Le modèle économique est solide. Si la publicité a assuré à la société la constitution d’un trésor de guerre conséquent, elle a également permis à cette dernière de se diversifier par une multitude de rachats. En effet, plus de 50 sociétés sont entrées sous le joug de la société de Palo Alto dans des domaines aussi divers que : la messagerie instantanée (WhatsApp racheté 19 milliards de dollars), reconnaissance vocale, partage de photo (Instagram racheté 1 milliard de dollars), fitness (Moves), recommandation de voyage (Nextstop), publicité vidéos, reconnaissance faciale (Masquerade Technologies)… en se concentrant même aujourd’hui sur du « hardware ». Si un temps le développement d’un mobile propre à la marque se dessinait, désormais c’est la technologie de la réalité virtuelle qui concentre les efforts de la marque. Mark Zuckerberg n’a pas manqué fin février lors d’un événement organisé par Samsung de vanter la vision de son groupe dans ce domaine. Facebook a racheté la marque Oculus en 2014 pour près de 2 milliards de dollars, projet de réalité virtuelle le plus abouti de l’époque avec son casque Oculus Rift. Il s’agit, d’un outil technologique très attendu par la communauté de gamers et fans de technologies, avec une expérience vidéo ludique novatrice et précurseur du futur. Après des mois de développement, ce casque de réalité virtuelle sortira le mois prochain. Dans le même temps, le groupe américain va assurer la promotion d’un casque de la marque Samsung qui sera offert avec toutes précommandes des nouveaux smartphones de la marque coréenne.
Le fondateur de Facebook croit fermement en cette technologie qu’il définit comme « ayant un potentiel illimité ». Si le jeu vidéo semble la raison première de cet outil, le dirigeant pense également à l’adapter à tout système de communication. Dès lors, l’intéraction avec son réseau social éponyme ou son application de messagerie whatsapp coule de source. Et c’est en cela que la mutation de la marque s’opère véritablement, car, à la manière d’un Apple, Facebook développera tout une gamme d’équipements à faibles prix en complément de ses produits. Si la réalité virtuelle mettra certainement des années avant de devenir un produit grand public, Facebook apparaît assurément comme son ambassadeur privilégié et permettra indéniablement de vulgariser ce produit très rapidement.Si Facebook a inquiété lors de ses débuts en bourse, elle n’aura cependant jamais déçu (hormis en mai 2013) lors de ses résultats trimestriels, la société s’offrant même le luxe de surprendre agréablement la sphère financière en battant le consensus à chaque publication trimestrielle.
Toute proportion gardée, cela ne vous rappelle-t-il pas une société à la pomme qui affiche désormais 47 consensus battus sur 48? Certes, nous n’en sommes pas encore là, mais avec un consensus battu 14 fois sur 15, ces 3 dernières années, la performance est suffisamment marquante et rare pour être soulignée. Enfin, le consensus actuel des analystes (près de 50 sur cette valeur) reste quasi exclusivement à l’achat ou à l’accumulation sur ce titre, avec un objectif de cours moyen élevé à près de 133 dollars.Facebook est la seule société à pouvoir arguer de rentrer dans le top20 mondial des plus grosses capitalisations boursières, à peine quatre années après son introduction en bourse. La société de Mark Zuckerberg a frappé fort, en s’offrant le luxe d’intégrer en 2015 directement la 7ème place, intercalée entre des valeurs historiques telles que les sociétés Exxon Mobil et General Electric.
A l’approche de la fin du premier trimestre 2016, Facebook parvient même à gagner une place supplémentaire. Ses concurrents directs, à savoir Berkshire Hathaway et Exxon Mobil, ne distancent désormais plus Facebook que d’une trentaine de milliards de dollars. A terme, la société Facebook pourrait-elle intégrer le top3 mondial, en concurrence directe avec Apple ou Alphabet? Cela ne semblerait pas choquer quand on sait que la firme de Palo Alto a doublé sa capitalisation boursière en seulement 22 mois, passant de 155 milliards en mai 2014 à près de 310 milliards actuellement.La société est l’une des rares dont le chiffre d’affaires augmente de plus de 25% à chaque exercice, avec 7,8 milliards de dollars en 2013, 12.5 milliards (+ 37%) en 2014, 18 milliards en 2015 (30%), 25 milliards (+30%) attendus en 2016, +25% attendu en 2017 et +22% en 2018 selon le consensus Thomson Reuters.
Tous les majors de la nouvelle économie y sont passés (Amazon, Google, Apple, Microsoft…). Cependant, Facebook contrairement à ses concurrents directs se préserve d’une difficulté, et non des moindre, Facebook ne vend pas de produits physiques (pétrole, logiciels, tablettes, téléphones…). Ainsi l’impact du ralentissement, notamment de l’économie chinoise, n’affecte pas la rentabilité de Facebook bien au contraire. La firme enregistre une très forte communauté grandissante d’utilisateurs chinois. La société de Mark Zuckerberg est l’une des rares pouvant traverser cette tempête sans difficulté car elle préserve deux éléments prépondérants à son modèle économique : son nombre d’utilisateurs qui ne cesse de croître et une augmentation constante de ses revenus tirés de la publicité.
Toute chose égale par ailleurs, Facebook suit un modèle économique plus ou moins similaire qui a fait ses preuves, à savoir Alphabet. Initialement un simple navigateur internet épuré de toute publicité, Google, devenu la page internet la plus consultée et utilisée dans le monde, a su faire fructifier et se diversifier avec désormais un système d’exploitation dédié (androïd), des logiciels dédiés (Chrome), des téléphones (gamme Nexus après le rachat de motorola), des lunettes (google glass), des voitures sans pilote. Le titre peut paraître cher ou surévalué pour certains investisseurs (avec un Price Earning Ratio de 51 mais finalement conforme au secteur), cependant l’innovation est au rendez-vous, le potentiel également. Alors, oui qu’on se le dise, Facebook est une pépite technologique et pérenne. Il ne s’agit bien évidemment pas d’une société « value » ou « yield » mais une société « growth », sa progression se fera au fil des exercices et des innovations dans les mois et années à venir. C’est pourquoi la société représente une cible de choix pour un investissement à moyen terme et fait partie dès à présent de notre présélection ZoneBourse, dans le cadre du portefeuille « Investisseur USA ». Un premier achat de 45 titres exécutés a 108.39 dollars à été initié le 29 février dernier, pour profiter du mouvement haussier à venir sur ce titre. Nous sommes sereins et confiants sur les perspectives à long terme de Facebook.
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Sandoz Pharmaceuticals AG a été officiellement certifiée par le Top Employers Institute pour les conditions de travail exceptionnelles qu'elle offre à ses employés en Suisse
L'étude internationale menée chaque année par le Top Employers Institute reconnaît les employeurs de pointe dans le monde entier
Cette prestigieuse certification met en avant notre détermination à attirer et fidéliser les personnes les plus talentueuses, qu'elles soient issues de notre secteur d'activité ou non
Rotkreuz, 22 février 2017 - Sandoz, une division de Novartis, est fière d'annoncer avoir été officiellement certifiée par le Top Employers Institute pour les conditions de travail exceptionnelles qu'elle offre à ses employés en Suisse.
L'étude internationale menée chaque année par le Top Employers Institute reconnaît les employeurs de pointe dans le monde entier : ceux qui offrent d'excellentes conditions de travail à leurs employés, encouragent et développent les talents à tous les niveaux de l'organisation et qui s'efforcent d'optimiser en permanence leurs pratiques en matière d'emploi. Sandoz Pharmaceuticals AG a obtenu la prestigieuse certification « Top Employers Europe 2017 ».« L'obtention de cette certification comme l'un des meilleurs employeurs en Europe est une belle réalisation et nous attachons une grande importance à cette récompense », déclare Rebecca Guntern, directrice nationale Suisse chez Sandoz Pharmaceuticals AG. « Cette prestigieuse certification conforte notre ambition d'être la meilleure société pour nos associés. En outre, elle met en avant notre détermination à attirer et fidéliser les personnes les plus talentueuses, qu'elles soient issues de notre secteur d'activité ou non. »
Mener un processus d'étude très rigoureux et répondre aux critères exigés pour obtenir cette certification sont des éléments fondamentaux pour le Top Employers Institute. Pour renforcer la validité du processus, toutes les réponses ont été soumises à une vérification indépendante, ce qui signifie que cette étude a examiné les conditions de travail exceptionnelles des employés de Sandoz Pharmaceutical AG en Suisse.« Je suis très fière que Sandoz Pharmaceuticals AG ait été reconnue comme un Top Employer en Suisse. La certification met en avant notre engagement envers nos collaborateurs et la force de notre culture. Surtout, elle nous différencie des autres sociétés en nous consacrant comme une entreprise très prisée du secteur. Elle nous aide également à fidéliser et à attirer les talents », a déclaré Cornelia Dannmeyer, directrice des ressources humaines chez Sandoz Pharmaceuticals AG.
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