Représentant aujourd’hui près de 8% du chiffre d’affaires des fabricants d’aspirateurs, les robots aspirateurs ont petit à petit conquis le cœur des consommateurs. Dans la pratique pourtant, l’efficacité des dispositifs vendus actuellement sur le marché est souvent remise en question. “L’aspirateur nettoie la poussière, mais le travail n’est pas parfait. Je dois souvent repasser derrière, sa forme ronde l’empêche de nettoyer dans les coins” explique Marc, qui a récemment craqué pour un modèle bon marché. Ce constat, beaucoup d’entre vous l’ont fait avec les premières et secondes générations d’aspirateurs-robots. Fort heureusement, la technologie évolue, et la technique elle aussi.Lors de l’IFA, en septembre dernier, Dyson présentait son robot aspirateur, “révolutionnaire” puisque pratiquement aussi puissant qu’un aspirateur traditionnel, et surtout “connecté”. Si le robot de Dyson se fait toujours attendre, la concurrence a déjà saisi la balle au rebond. Et c’est notamment le cas de Samsung, qui commercialise depuis quelques semaines maintenant le Powerbot VR9000, que nous avons eu l’occasion de tester durant plusieurs semaines.
Reprenant une forme carrée plutôt que circulaire, pour pouvoir plus facilement aspirer dans les coins, le nouvel aspirateur-robot de Samsung est d’une efficacité redoutable sur le terrain. Tout d’abord, parce que contrairement aux aspirateurs de Roomba par exemple, qui se contentent la plupart du temps de balayer le sol avec de petites brosses, l’aspirateur de Samsung dispose bel et bien d’un moteur qui aspire avec une puissance impressionnante la poussière et les saletés. Plus grand que les modèles concurrents, le Powerbot est capable de nettoyer intégralement une pièce en moins de cinq minutes, en prenant soin de repasser dans les coins et de contourner les meubles. Si sa taille l’empêche de se faufiler dans les endroits trop exigus, il couvre rapidement de larges portions de terrain et ne laisse pratiquement rien derrière lui. Revers de la médaille, sa puissance limite son autonomie à une soixantaine de minutes, ce qui est de toute manière suffisant pour nettoyer une demi-douzaine de pièces.
Bien sûr, l’aspirateur n’est pas capable d’ouvrir lui-même les portes. Raison pour laquelle il est toujours nécessaire de “préparer le terrain” en ouvrant toutes les portes de la maison, et en rangeant les objets qui trainent au sol. Contrairement aux autres robots, le Powerbot est néanmoins équipé d’une caméra à 360 degrés qui est capable de cartographier votre appartement, pour s’y mouvoir en toute sécurité. Il évite ainsi soigneusement les marches, ne se heurte à aucun meuble, et est capable de retenir le chemin qui le ramènera à sa station de chargement. Plus intéressant, cette cartographie des lieux lui permet d’agir efficacement et de n’oublier aucun coin.Livré avec une petite télécommande qui permet de pointer des zones à nettoyer, le Powerbot est entièrement autonome. Il nettoie toutes les pièces dans lesquelles il est capable de se rendre et rentre au bercail une fois sa tâche accomplie. Les saletés sont stockées dans un bac qui peut facilement être vidé dans la poubelle ensuite. Pratiquement aussi puissant qu’un aspirateur traditionnel, le Powerbot nous a véritablement impressionné par son efficacité. Contrairement à la plupart des autres robots, il ne reste pas non plus bêtement bloqué en-dessous d’un meuble ou d’un lit, ce qui est en soi un évolution majeure.
Malgré toutes ses qualités, le Powerbot reste néanmoins un produit de luxe que peu de gens pourront se permettre d’acheter. Facturé 999 euros, il a le mérite d’être aussi puissant et efficace qu’un aspirateur traditionnel. Autonome, il réduira considérablement la charge de travail des ménages et familles nombreuses. Si vous finissez par craquer, pensez néanmoins à faire également l’acquisition d’un petit aspirateur portable, qui vous permettra d’aspirer les toiles d’araignées au plafond et de nettoyer dans les coins plus exigus. En toute logique, la combinaison de ces deux accessoires devrait vous permettre de répondre à tous les cas de figure…Ce soir, Microsoft lèvera le voile sur Windows 10 et Windows Phone 10. Quelques petites surprises seraient également au rendez-vous, dont un smartphone capable de se convertir en une véritable station de travail mobile.
C’est ce soir que Microsoft lèvera finalement le voile sur toutes les fonctionnalités de Windows 10, déjà disponible en version preview depuis quelques mois sur PC. Plusieurs nouveautés majeures devraient être introduites lors de la présentation, comme l’assistant vocal Cortana, qui avait été introduit avec Windows Phone 8.1.Microsoft devrait également profiter de l’événement pour lever le voile sur Windows Phone 10, qui serait à priori une simple déclinaison tactile de son OS. Logiquement, la firme en profitera pour présenter quelques nouveaux terminaux, et, selon nos confrères de The Information, un smartphone hybride, à mi-chemin entre le smartphone et l’ordinateur portable.Plus intéressant, l’Internet des Objets pourrait également être évoqué, et une éventuelle incursion de Windows sur les téléviseurs n’est pas non plus à écarter.Développée par un jeune bruxellois, Freeedrive est une nouvelle application exclusivement réservée aux smartphones Android pour le moment, qui bloque automatiquement les notifications des applications tierces pour éviter de déconcentrer l’automobiliste.
Connectée à la voiture par Bluetooth, l’application bloque automatiquement toutes les notifications lorsque le conducteur met le contact. Entièrement automatisé, le système est capable de détecter lorsque l’utilisateur est au volant et lorsqu’il quitte son véhicule. Cette approche unique permet non seulement de garantir la sécurité de l’automobiliste en évitant des distractions qui pourraient lui être fatales mais aussi de rendre la transition entre le mode conduite et hors-conduite beaucoup plus fluide puisque le système déconnecte automatiquement la sécurité pour permettre à l’automobiliste de consulter sa messagerie et ses notifications une fois qu’il a quitté son véhicule.Le concepteur de Freeedrive explique par ailleurs avoir conçu son application de sorte à ce qu’elle soit facilement paramétrable. De ce fait, il est possible de paramétrer entièrement le système pour filtrer les notifications qui pourraient s’avérer indispensables pour l’automobiliste.
Autre innovation : Freeedrive indique automatiquement aux personnes qui tentent de contacter le conducteur qu’il est au volant. Une fonctionnalité qui existait déjà dans plusieurs autres applications du même genre et qui vient ici compléter la très longue liste des fonctionnalités présentes dans Freeedrive.Comme le rappelle Augustin Van Rijckevorsel, le risque d’avoir un accident augmente de manière exponentielle une fois que l’on utilise son smartphone. Et s’il est difficile de se défaire de ses vieilles habitudes – après tout, qui n’a jamais consulté l’écran de son téléphone portable au volant? – l’utilisation d’une application bloquant un certain pourcentage de notifications permettra au moins de réduire le risque de distraction au volant.Soutenue par l’IBSR (l’Institut belge pour la sécurité routière), l’application est actuellement en démonstration au salon de l’auto de Bruxelles, sur le stand de l’IBSR.
Vous cherchez à pirater le réseau intranet de votre fac’ pour changer les résultats de vos examens, ou dérober des photos compromettantes sur l’ordinateur portable d’un collègue pour gravir plus rapidement les échelons? Hacker’s List vous permet d’entrer en contact avec un peu plus d’une septantaine de pirates, qui accepteront de réaliser les tâches que vous leur confierez moyennant un paiement allant de 100 à 1.000$, selon la difficulté de l’opération.Comme sur un site de petites annonces, l’utilisateur doit poser un bref descriptif de la tâche à accomplir, suite à quoi un ou plusieurs hackers lui proposeront leurs services en détaillant la manière avec laquelle ils procèderont. D’après le site, si le paiement est bel et bien déduit du compte de l’utilisateur une fois l’accord conclu, il n’est viré sur le compte du pirate qu’une fois l’opération terminée et le client satisfait.
Parmi les demandes les plus communes, on retrouve plusieurs activités illégales comme le piratage d’un smartphone ou le changement d’une note à un examen. Des “petits services” qui coûtent généralement entre 100 et 300$. D’autres utilisateurs entrent en contact avec des pirates pour des opérations plus communes, et parfaitement légales cette fois, pour demander par exemple de l’aide pour supprimer des photos ou informations du Web, ou transférer des données sensibles en toute sécurité.Selon le New-York Times, les fondateurs d’Hacker’s List auraient pensé à tout pour éviter d’être tenus pour responsables d’activités illégales. Ils déclineraient d’ailleurs à révéler leur identité.Rappelons que si les opportunités offertes par Hacker’s List peuvent s’avérer très intéressantes, voler des documents confidentiels, pirater un smartphone ou accéder à la boite mail d’une autre personne sans son consentement peuvent entrainer des poursuites judiciaires.
Vous cherchez à pirater le réseau intranet de votre fac’ pour changer les résultats de vos examens, ou dérober des photos compromettantes sur l’ordinateur portable d’un collègue pour gravir plus rapidement les échelons? Hacker’s List vous permet d’entrer en contact avec un peu plus d’une septantaine de pirates, qui accepteront de réaliser les tâches que vous leur confierez moyennant un paiement allant de 100 à 1.000$, selon la difficulté de l’opération.Comme sur un site de petites annonces, l’utilisateur doit poser un bref descriptif de la tâche à accomplir, suite à quoi un ou plusieurs hackers lui proposeront leurs services en détaillant la manière avec laquelle ils procèderont. D’après le site, si le paiement est bel et bien déduit du compte de l’utilisateur une fois l’accord conclu, il n’est viré sur le compte du pirate qu’une fois l’opération terminée et le client satisfait.
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