L’assistance électrique prend automatiquement le relais lorsque la monture ressent une baisse de régime, mais son propriétaire peut éteindre ou allumer le moteur électrique à sa convenance. A noter que des LED indiquent la charge restante.Ce deux-roues est doté d’un cadre compact et très léger. Une approche qui pourrait “changer la manière dont les personnes perçoivent les vélos”, selon son concepteur.Ce dernier précise qu’il peut être plié ou déplié en 10 secondes chrono, et qu’un dispositif clos pour sa chaîne évitera à son utilisateur de mettre les mains dans le cambouis en le transportant.Les personnes à la recherche d’un vélo électrique qui resterait dans le style classique pourraient être rebutées par ce modèle aux roues très petites. L’A-Bike n’est pas adapté au tout-terrain mais reste essentiellement un vélo de ville.Les premiers modèles, réservés aux premiers souscripteurs sur Kickstarter, sont déjà épuisés et devraient être livrés en septembre. Mais une deuxième vague de livraison est prévue dès octobre pour les personnes dont la contribution est au minimum de 589 livres (environ 843 euros).
Surfant sur le succès du Chromecast, Intel introduit avec son Compute Stick une nouvelle catégorie de produits qui pourrait remporter un franc succès d’ici quelques années : l’ordinateur de poche.
S’il est plus proche du “proof-of-concept” que d’un produit susceptible de séduire les masses, le Compute Stick d’Intel a le mérite de démontrer l’énorme potentiel de la miniaturisation. A peine plus gros que le petit dongle de Google, le Compute Stick se démarque du Chromecast au niveau de son utilité. Contrairement à Google, Intel a tenté de concevoir un véritable ordinateur de poche, tournant sous Windows 8.1, et capable d’être connecté à n’importe quel type d’écran (téléviseur ou écran d’ordinateur). En résulte un micro ordinateur ultra-compact qui tient parfaitement au fond de la poche et se connecte en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire à n’importe quel “écran”.Avec ses 2 Go de RAM et son processeur Intel Atom qui ne paye pas de mine, le petit dongle rivalisera difficilement avec des ordinateurs à 3-400€. Sa taille minimaliste et son prix de vente ridiculement bas en font en effet un accessoire qui se destine avant tout aux étudiants ou aux établissements scolaires. Pas question en effet de jouer, faire des montages de vidéos ou même de retoucher des photos avec ce micro-ordinateur qui a été conçu pour les tâches les plus basiques. En l’occurrence, surfer sur la toile, dactylographier un texte sur Word, lire un document PDF et regarder des vidéos sur Internet. Et d’un point de vue purement technique, l’accessoire s’en sort très bien puisqu’à l’exception de quelques petits ralentissements, l’interface est restée très fluide durant toute la durée de nos tests.
Plus impressionnant encore, le Compute Stick d’Intel nous a bluffé au niveau de sa connectique. Une fois branché à l’écran avec le port HDMI, l’ordinateur se connecte facilement aux accessoires Bluetooth (clavier, casque ou souris), et accueille jusqu’à un accessoire via son port USB, directement intégré au stick. Si sa mémoire est limitée à 16 Go, notons également qu’il est possible de l’étendre en utilisant une carte microSD. Comme les appareils photos et les smartphones, le Compute Stick intègre en effet un port microSD qui lui permet d’augmenter sa capacité de stockage jusqu’à 128 GO, pour un peu plus de confort.Beaucoup moins encombrant qu’une tour et meilleur marché qu’un ordinateur portable, le Compute Stick d’Intel est une excellente alternative aux mini-ordinateurs qui fleurissaient depuis quelques années sur le marché. S’il ne faut pas s’attendre à des prouesses techniques, le micro-ordinateur d’Intel est largement suffisant pour les tâches les plus rudimentaires, du surf à l’ouverture de documents en passant par l’encodage de textes et la lecture de vidéos. Pour un peu moins de 150€, autant dire que vous en aurez largement pour votre argent!
Il fallait s’y attendre. Depuis leur acquisition par Microsoft, les smartphones de Nokia n’avaient pas vraiment connu le succès escompté. En conséquence, le groupe informatique lâche aujourd’hui du lest, tout en revoyant ses priorités.Il semble bien loin, le temps où Microsoft se reposait sur la célébrité de la marque Nokia pour vendre ses smartphones. Le groupe informatique, qui avait racheté la division mobile de Nokia au prix fort (7,2 milliards de dollars) en 2014, avait déjà laissé entrevoir l’issue qui attendait son système d’exploitation Windows Phone. Au cours de ces dernières semaines, deux cadres de la division mobile, Jo Harlow et l’ex-CEO de Nokia Stephen Elop, avaient quitté la multinationale. Les derniers résultats trimestriels du groupe ne montraient également aucune progression des ventes sur le segment du mobile, avec une gamme “Lumia” dont les volumes de ventes stagnaient sous la barre des 10 millions d’unités vendues par trimestre.
Aujourd’hui, Microsoft confirme ce que les analystes clamaient depuis quelques mois : l’acquisition de Nokia était une erreur, et le groupe informatique paye cash son erreur. Microsoft vient en effet d’annoncer une dépréciation complète de sa division mobile, qui aurait fait perdre plus de 7,6 milliards de dollars au groupe informatique. Le groupe annonce également la suppression de plus de 7.800 emplois, principalement liés à l’acquisition de Nokia.L’année dernière, Microsoft avait déjà annoncé la suppression de plus de 18.000 emplois liés à son activité mobile.“Nous nous écartons d’une stratégie d’expansion de notre département mobile pour une stratégie de croissance de l’écosystème Windows, lequel intègre notre famille de terminaux mobiles” a déclaré Satya Nadella dans un mémo interne, avant d’ajouter “A court-terme, nous serons à la tête d’un portfolio de produits plus efficace.”
S’il n’est donc pas question d’abandonner le mobile, Microsoft reconnaît aujourd’hui l’une des plus grosses erreurs commises sous l’ère Ballmer et tente de sauver les meubles en se recentrant sur trois marchés centraux : le low-cost, avec ses terminaux d’entrée de gamme, qui représentent l’essentiel des ventes, les business avec des fonctions axées vers les entreprises, et les flaghships, comme le supposé Lumia 940, qui devrait être la nouvelle vitrine du système d’exploitation. L’objectif est vraisemblablement de laisser le champ libre aux partenaires dans le milieu de gamme (200-600€) et de reprendre le rôle de BlackBerry en courtisant administrations et entreprises avec des smartphones aux fonctionnalités très riches, sécurisés et capables de se convertir en véritables ordinateurs portables grâce à la technologie Continuum.
Reste à présent à voir si ce changement de stratégie aura un impact positif sur les activités du groupe, qui subit plus que jamais la concurrence d’Apple et de Google sur le segment des mobiles.A peine plus grand qu’une clé USB, le nouvel ordinateur portable d’Archos pourrait bien séduire le grand public avec son prix de vente particulièrement attractif et ses performances qui en feront un outil très utile pour les étudiants.Le fabricant français le promet, son futur ordinateur de poche intégrera la prochaine version du système d’exploitation de Microsoft, Windows 10. Avec son processeur quad-core, ses 2 Go de RAM et ses 32 Go d’espace de stockage, l’ordinateur ne devrait pas vraiment rivaliser avec les portables à plus de 500 euros, mais offrir une bonne alternative aux machines low-cost. Idéale pour surfer ou dactylographier un texte, la machine doit être simplement connectée à un écran, via le port HDMI, pour fonctionner. Elle intègre une version complète de Windows 10, est compatible Wifi et Bluetooth, et supporte donc claviers et souris, et dispose même d’un port microSD qui permet d’augmenter l’espace de stockage à disposition. Selon Archos, le stick intègre également un port USB qui permettra notamment d’y connecter un disque dur externe.
Véritable station de travail mobile, le stick d’Archos pourrait bien séduire le consommateur qui y verra sans doute une alternative intéressante aux ordinateurs fixes souvent trop encombrants et surtout bien trop chers.Selon une source du site spécialisé WinFuture, Microsoft aurait décidé d’abandonner le disque d’installation traditionnel pour proposer la mise à jour vers son nouveau système d’exploitation sur clé USB.La plupart des nouveaux ordinateurs portables et tablettes étant dépourvus d’un lecteur de disque, Microsoft aurait décidé de remplacer le traditionnel disque d’installation par une clé USB qui permettrait aux propriétaires d’un ordinateur portable d’installer le nouveau Windows sans devoir se procurer un lecteur de disque externe ou passer par la case téléchargement.
Car si la nouvelle version du système d’exploitation sera gratuite pour les propriétaires d’une machine sous Windows 7 ou 8, les utilisateurs sous Windows XP ou Vista devront quant à eux débourser une centaine d’euros pour mettre à jour leur machine, et en l’occurrence passer par une clé USB qui leur permettra d’upgrader leur machine.Ford a dévoilé hier lors d’une conférence de presse un nouveau vélo futuriste capable de calculer l’effort nécessaire pour un trajet.Le Smartbike MoDe:Flex n’est pas un vélo comme les autres. Doté d’un moteur et d’une batterie, ce vélo futuriste est contrairement à son prédécesseur un modèle conçu pour les amateurs de cyclisme qui recherchent un modèle capable de fonctionner sur de longues distances. Très facilement transportable, le MoDe:Flex se replie en deux pour occuper un minimum d’espace. Il intègre également une fonctionnalité unique qui lui permet de se démarquer de tous les autres modèles de vélos et vélos électriques puisqu’il est capable de calculer l’effort nécessaire pour un trajet, ce qui est très pratique pour doser l’effort du cycliste.
Concrètement, le vélo se connecte au smartphone de son propriétaire et calcule en direct ses déplacements et sa fatigue, ajustant ainsi le rythme auquel il doit pédaler pour éviter que la fatigue ne se fasse ressentir. L’application fournie avec le vélo permet également de vérifier l’état des routes, la météo, et de recevoir des alertes en direct sur le trajet en cours. Plus impressionnant encore, Ford affirme avoir intégré un outil qui permettra de localiser les nids de poule pour avertir l’utilisateur des dangers de la route…Pour le moment, Ford n’a dévoilé aucun détail sur la commercialisation du produit, qui devrait être disponible en magasin courant 2015.Les ondes électromagnétiques émises par les cellulaires modifieraient le fonctionnement des pacemakers et des défibrillateurs automatiques implantables (DAI), avec un risque non négligeable pour la santé selon une étude présentée le 22 juin.
L’influence néfaste des ondes électromagnétiques sur la santé a déjà été démontrée dans de nombreuses études. En revanche, on ignorait qu’elles pouvaient perturber aussi le fonctionnement des pacemakers et autres dispositifs cardiaques. Ce lien de cause à effet vient d’être mis en évidence par une étude présentée lors d’un congrès commun de l’Association européenne du rythme cardiaque (EHRA), de la Société européenne de cardiologie (ESC) et de Cardiostim qui s’est tenu à Milan le 22 juin.“Les pacemakers peuvent interpréter par erreur les interférences électromagnétiques (IEM) des smartphones comme un signal cardiaque, ce qui peut causer un arrêt bref du dispositif et entraîner une syncope du porteur, s’inquiète le Dr Carsten Lennerz, l’un des auteurs de l’étude. Par ailleurs, les défibrillateurs automatiques implantables (DAI) interprètent le signal externe comme une tachyarythmie ventriculaire (rythme cardiaque irrégulier et anormalement rapide) ce qui entraîne, en réponse, l’envoi d’un choc électrique douloureux.”
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