L'accord conclu par les chefs d'État ou de gouvernement, en février 2016, sur un nouvel arrangement pour le Royaume-Uni dans l'Union européenne portait sur un certain nombre de questions relevant de la proposition actuelle.Le peuple britannique s'étant prononcé en faveur de la sortie du pays de l'Union, l'arrangement convenu au niveau des chefs d'État ou de gouvernement est nul et non avenu, conformément aux dispositions de l'accord en question.Les propositions de la Commission vont à présent être transmises au Parlement européen et aux États membres de l'Union (réunis au sein du Conseil de ministres) pour y être examinées et débattues. Dès qu'un accord aura été trouvé, le règlement sera directement applicable dans tous les États membres dès le lendemain de sa publication au Journal officiel de l'Union européenne.
Des modalités transitoires sont prévues pour protéger les personnes percevant déjà des prestations de chômage avant l'application des nouvelles dispositions.
[1] Voir par exemple l'analyse de ICF GHK, en association avec Milieu, concernant les incidences, sur les systèmes de sécurité sociale des États membres, des droits de migrants intra-UE non actifs à des prestations spéciales en espèces à caractère non contributif et aux soins de santé en fonction du critère de résidence. Voir aussi CEPS, Social benefits and migration, A contested relationship and policy challenge in the EU.Le premier fabricant mondial de smartphones, Samsung Electronics, qui émerge à peine d'une des pires séquences de son histoire, a annoncé vendredi qu'il renonçait à un projet de scission qu'il avait auparavant évoqué.Le géant sud-coréen vient d'être confronté à deux crises majeures: d'abord le désastreux rappel planétaire de son Galaxy Note 7, un appareil dont la batterie présentait des risques d'explosion, et ensuite son implication dans le scandale retentissant de corruption qui a entraîné la destitution de la présidente sud-coréenne Park Geun-Hye.Le vice-président de Samsung Electronics, Lee Jae-Yong, qui n'est autre que l'héritier de sa maison-mère - le Groupe Samsung -, a été inculpé entre autres pour corruption et est toujours incarcéré.
Après le fiasco du Galaxy Note 7 à l'automne, Samsung Electronics avait annoncé, sous la pression de ses actionnaires demandant une amélioration de la gouvernance, qu'il envisageait une scission en deux entités.Mais le président du conseil d'administration Kwon Oh-Hyun a annoncé vendredi lors de l'assemblée générale de Samsung Electronics que l'étude des aspects légaux et fiscaux d'une telle opération avait permis d'isoler certains effets négatifs.A ce stade, (la scission) semble difficile à mettre en oeuvre, a-t-il dit sans donner plus de précision.Une nouvelle commission de gouvernance, qui avait été promise dans la foulée du rappel du Galaxy Note 7, sera en revanche bien mise en place fin avril, a-t-il dit.Mais Samsung Electronics n'a pour l'instant pas été en mesure de recruter les cadres dirigeants étrangers qui ont l'expérience de la direction exécutive des grands groupes et qui seraient susceptibles d'entrer dans cette commission, a-t-il dit, en raison des incertitudes sur l'environnement interne et externe du groupe.Samsung Electronics est le navire-amiral du groupe Samsung. Son action a atteint des sommets sur la perspective de bénéfices encore plus élevés.
Son vice-président Lee Jae-Yong est devenu le patron de facto de Samsung après la crise cardiaque de son père en 2014.Le scandale politique est centré sur Choi Soon-Sil, amie de 40 ans de l'ex-présidente Park, accusée de s'être servie de son influence pour soutirer près de 70 millions de dollars à divers conglomérats et se mêler des affaires de l'Etat.Premier conglomérat du pays, Samsung, qui pèse environ un cinquième du PIB sud-coréen, est celui qui a été le plus généreux vis-à-vis des fondations de Mme Choi.Le groupe est accusé d'avoir versé près de 40 millions de dollars de pots-de-vin à la confidente de l'ombre de l'ex-présidente, en contrepartie de faveurs politiques.Premier partenariat opérationnel à grande échelle entre un énergéticien mondial et une entreprise de premier plan dans le domaine de l'électricité solaire hors réseaux.Les expériences respectives d'EDF en Afrique du Sud et d'Off Grid Electric en Tanzanie montrent que les foyers bénéficiant de cette offre devraient réduire leurs émissions issues de la combustion du kérosène et de résidus afférents de 1,45 kg par an.
Mercredi 9 novembre 2016 - Off Grid Electric, entreprise de premier plan dans la distribution d'énergie solaire en Afrique, et EDF, leader mondial dans les énergies bas carbone, ont annoncé aujourd'hui un partenariat pour la fourniture d'énergie solaire hors réseaux et compétitive en Afrique. La première mise en oeuvre de ce partenariat se concrétise par la création d'une société commune, ZECI, en Côte d'Ivoire, annoncée à l'occasion de la 22 Conférence des Parties (COP) organisée par les Nations Unies à Marrakech au Maroc. L'ambition de cette première société est d'alimenter près de 2 millions de personnes à l'horizon 2020 en Côte d'Ivoire, avec le projet d'étendre rapidement l'action du partenariat à d'autres pays de la région.
Dans le cadre de cette co-entreprise ZECI, EDF et Off Grid Electric prendront en charge l'installation et la maintenance de kits solaires à destination de foyers ruraux et périurbains. Ces kits individuels comprennent des panneaux solaires faciles à installer adossés à des batteries permettant de stocker l'électricité, et payables par simple utilisation d'un téléphone portable. Grace à ces kits, les clients pourront s'éclairer et alimenter un ensemble d'appareils domestiques basse consommation tels qu'une télévision, une radio, un ventilateur ou encore un chargeur de téléphone portable.Le déploiement de cette offre en Afrique de l'Ouest va permettre de créer durablement des milliers d'emplois (plus de 1000 emplois rien qu'en Côte d'Ivoire), pour des postes allant de responsables des ventes à employés de centres d'appels, grâce à une formation interne dispensée par Off Grid Electric et EDF. Proposer à ses clients l'option d'utiliser une source d'énergie renouvelable telle que l'énergie solaire est également un atout pour l'environnement grâce au remplacement des bougies, de la paraffine et du kérosène.'Nous sommes ravis de ce partenariat avec EDF, leader dans son industrie et dont la présence en Afrique et l'expérience permettront d'accroitre la présence d'Off Grid Electric sur l'ensemble du continent' a déclaré Bill Lenihan, Président et Directeur Financier de Off Grid Electric.
'L'accès à une énergie fiable est un défi pour toute l'Afrique et forts de ce partenariat avec EDF, nous allons contribuer à le relever. Grâce à l'indépendance énergétique, nous espérons que les foyers et la société civile sauront saisir de nouvelles opportunités.''Par sa très bonne connaissance du continent africain et son expérience éprouvée en tant que fournisseur de technologies innovantes et compétitives dans le domaine de l'énergie solaire, Off Grid Electric est un partenaire idéal pour EDF' a déclaré Simone Rossi, Directeur Exécutif du Groupe EDF en charge de la Direction Internationale. Il a également souligné qu 'EDF se réjouit de pouvoir s'associer aujourd'hui à Off Grid Electric afin de lui apporter toute l'expertise du Groupe notamment en matière de relation clients. Nous pourrons ainsi partager notre expérience forte de plus de 30 millions de clients dans le monde au bénéfice de nouveaux clients en Afrique de l'Ouest.'
À l'occasion de la COP22, Off Grid Electric va recevoir le prix 'Momentum for Change' de la CCNUCC 2016. Cette initiative a été lancée par le secrétariat des Nations Unies aux Changements Climatiques pour mettre l'accent sur certains des exemples les plus innovants, évolutifs et duplicables de ce qu'engage la population pour faire face aux problèmes de changement climatique.Selon la Banque Mondiale, 62 % des Africains de la région sub-saharienne habitent dans des zones rurales avec peu d'accès aux réseaux électriques.N’ayons « plus » peur de le dire : La société est désormais financièrement solide et ambitieuse! Un nombre d’utilisateurs enregistrés plus important que la population chinoise, utilisé dans 96 langues différentes, jusqu’à un milliard de personnes connectées par jour, 2,5 millions d’annonceurs présents sur le réseau social… une croissance insolente, une trésorerie qui prend de l’ampleur (18 milliards de dollars en 2015), des consensus battus de trimestre en trimestre, des projets novateurs en marche… Le potentiel semble infini, le marché apprécie.
Le slogan historique de la marque Nokia était « connecting people ». Finalement ce slogan pourrait plutôt très légitimement s’appliquer à Facebook. Avec un nombre d’utilisateurs évalué à plus d’1.5 milliard et près de 200 millions de nouveaux adeptes chaque année, la firme ne se pose aucune limite en la matière, et se donne les moyens de son ambition.
Cette volonté s’inscrit notamment dans son initiative appelée « Internet.org » dont l’objet est le suivant : « concentrer ses efforts sur les barrières physiques, économiques et sociales qui privent les citoyens de connexion à internet ». Ainsi, l’un des derniers projets en date de Facebook est de connecter l’Afrique à internet par un ambitieux partenariat notamment avec l’opérateur français Eutelsat. L’idée est de proposer de l’internet à haut débit dès 2016 dans 14 pays d’Afrique subsaharienne, grâce à un satellite géostationnaire, pour développer ce marché à fort potentiel bridé par des infrastructures limitées.Facebook n’abandonne pas sa source de revenu première et il aurait tort de s’en priver. La publicité reste le vecteur essentiel de la réussite de Facebook car cela représente 80% de ses recettes (70% en 2014). Le trésor de guerre accumulé par la société est important avec près de 25 milliards de dollars de revenus publicitaires juste pour l’exercice 2015, soit 65% du marché global 2015 de la publicité sur les réseaux sociaux. Selon une étude menée par le site eMarketer, chaque utilisateur du réseau social Facebook lui rapporte un peu moins de 13 dollars à l’échelle mondiale, 49 dollars sur le seul marché américain.
Soucieux de toujours garder ce monopole et d’innover en la matière, le réseau social californien vient de lancer également fin février une nouvelle plateforme permettant aux annonceurs d’afficher des publicités en plein écran sur des téléphones portables. Il s’agit donc ici, d’une nouvelle forme de spots télévisés. Cette plateforme baptisée « Canvas » permettra l’intégration de contenus interactifs et immersifs quasi instantanément et directement stockés sur une plateforme de Facebook. Ce système couplé à une personnalisation de la publicité en fonction des gouts des utilisateurs de Facebook donne une plus-value indéniable à ce projet nouvellement mis en place. La plateforme Canvas a déjà été plébiscitée par de prestigieuses marques telles que : Burberry, Gucci, Coca-Cola, Citroën, Guerlain…
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