Commercialisé à partir de 24.900 dollars (19.265 euros) auxquels s'ajoutent 2.400 dollars (1.856 euros) de licence annuelle, ce produit est destiné aux entreprises équipées d'une infrastructure informatique limitée.
Au cours de la conférence au salon GPU Technology organisé à San José, en Californie, Nvidia a par ailleurs levé le voile sur ses prochaines générations de puces Tegra pour mobile et tablette, dont la Logan attendu pour 2014 et la Parker prévu pour 2015. Cette dernière sera dix fois plus puissante que les modèles actuels, selon Nvidia.
Nvidia est notamment en concurrence avec l'américain Qualcomm Inc dont les puces équipent également les smartphones et les tablettes.
Au cours de sa présentation, le directeur général de Nvidia a également déclaré que les ventes de la tablette Surface de Microsoft dotée d'une puce Nvidia et fonctionnant sous le système Windows RT, étaient en dessous des attentes, sans toutefois donner de chiffre.
Lancée en octobre dernier, la tablette Surface a été écoulée à seulement 900.000 exemplaires au quatrième trimestre, selon le cabinet d'études Gartner.
En comparaison, Apple, le leader de ce segment, a vendu 23 millions d'iPad au cours de la même période.
ACTUS REUTERS TAÏPEH (Reuters) -
Acer s'attend à atteindre le point mort au premier trimestre grâce à l'envolée des livraisons de tablettes, après avoir accusé une perte plus lourde que prévu au quatrième trimestre qui a entraîné l'ensemble de l'exercice annuel dans le rouge.
Le fabricant taïwanais de PC prévoit des livraisons de tablettes multipliées par 2,9 sur le trimestre en cours par rapport au précédent, alors que les volumes d'ordinateurs de bureau et de PC portables devraient diminuer de 10% à 15%.
Certains analystes sont sceptiques, estimant qu'il n'y aura pas de retour à l'équilibre avant le troisième trimestre, le N°4 mondial des PC en volumes de ventes n'ayant pas prévu de lancer de nouveau produit au cours du premier semestre.
Acer a publié mardi une perte nette de 3,37 milliards de dollars taïwanais (87,4 millions d'euros) au quatrième trimestre, après un bénéfice net T$68 millions au trimestre précédent et de T$100 millions pour la même période de 2011.
Dix analystes interrogés par Reuters prévoyaient une perte nette de T$2,99 milliards pour le dernier trimestre 2012.
Pour l'année 2012, la société a réalisé une perte nette de 2,91 milliards de dollars taïwanais contre 6,6 milliards en 2011.
C’est le second grand nettoyage de printemps chez Google. Dans la charrette des services que Google va fermer, on découvre Google Reader à travers une annonce sibylline : Bien que le produit ait une clientèle fidèle, son utilisation a diminué au cours des années. Ainsi, au 1er juillet 2013, Google Reader prendra sa retraite.
Google Reader est un service d’agrégation de flux RSS et Atom, il permet de lire dans une interface web les flux d’actualités que fournissent la plupart des sites et des blogs. Pour des millions d’utilisateurs (veilleurs professionnels, journalistes, geeks, etc.), Google Reader est la source quotidienne d’informations, à travers le site Google Reader, mais surtout à travers de nombreuses applications clientes utilisant l’API (interface de programmation) telles que Flipboard, Feedly, Currents ou Pulse, et ce sur diverses plateformes (ordinateurs, tablettes, smartphones).
Pour toutes ces applications, la source se tarira en juillet.
Elles devront d’ici là trouver une alternative au flux de Google. D’ores et déjà, les éditeurs commencent à suggérer des solutions alternatives. Certains comme le français Netvibes proposent déjà l’import des données au format OPML, un format standardisé de structure de flux RSS et Atom que Reader est capable d’exporter. Feedly pour sa part propose de continuer à utiliser les flux Google avec une migration en douceur vers un format identique à celui de Google mais avec la promesse d’une API ouverte, dans l’espoir que ce format devienne un nouveau standard.
Bien que rien ne presse, les utilisateurs sont déjà en quête de solutions de rechange. Certains songent à installer un serveur open source hébergé en interne tel que rssLounge. D’autres lancent une pétition pour le maintien de Google Reader.
Le prétexte d’une utilisation qui diminue pour arrêter le service semble plutôt fallacieux de la part de Google. S’il est vrai que Google Reader est plutôt utilisé par des professionnels et des passionnés de la veille, et que le grand public a sans doute abandonné progressivement l’usage de Reader au profit de lecteurs de news plus attrayants comme Flipboard, les internautes n’ont jamais été aussi friands d’informations et les nombreux lecteurs de news utilisent encore les flux Google.
Deux hypothèses circulent. La plus courante : Reader ferait de l’ombre à Google+.
On sait que Google cherche par tous les moyens à promouvoir son réseau social. En 2011, lors d’un relooking violent, Google Reader avait perdu sa fonctionnalité de partage d’items, très appréciée car elle permettait de voir ce que les autres partageaient. La raison ? Cette fonctionnalité de partage d’information se retrouve dans Google+ et constitue une de ses raisons d’être. Peut-être faut-il s’attendre à voir apparaître bientôt dans Google+ une fonction de lecteur de flux RSS.
Seconde hypothèse : Google aurait sacrifié non pas Google Reader lui-même, mais l’API qui permet aux autres clients de s’approvisionner. Une autre manière de tuer les concurrents de ses produits Google+ et Currents.
Le cardinal Jorge Mario Bergoglio est devenu le 266ème pape de l'Eglise catholique mercredi 13 mars. En quelques heures, des centaines de noms de domaines tels Pape, François ou Bergoglio ont été enregistrés par l'hébergeur web GoDaddy.
François, un pape 2.0
L’élection du cardinal Jorge Mario Bergoglio, sous le nom de François, à la tête de l’Eglise catholique a déclenché une avalanche de réactions sur internet. Des centaines de personnes se sont précipitées sur leurs ordinateurs pour enregistrer des noms de domaine en rapport avec le nouveau pape.
Interrogé par le site spécialisé CNET, l’hébergeur web GoDaddy comptait plus d’une centaine de noms de domaine 10 minutes après l’annonce de l’élection de François Ier. Au bout d’une heure, ce chiffre s’élevait à 479. En quelques heures, 650 noms de domaine ont été enregistrés.
Technologie et religion se sont réunies cet après-midi après l’annonce de l’élection du pape François, constatait l’hébergeur.
Ces nouveaux noms de domaine concernent principalement des mots-clés comme pape, François, Bergoglio et Habemus Papam, indique CNET.
Le site relate une anecdote intéressante : un client de GoDaddy avait déjà enregistré PopeFrancis.com (PapeFrançois.com) en avril 2010.
Ces centaines de noms de domaine, explique CNET, n’ont pas tous été enregistrés à des fins religieuses. Le cybersquattage, une pratique qui consiste à enregistrer un nom de domaine pour le revendre plus tard à l’ayant droit, pourrait être la cause principale de cette vague. Selon la BBC, le nom de domaine PopeBenedictXVI.com a été vendu à plus de 5 000 dollars en 2005.
Alors que le Vatican s’ouvre doucement aux nouvelles technologies avec l’inauguration du compte Twitter officiel @Pontifex fin 2012, les 115 cardinaux conviés à Rome pour voter ont été interdits de toute interaction avec des appareils high-tech.
Pourtant, le compte Twitter du Vatican annonçait fièrement : Habemus Papam Franciscum (Nous avons un pape François, en latin), dès la fin du vote.
Grâce à la souris flottante réalisée par le studio Kibardindesign, les douleurs au poignet ne sont plus qu'un mauvais souvenir. Ce prototype de souris capable de léviter à une hauteur de 4 centimètres est censé soulager la main et éviter toute tension.
Le studio Kibardindesign, basé à Prague, présente son dernier produit : Bat, une souris sans fil volante. L’ensemble est composé d’une base, un tapis et une souris capable de flotter à une hauteur de 4 centimètres, en fonction du poids de la main, grâce à un anneau magnétique.
Ce produit a été conçu principalement pour lutter contre le syndrome du canal carpien, une compression du nerf médian dont peuvent souffrir les personnes travaillant sur des ordinateurs.
La souris volante soulagerait la main grâce au système de lévitation, en diminuant les frottements et les tensions du poignet.
Des ordinateurs 500 fois plus rapides ? Telle est la promesse de la supraconductivité. Une équipe de chercheurs, incluant des experts provenant des universités du Wisconsin-Madison, du Michigan et de l’Etat de Floride, ont dévoilé le 3 mars leurs travaux sur un nouveau matériau supraconducteur sur le journal en ligne Nature Materials. Ce matériau artificiel, composé d’une structure périodique multicouche de supraconducteur à base de fer (superlattice de pnictide), offre la possibilité d’adapter les propriétés supraconductrices et de comprendre le mécanisme de la supraconductivité lui-même. Il offre notamment la possibilité de transporter beaucoup plus de courant électrique que les matériaux non-artificiels.
Les supraconducteurs, dont la propriété est de transporter l’électricité sans perte d’énergie, fonctionnent à des températures très basses, proches du zéro absolu (-273,15° C). Un des défis dans la maîtrise de la supraconductivité est de développer des matériaux pouvant travailler à température ambiante. Pour l’instant, le record dans ce que les physiciens appellent les hautes températures est de -140° C.
Si ce nouveau matériau offre les clefs de compréhension permettant d'augmenter sunstantiellement cette température, le potentiel est énorme pour les applications émergentes dans les appareils numériques, dans le transport et dans la transmission, la génération et le stockage de l’énergie. Cette technologie pourrait ainsi rentrer dans la fabrication des transistors, utilisés de façon omniprésente dans l’électronique et l’informatique. Les vitesses de fonctionnement atteindraient alors presque 500 fois celles des transistors normaux, boostant d’autant le traitement de l’information.
Chang-Beom Eom, directeur de l’équipe de recherche, y croit : Il est nécessaire de travailler sur les superlattices afin de comprendre la supraconductivité fondamentale, pour une utilisation potentielle dans les appareils électroniques […] Il y a un nouvel espace de découverte dans la supraconductivité à haute température. Ce matériau en offre les possibilités.
AMD avait raté le coche des mini-PC, laissant un boulevard à Intel et son processeur Atome. Le challenger dans le domaine des puces électroniques pour ordinateurs revient néanmoins sur le devant de la scène avec « Fusion », un processeur proposant une architecture complètement intégrée. Sur un même morceau de silicium, AMD a placé un processeur double cœur, un processeur graphique et les commandes DirectX 11. A la clé, une alliance jusque-là inédite de performance et de faible consommation.
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