Une version reconditionnée du Galaxy Note 7 pourrait être commercialisée en Inde et au Vietnam. Samsung en Inde a démenti cette information.Samsung va-t-il accorder une deuxième vie (voire une troisième) au Galaxy Note7 ? Le problématique smartphone que le constructeur coréen avait retiré de la circulation pour cause de surchauffe de la batterie pourrait être revendu sur certains marchés émergents à partir de mai prochain, rapporte l’édition coréenne de The Korean Economic Daily.Qu’on se rassure, pour éviter les risques d’explosion, les terminaux se verront dotés d’une batterie d’une capacité inférieure au modèle original, autour de 3000-3200 mAh contre 3500 mAh initialement. Une alternative qui devrait prévenir tout risque de surchauffe et d’explosion comme en a subit nombre de Galaxy Note7 depuis son lancement en août 2016 en Corée et aux Etats-Unis et en Europe à partir de septembre.
Après un premier rappel, Samsung avait finalement décidé de retirer du marché les quelque 2,5 millions d’unités de son appareil en circulation. Aux dernières nouvelles, le constructeur avait réussi à en récupérer 98%. Et pour empêcher définitivement tous risques potentiels sur les modèles toujours utilisés, le Coréen avait effectué une mise à jour interdisant le rechargement de la batterie ainsi que les fonctions radios rendant inutilisable le smartphone. Redoutablement efficace.Commercialiser les excédants du Galaxy Note 7 permettrait à Samsung de recycler l’appareil afin de limiter l’impact de sa destruction sur l’environnement, selon le journal coréen. Et de réduire les pertes financières induites, accessoirement. Mais toujours pas de prendre l’avion avec puisque le smartphone est définitivement interdit de vol. Le « nouveau » Galaxy Note7 pourrait être distribué en Inde, au Vietnam, notamment. Néanmoins, la filiale indienne de Samsung a démenti cette information, rapporte Gadget 360. Si Samsung confirme le démenti pour le reste des autres marchés cités, il faudra bien se résoudre à définitivement tourner la page du Note7.
Après un chassé-croisé sur les pistes de ski, il est temps de reprendre ses bonnes habitudes en lisant les télégrammes du soirUn Samsung Galaxy Book concurrent du Surface Book de Microsoft ? Samsung travaille-t-il sur une nouvelle gamme de tablettes ou sur un PC deux-en-un ? Une application, Book Settings, apparue sur le Windows Store, met la puce à l’oreille. « Installez Book Settings, qui optimise la durée de vie de la batterie, le mode écran, l’enregistrement des modèles, le manuel de l’utilisateur et d’autres fonctions de Samsung, précise le descriptif. Book Settings est une application pour Galaxy Book. Elle peut ne pas fonctionner normalement sur d’autres périphériques. » Une application dédiée à un terminal sous Windows 10 qui n’a pas encore été commercialisé, donc. Si rien ne dit qu’il s’agira d’une tablette deux-en-un, on peut légitimement penser que le Galaxy Book de Samsung cherchera à venir concurrencer le Surface Book de Microsoft. Des modèles qui ont confirmé l’attrait pour ce format d’appareils, notamment en entreprises. Un attrait quel Samsung n’a probablement pas l’intention de laisser passer.
Kim Dotcom va être extradé. La Haute Cour de Nouvelle-Zélande a autorisé l’extradition de Kim Dotcom vers les Etats-Unis. Le fondateur de Megaupload et ses conseillers juridiques ont annoncé un recours contre cette décision. Kim Dotcom est réclamé par les autorités américaines pour fraude, racket et blanchiment. Il réfute ces accusations et pointe une vendetta provenant des studios de Hollywood. Il n’est d’ailleurs pas le seul incriminé : Finn Batato, Mathias Ortmann et Bram van der Kolk – ses associés – sont accusés d’avoir tiré de leur activité 175 millions de dollars de profit et causé plus d’un demi-milliard de dollars de pertes aux ayants-droit des œuvres musicales, films et autres produits piratés. Kim Dotcom pourrait écoper d’une peine allant jusqu’à 20 ans de prison en cas de procès aux Etats-Unis.
Orange investit dans Famoco. Le spécialiste des terminaux transactionnels sur Android Famoco a reçu le soutien d’un pool de sociétés de capital-risque et de corporate funds : Idinvest Partners, Orange Digital Ventures, SNCF Digital Ventures et BNP Paribas Développement. Au total, il boucle une levée de fonds de 11 millions d’euros, calcule ITespresso. Avec cet investissement, Famoco compte doubler son effectif pour passer à une centaine de collaborateurs et développer sa présence à l’international avec des bureaux régionaux en Europe, Moyen-Orient, Afrique, aux Etats-Unis et en Asie (sachant que la société dispose déjà d’un relais en Inde). Famoco revendique 100 000 terminaux déployés et une commercialisation dans une trentaine de pays.Sigfox lance Spot’it, le premier service de localisation des objets connectés à son réseau IoT mondial. Une offre complémentaire au GPS.
Sigfox lance Spot’it, un service de localisation des objets sur son réseau mondial bas débit et à faible consommation (LPWA) dédié à l’Internet des objets (IoT). Celui-ci fournit la position d’un objet fixe comme mobile, ce qui permet dans ce dernier cas de pouvoir le suivre en temps réel, quasiment, sur le réseau mondial de l’opérateur IoT français.Pour cela, Sigfox a développé une solution à partir d’une technologie de triangulation. Schématiquement, le système identifie la position d’un objet en corrélant la mesure de la puissance du signal capté par trois antennes et les informations collectées dans le Cloud de Sigfox et traitées par des technologies de Big Data et de machine learning. Le service a nécessité deux ans de développement.
Une technologie de mesure qui ne génère, selon Sigfox, aucun impact sur la consommation énergétique des objets puisque ces derniers n’émettent aucun message supplémentaire. Pas plus qu’elle ne nécessite d’ajout matériel ou logiciel à l’infrastructure. Spot’it s’inscrit ainsi comme une alternative attractive pour les parcs volumineux face au système GPS pénalisé par ses lourds besoins énergétiques, ce qui impose un remplacement régulier de la batterie. Impensable pour des cas d’usage d’objets conçus pour conserver une autonomie de plusieurs années. De plus, le service de l’entreprise dirigée par Ludovic Le Moan assure la géolocalisation indoor des objets (à l’intérieur des bâtiments, voire en sous-sol). Une capacité difficilement réalisable avec l’usage classique des satellites.
Spot’it devrait donc principalement intéresser les entreprises de transport, logistique et les services autour de la chaîne d’approvisionnement mais aussi de la distribution ou du BTP. Bref, toutes les organisations qui ont besoin de connaître la position de leurs biens à un instant T sans avoir à déployer de lourds investissements. « Détection de fraudes et nouvelles formes d’assurance lorsqu’un bien non mobile quitte sa zone de chalandise, service de géomarketing permettant d’optimiser la distribution d’actifs sur une certaine zone géographique, les possibilités sont infinies », illustre Laetitia Jay, directrice marketing de l’opérateur. Mais à un coût que Sigfox ne précise pas. L’opérateur nous précise néanmoins qu’il est indexé sur le prix de l’abonnement, lequel dépend du nombre d’objets connectés et de messages envoyés.
Fort d’un réseau déployé dans 31 pays à ce jour (dont 12 couverts à l’échelle nationale) sur 1,9 million de km2 où vivent 486 millions de personnes, Sigfox revendique sa position unique sur le marché à ce jour de fournisseur d’une solution de communication mondiale dédiée à l’Internet des objets (IoT). Une caractéristique qui distinguera son offre de la concurrence. Car les services de géolocalisation se développent aussi sur le réseau Lora également LPWA. En fin d’année dernière, l’opérateur Hub One a ainsi mené une série de test d’une technologie de localisation par le réseau à partir de cinq antennes Lora (pentagulation). « Cela permet d’avoir un zonage sans appel GPS », nous précisait Soline Olszanski, responsable stratégie et innovation de l’opérateur spécialisé dans la connectivité aux aéroports de Paris. Le lancement de Spot’it pourrait bien donner le signal de départ du « GPS de l’IoT ».
16 millions de Galaxy S8 et S8 Plus seront accessibles à la vente dès leur mise sur le marché. Samsung mise sur un carton pour son prochain smartphone.Samsung espère bien se refaire sur le marché des smartphones de haut de gamme, après le fiasco de son Galaxy Note 7. Deux fois rappelé, puis supprimé du catalogue de la firme, pour des soucis insurmontables de surchauffe de la batterie.The Investor dévoile ainsi que le constructeur espère écouler 60 millions de Galaxy S8. Contre 47 millions de S7 et 45 millions de S6. Le S8 Plus, avec son écran grand format, pourrait attirer les déçus du Note 7 restés fidèles à la marque coréenne.Samsung espère également un démarrage en fanfare. À cet effet, 16 millions de S8 seront commercialisés dès son lancement, attendu mi-avril. 10 millions de Galaxy S8 et 6 millions de Galaxy S8+. Deux terminaux mobiles attendus aux prix respectifs d’environ 799 euros et 899 euros.Le Galaxy S8 ratera le Mobile World Congress 2017 de Barcelone, qui débutera en fin de mois. En cause, des retards liés aux soucis du Galaxy Note 7. Pas question pour Samsung de reproduire les erreurs du passé. Il faudra donc probablement se contenter d’une nouvelle tablette lors du MWC2017 (voir « La tablette Samsung Galaxy Tab S3 attendue au Mobile World Congress »).La firme organisera l’évènement Samsung Unpack le 29 mars prochain, à New York. C’est sans aucun doute à cette date que seront lancés les Galaxy S8 et S8 Plus, avec une disponibilité en magasin dans la foulée. Soit courant avril.
Des terminaux mobiles de type clamshell pourraient être proposés par Samsung dès 2017. Leur particularité, l’utilisation d’un écran flexible qui permettra à l’affichage de couvrir toute la surface interne du smartphone.Les Samsung Galaxy X1 et X1 Plus pourraient être présentés par le constructeur Coréen lors du Mobile World Congress 2017 de Barcelone, qui se déroulera en fin de mois. Particularité de ces deux smartphones, l’adoption d’un écran flexible.Il est peu probable que ces smartphones soient totalement flexibles. Samsung profitera-t-il de cet écran pour proposer des terminaux mobiles à bords plus largement incurvés… ou pour aller un cran plus loin dans la modularité ? Digitimes évoque des téléphones à clapet (clamshell) dont la surface interne serait exploitée par un unique écran. Une idée intéressante.Potentiellement présentés lors du MWC, les Galaxy X1 et X1 Plus ne devraient toutefois être commercialisés qu’en fin d’année, explique Digitimes, s’appuyant sur les dires des fournisseurs taïwanais.La production en masse de smartphones à clapet ne devrait cependant monter en volume que lors de la seconde moitié de l’année 2018. En cause, des soucis techniques à régler sur les matériaux utilisés à l’emplacement de la charnière du téléphone.
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