Selon les médias américains, le Stream serait la réponse de Microsoft aux ordinateurs portables low-cost de Google. Une stratégie qui pourrait bien porter ses fruits et relancer les ventes de PC…Le fabricant de téléphones portables de luxe Vertu s’est associé à Bentley pour un nouveau modèle proposé en série limitée à 2.000 exemplaires. “Vertu pour Bentley” contiendra du contenu Bentley exclusif et sera disponible d’ici fin octobre 2014 à partir de 12.500 euros.Le smartphone “Vertu pour Bentley” est enveloppé de cuir de veau molletonné, teint en Newmarket Tan, une couleur typique de l’offre Bentley, et piqué avec un motif en losange. Le cuir souple est enchâssé dans une coque en titane. Chacun des 2.000 smartphones “Vertu pour Bentley” arbore sur sa façade un motif en métal représentant le logo de Bentley, lequel figure sur l’étui en cuir de veau fourni avec.Le Signature Touch “Vertu pour Bentley” dispose d’un écran de 4,7 pouces et fonctionne à l’aide d’un processeur à quatre coeurs Qualcomm Snapdragon cadencé à 2,3GHz. Il est équipé d’un appareil photo autofocus de 13 mégapixels et est compatible NFC et 4G.
Tournant sous Android KitKat, le smartphone se distingue du reste de la gamme Vertu par une animation personnalisée au démarrage, une horloge 3D ainsi qu’une application dédiée. “Vertu pour Bentley” doit proposer du contenu exclusif, comme des itinéraires recommandés ou des informations sur les concessionnaires, ainsi qu’un raccourci pour les fonctions à distance de l’écran tactile pour les conducteurs de Bentley Flying Spur. Les clients pourront évidemment bénéficier du service Vertu Concierge leur offrant une assistance 24h/24 7j/7.Ce n’est pas la première fois que Vertu s’allie à un constructeur automobile de prestige, cela a déjà été le cas dans le passé avec Ferrari.Comme toujours, les téléphones “Vertu par Bentley” sont construits de manière artisanale, au siège de Vertu à Church Crookham (Angleterre).Perches, brosse à cheveux, “embellisseur”: l’engouement pour les selfies a donné des idées aux industriels qui rivalisent de créativité pour fournir aux accros des gadgets toujours plus sophistiqués pour réussir leurs autoportraits avec leurs smartphones.
Souvenir d’un lieu, d’une rencontre, d’un évènement ou mise en scène narcissique, le selfie est aujourd’hui partout. Élu mot de l’année 2013, il a même fait son entrée dans le Petit Robert et en avril, un astronaute de la station spatiale internationale n’a pu résister au plaisir d’un “selfie de l’espace”. Plus récemment, les pèlerins à La Mecque se sont attiré les foudres des religieux après s’être photographiés devant les sites les plus sacrés de l’Islam. Un engouement qui n’a pas échappé aux développeurs d’applications.Connaissez-vous la “selfie brush” ou brosse selfie ? Une coque de téléphone portable munie de picots, comme sur une brosse à cheveux, pour se recoiffer avant la photo. Pour 15 euros, les amateurs de selfies pourront ainsi avoir une chevelure impeccable.Autre invention : les “embellisseurs” intégrés. Teint frais, dents blanches, maquillage, “allongement de silhouette pour un look plus svelte”, l’application YouCam Perfect propose des filtres censés améliorer le physique des personnes photographiées.
Les programmateurs ont aussi pensé à aider les utilisateurs à déclencher la photo à distance. Les télécommandes bluetooth ou les applications comme CamMe détectent les mouvements et prennent le cliché : l’utilisateur doit lever le bras pour se signaler puis serrer le poing pour se tirer le portrait.Pour prendre de la hauteur sur ces cartes postales nouvelle génération, rien de tel qu’une perche à selfie : leur manche télescopique permet de tenir à distance le smartphone pour prendre du recul et mettre en scène l’utilisateur.“En France, les perches à selfies commencent à percer et devraient décoller à Noël. Mais en Italie, c’est déjà la folie. Et à Hong-Kong, il y en a à tous les coins de rue“, assure Camille Merlier, fondatrice de percheselfie.com, un site qu’elle vient de lancer.Smartphone, dis-moi qui est la plus belle ? Avec un “belfie”, vous interpellez vos proches et leur dévoilez vos plus belles courbes. Souvent prisé des jeunes femmes, il montre bien souvent leurs fesses, qu’elles photographient pour exposer une anatomie dont elles sont particulièrement fières.
D’autres raffolent du “drelfie” – contraction de drunk (saoul en anglais) et selfie – où on s’affiche, parfois en groupes, sous l’emprise de l’alcool.Même les nouveau-nés ne sont pas oubliés. L’appli Baby selfie propose de “faire risette au bébé”: grâce à des animaux colorés qui dansent sur l’écran et à des sons amusants, le smartphone prend automatiquement des photos du bébé alors qu’il est captivé par l’objet.Les amis des félins peuvent, eux, télécharger Cat Snaps : un laser ou une souris s’agite sur l’écran pour stimuler le chat, immortalisé par une simple pression de sa patte sur le smartphone qui déclenche l’appareil photo.Ce succès oblige les informaticiens à améliorer la qualité des appareils photos intégrés aux smartphones. L’objectif de façade – celui qui est du même côté que le clavier du téléphone et qui sert à prendre des selfies – étant généralement de moins bonne qualité que celui au dos de l’appareil.
Le fabricant HTC a ainsi lancé mercredi un nouveau smartphone, le HTC Desire Eye, avec deux appareils photos d’une résolution de 13 millions de pixels, sur chaque face.Car les industriels ont vite compris les enjeux commerciaux du selfie. Le tweet le plus retweeté de l’histoire est un selfie posté en mars, lors des Oscars, par Ellen DeGeneres où apparaissaient Brad Pitt, Julia Roberts, Meryl Streep, Kevin Spacey, Bradley Cooper ou encore Angelina Jolie. Le Wall Street Journal avait affirmé quelques jours plus tard, malgré les démentis du fabricant, que tout avait été planifié par Samsung, la marque du téléphone utilisé pour réaliser ce selfie.Samsung a averti mardi que son bénéfice d’exploitation estimé allait plonger de près de 60% au troisième trimestre dans un contexte de concurrence accrue sur le marché clé des smartphones.
Le résultat opérationnel pour le troisième trimestre est estimé à 4.100 milliards de wons (3,06 milliards d’euros), en baisse de 59,6% par rapport à la même période de l’année dernière.Les ventes sont estimées quant à elles à 47.000 milliards de wons, en repli de 20,4%.Le numéro un mondial des téléphones portables a augmenté ses exportations de smartphones mais «les marges opérationnelles ont décru», a déclaré le groupe.Cette chute s’explique par l’augmentation des dépenses de marketing et des prix de vente moyens en baisse. Pendant la période, le «nombre de modèles haut de gamme vendus a baissé en proportion, à quoi s’est ajouté une baisse des prix pour les modèles plus anciens», dit le groupe.Le groupe a prévenu que le secteur des téléphones mobiles resterait soumis à l’incertitude au quatrième trimestre. Mais le géant sud-coréen a promis pour y faire face de nouveaux smartphones haut de gamme dotés de «designs innovants» et fabriqués avec de «nouveaux matériaux».
En juillet, le groupe avait annoncé un fort recul de ses bénéfices au deuxième trimestre, en recul de 19,5%, et ses actions connaissent un plus bas de deux ans.Samsung Electronics produit une gamme de produits diversifiée allant des puces électroniques à l’électroménager mais plus de la moitié de ses bénéfices proviennent du secteur de la téléphonie mobile.Et dans un marché des smartphones saturé, Samsung est soumis à une forte concurrence sur tous les segments, le haut de gamme comme l’entrée de gamme.S’agissant du haut du panier, la série des téléphones intelligents Galaxy S subit les assauts des iPhone d’Apple. Le rival américain de Samsung vient non seulement de lancer son nouvel iPhone 6 mais marche sur les plates-bandes du Sud-Coréen avec l’iPhone 6 Plus, un nouveau modèle de smartphone à écran élargi.Samsung est le pionnier de ces téléphones à mi-chemin entre le téléphone et la tablette connus sous le mot valise de «phablette», très populaires en Asie.
Fin septembre, sous la pression d’Apple qui venait d’annoncer avoir vendu plus de 10 millions d’exemplaires de son iPhone 6, Samsung avait avancé la sortie de son nouveau smartphone à écran géant, le Galaxy Note 4, avec l’espoir de conserver sa place de numéro un.En ce qui concerne le moyen et l’entrée de gamme, le géant sud-coréen est soumis à la pression de concurrents chinois comme Huawei et Lenovo qui inondent les pays émergents. Au quatrième trimestre, Samsung prévoit de sortir une nouvelle gamme de téléphones intelligents sur ce segment «avec un positionnement fortement concurrentiel» tant du point de vue de ses caractéristiques que du prix.Selon le cabinet de recherche IDC, les ventes de smartphones dans le monde ont atteint le chiffre record de 295,3 millions d’unité au second trimestre.Samsung a conforté sa première place, avec 74,3 millions d’unités vendues, soit plus du double d’Apple, mais sa part de marché a fortement diminué, à 25,2%.Huawei est devenu en très peu de temps le troisième vendeur de smartphones avec 20,3 millions d’exemplaires écoulés au deuxième trimestre (6,9%, de part de marché), selon IDC.
Son compatriote Lenovo n’est pas très loin avec 15,8 millions d’unités vendues, soit une part de marché de 5,4%.En annonçant le lancement prématuré du Galaxy Note 4, Lee Don-Joo, directeur des ventes et du marketing de la division mobile du sud-coréen, avait reconnu que le groupe «traversait une période difficile».Financé sur KickStarter, TinyScreen est un concept très ambitieux qui se destine principalement aux programmeurs et aux geeks qui souhaitent laisser libre cours à leur imagination.Vendu à partir de 20$ sur KickStarter, TinyScreen est un petit écran non-tactile qui peut être utilisé pour concevoir une mini-console de jeu, une smartwatch ou des lunettes connectées par ses propres moyens. Son concepteur a cherché à miniaturiser le plus possible un écran pour permettre à son propriétaire de l’emmener partout avec lui, en le laissant par exemple dans son portefeuille.La commercialisation du produit se fait à l’heure actuelle exclusivement sur KickStarter, sous la forme de kits. Les acheteurs peuvent se procurer l’écran uniquement (20$), ou un kit complet comprenant l’écran, la batterie, le port microSD et plus encore, pour un montant forcément plus élevé. L’idée étant de séduire les bricoleurs, le fabricant ne propose que des kits aux fonctionnalités limitées, comme un kit gaming avec un mini joystick, ou un kit smartwatch avec la connectivité Bluetooth. Libre ensuite à l’acheteur d’utiliser l’impression 3D pour créer son propre bracelet et sa propre console de jeu portable…
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