Etienne Dedroog, un Flamand aujourd’hui âgé de 43 ans, y comparaît pour le meurtre en vue de faciliter le vol de Maria Mia Van Dijk, 69 ans et August Martin Blankaerts, 71 ans.Le cadavre de la première avait été découvert par ses deux petites-filles le 29 novembre 2001 peu après 17h. Les deux adolescentes, âgées de 14 et 15 ans, étaient inquiètes du fait que leurs grands-parents n’étaient pas venus les chercher à l’école ces 28 et 29 novembre. Les secours découvrent deux corps. Le mari gît au rez-de-chaussée, dans une pièce aménagée comme gîte. Le corps de son épouse est découvert à l’étage dans une chambre, pendu à l’aide d’un lacet accroché à la clé d’une armoire. Il n’y a ni trace de lutte, ni d’effraction. L’ordinateur portable du couple et sa voiture ont disparu.L’enquête cible rapidement Etienne Dedroog, dernier occupant du gîte. Trois jours plus tard, en matinée, il se constitue prisonnier à la police de Louvain. Ramené à Neufchâteau, ses premiers mots sont : Je suis coupable. Il ne fait aucune difficulté pour reconnaître qu’il a tué les victimes mais se dit incapable d’expliquer son geste.
Des zones d’ombre subsistent sur son emploi du temps. On est certain qu’il était en Espagne le 17 novembre car il a été contrôlé à Valence où il a été cueillir des oranges en tant que saisonnier. On sait aussi qu’il s’est présenté le 24 novembre au syndicat d’initiative de Neufchâteau en quête d’un logement.Il est arrivé au gîte le 24 novembre. Selon ses dires, il a payé les 160 euros à l’avance pour quatre nuits. On sait aussi qu’il a sympathisé avec quelques personnes dans un café et lors d’un match de football. Il se présentait comme faisant du reportage sur le débardage pour une chaîne de télévision anglophone.Selon ses dires, le 28 novembre, après sa douche du matin, il a placé le lacet muni d’un nœud qu’il porte d’habitude au poignet sur son sac à dos. Quand Martin Blankaerts est descendu, il lui a noué autour du cou et l’a étranglé. Il est monté à l’étage et a étranglé Maria van Dijk avec le lacet avant de l’attacher à la clé de porte d’une armoire. Ce lacet, dit-il, venait d’Espagne et servait à fermer les sacs de jute où les oranges étaient placées.Il explique qu’il est ensuite parti avec la voiture qu’il a abandonnée à Bruges. Il explique aussi qu’il a abandonné l’ordinateur portable du couple dans une poubelle. Ce que contredira l’enquête : il l’a vendu à Ostende. L’enquête établira également que la caisse dans laquelle le couple gardait sa recette a disparu et que, contrairement à ce qu’il affirme, le couple ne se faisait payer que lorsque le client partait.
De plus, Etienne Dedroog avait une propension à ne pas payer ses gîtes. Mais ce n’est pas tout. Il est soupçonné d’avoir tué la patronne d’un gîte en France, à Bouchet (Drôme). Cette femme de 57 ans a été étranglée le 11 octobre 2011 à l’aide d’un lacet sur lequel on a découvert l’ADN de Dedroog. Il a été mis en accusation pour ce meurtre devant la cour d’assises de Grenoble. Etienne Dedroog, qui nie, a fait appel.Le vice-premier ministre MR Didier Reynders a défendu samedi dans le Grand Oral La Première-Le Soir l'idée d'un tax shift qui commence par s'appliquer au sein de la fiscalité sur le travail, par exemple le remplacement de certains avantages en nature (voitures de société, ordinateurs portables, smartphones) par une revalorisation du salaire net des travailleurs. Il faut baisser l'impôt sur le travail, a martelé l'ex-ministre des Finances qui a notamment évoqué la piste de la quotité exemptée. Selon lui, la première des priorités est d'augmenter le salaire poche.Evoquant le tax shift, certains mettent en avant des propositions de nouveaux impôts pour financer le budget, ça n'a pas de sens, soutient le ministre MR. Selon lui, on peut travailler au sein de la fiscalité sur le travail, et par exemple supprimer un certain nombre d'avantages en nature de manière à les remplacer par du net.
Il n'en demeure pas moins que l'Etat devra trouver de nouvelles recettes pour son budget. Didier Reynders mise d'abord sur un effet retour de la réforme fiscale. Il n'exclut pas, par ailleurs, de nouvelles économies. Enfin, il rappelle que le gouvernement s'est lancé dans des réformes structurelles. A côté de cela, des taxes sur la consommation et l'environnement peuvent être étudiées et au final, le vice-premier ministre réformateur ne ferme pas la porte à une taxation sur le capital spéculatif. Mais il rappelle que le gouvernement a déjà décidé de relever la taxe sur les opérations de bourse.Pour Didier Reynders, la balle est dans le camp de son collègue N-VA Johan Van Overtveldt dont il attend les propositions. Rappelant que le gouvernement n'est en place que depuis deux mois, il pointe l'échéance du contrôle budgétaire en mars. J'attends le plan du ministre des Finances, a-t-il indiqué samedi, évoquant une réforme qui selon lui devrait atteindre au moins 5 milliards d'euros sur 4 ou 5 ans.Taille et poids, accessoire autorisé en cabine, possibilité de régler un excédent en ligne... La politique de bagages des compagnies aériennes est une jungle pour les passagers tant elle peut être différente d'une à l'autre. À l'heure où les grandes vacances battent leur plein, tour d'horizon des compagnies qui accorderont plus ou moins de liberté.
Ce n'est pas une surprise, les compagnies aériennes régulières sont plus souples avec les voyageurs qui comptent emporter un bagage en cabine. La plupart d'entre elles l'autorisent et acceptent même un accessoire supplémentaire, tels qu'un appareil photo ou un ordinateur. Cette liberté est incluse dans le prix du billet.Sachez toutefois que les poids autorisés de vos effets personnels diffèrent. British Airways est par exemple le plus permissif avec 23kg contre 5kg seulement pour Thomson Airways. À noter d'ailleurs que ces charters anglais font office d'exceptions puisqu'ils n'acceptent pas d'accessoire supplémentaire, à l'instar de Tap Portugal et d'Air Europa. En règle générale, les compagnies aériennes régulières imposent à leurs passagers des bagages en cabine pesant entre 8kg (Finnair, Lufthansa) et 12kg (Air France). Quant aux mesures, les tailles sont sensiblement les mêmes (55x40x20cm).
Du côté des lignes low cost, la politique est plus sévère. Le poids autorisé du bagage cabine ne dépasse jamais 10kg, à l'exception d'EasyJet et de Wizz Air qui accordent l'illimité. Attention donc à l'excédent qui peut vite faire oublier que le prix du billet était bon marché. Si vous dépassez le poids ou la taille imposés, vous devrez régler un surcoût pouvant être facturé jusqu'à 60 euros chez Volotea. La compagnie aérienne espagnole est la plus sévère. En général, l'excèdent est facturé entre 25€ pour Jetblue Airways et 50€ pour Ryanair.Souciez-vous aussi de la taille de votre valise, pour éviter des frais. Transavia et Wizz Air sont les plus contraignantes, avec des mesures imposées respectivement de 42x40x25cm et 42x32x25cm.À l'inverse, Iberia Express, Volotea, Ryanair, Jetblue Airways et Norwegian acceptent un accessoire en plus du bagage cabine.
Lorsque vous disposez de bagages à enregistrer en soute, mieux vaut en ajouter un au moment de la réservation et payer immédiatement. Le coût oscille entre 15 et 45€, alors que la note sera plus salée au comptoir, jusqu'à 75€ avec Ryannair. Vérifiez également le poids de vos affaires. En général, les compagnies acceptent entre 20kg et 23kg, mais si vous dépassez cette limite, gare aux surprises à l'aéroport. Le hic : certaines compagnies aériennes low cost ne permettent pas de s'acquitter de ces frais en ligne. Advienne que pourra donc, pour plus de la moitié d'entre elles comme Ryanair (10 euros par kilo) et Vueling (12 euros par kilo).
Mais le casse-tête n'est pas moindre avec une compagnie aérienne régulière. Si celles-ci autorisent des bagages en soute de 23kg en règle générale, vous risquez d'être surpris si vous avez emporté trop d'affaires. La note de l'excédent peut être multipliée par trois par rapport à une compagnie low cost. Les frais supplémentaires s'élèvent à 50 euros sur Germanwings contre 150 euros sur Swiss. Rares sont les lignes qui permettent de régler l'excédent bagage en ligne, à l'exception de Finnair, de SAS (Scandinavian Airlines System) et d'Air Europa.
Chaque bagage à main ne doit pas dépasser 55 x 40 x 23 cm, sauf les housses à vêtements (max 57 x 54 x 15 cm). Les éléments suivants peuvent être transportés gratuitement : 1 manteau, drap, ou couverture, 1 parapluie ou une canne, 1 sac à main pour dames, une quantité raisonnable de livres/magazines, 1 petit appareil photo ou une paire de jumelles, 1 sac d'ordinateur portable, 1 landau pour bébé ou 1 poussette entièrement pliable, de la nourriture pour bébé à consommer à bord, un fauteuil roulant, du matériel médical. Le poids autorisé à bord variera selon le type de réservation, même chose pour le bagage en soute.
Depuis le début des années 2000, cette Américaine s’intéresse au profil des personnes radicalisées, particulièrement dans un contexte islamiste. En 2006 et 2007, elle a contribué à la rédaction des programmes de réhabilitation des extrémistes détenus par l’armée américaine en Irak.Depuis 2002, elle a réalisé de très nombreuses interviews. Elle s’est rendue à Gaza, en Cisjordanie, en Tchétchénie, en Irak en Jordanie ainsi qu’aux Pays-Bas, en France et en Belgique pour interroger quelque 400 personnes, qu’ils soient terroristes, membres de leurs familles ou de leurs soutiens. Elle a rencontré des victimes, notamment des survivants des prises d’otages de Beslan (2005) et du théâtre de Moscou (2002). Pour ces entretiens, elle procède par vidéo, tout en prenant note sur un ordinateur portable.On peut être la première entreprise américaine, valorisée à plus de 700 milliards de dollars ( lire ici), plébiscitée par des consommateurs assommés de marketing, et quand même être un peu lent à la détente. Apple, la marque rouleau compresseur qui vend iPhone, iPad et iMac à tour de bras l'a prouvé jusqu'à ce jeudi 19 février.
En cause: une importante série de MacBook Pro vendus entre février 2011 et décembre 2013. Depuis deux ans, ces ordinateurs portables souffrent d'un mal plutôt handicapant: soucis d'affichage, plantages inopinés, redémarrages en boucle... Bref, la puissante machine achetée pour près de 2000€ se révèle totalement inutilisable au bout de deux ans à peine, trois ans dans le meilleur des cas! A la source de ce problème, on trouve la carte graphique. Pour faire court, celle-ci est mal soudée sur la carte-mère, ce qui rend l'ensemble totalement inutilisable en situation de surchauffe.Du côté du service après-vente de la marque à la pomme, on faisait la sourde oreille. Les genius, le nom donné aux informaticiens disponibles dans les Apple Store, ouvraient de grands yeux étonnés face à cette panne aussi improbable qu'inconnue. Bref, une fois la garantie (très décriée car limitée à un an seulement) expirée, et sans Apple Care (une extension de garantie de deux ans vendue au prix du pétrole), il fallait être prêt à mettre la main au portefeuille. En Belgique, cette réparation était facturée un peu moins de 700€, main-d'oeuvre comprise, par un revendeur agréé. Autre solution do it yourself pour le moins périlleuse: réchauffer sa carte graphique au four pour remettre les soudures en place...
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