu'Apple peut profiter de l'opportunité IBM", estime Brian White. Selon lui, les secteurs à potentiel de croissance sont ceux de la distribution, où les employés pourraient utiliser les tablettes pour gérer les inventaires notamment, des services financiers et des transports. L'éducation et la santé sont deux autres secteurs prometteurs. "Nous voyons l'importance du consommateur et nous pensons tous les deux que le mobile et l'entreprise constituent une énorme opportunité", a déclaré Tim Cook, qui a lui-même travaillé chez IBM. "Nous ne sommes pas en concurrence donc dans ce cas un partenariat est une aubaine."
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