Bien entendu, Ubuntu oblige, cette tablette pourra aisément se transformer en ordinateur traditionnel, en la connectant à un écran externe et en lui adjoignant un ensemble clavier/souris Bluetooth.4G, 64 bits, Full HD et économique, le smartphone Archos 50d Oxygen affiche bien des atouts. Sa qualité de construction sera-t-elle à la hauteur de sa fiche technique ?À quelques jours du Mobile World Congress de Barcelone, Archos lève le voile sur l’Archos 50d Oxygen, un smartphone 4G 150 Mb/s de moyen de gamme particulièrement abordable : un prix public de 149,99 euros TTC est annoncé. Disponibilité prévue pour mai.Ce smartphone est équipé d’une puce Mediatek MTK6753 comprenant 8 cœurs 64 bits ARM Cortex-A53 cadencés à 1,3 GHz. Si la puissance est bien plus limitée qu’avec les composants Cortex-A57, les besoins en énergie de ce SoC devraient se montrer raisonnables. À noter, la présence d’un GPU performant, un ARM Mali-T720 MP3. Le processeur est épaulé par 2 Go de RAM et 16 Go d’espace de stockage (extensibles via une carte microSD). Classique pour du milieu de gamme.
Côté écran, c’est une bonne surprise, avec une dalle 5 pouces IPS en Full HD, soit une résolution de 1920 x 1080 points. Deux capteurs d’images, de 13 et 5 mégapixels sont proposés sur le terminal.Le tout se veut léger (130 g), fin (14,1 x 7,1 x 0,8 cm), fonctionnel (avec ses 2 SIM) et relativement autonome (batterie de 2100 mAh). C’est Android 5.1 qui est aux commandes. Comme d’habitude chez Archos sans surcouche, le constructeur se bornant à ajouter à l’OS ses applications de gestion des vidéos et des fichiers. Dommage qu’il ne soit pas ‘rootable’ par défaut, afin d’y ajouter des applications de sécurité complémentaires.L’Exynos 7 Octa 7870 est un nouveau processeur mobile de milieu de gamme qui adopte le 14 nm FinFET. Une première sur ce segment de marché pour Samsung.Les puces mobiles de haut de gamme de Samsung, les Exynos gravés en 14 nm, ne sont plus réservées aux smartphones les plus onéreux. La firme coréenne vise ainsi le milieu de gamme, avec une nouvelle offre, l’Exynos 7 Octa 7870.
Au menu, 8 cœurs ARM 64 bits Cortex-A53 cadencés à 1,6 GHz, un modem 4G (LTE) et une puissance suffisante pour lire de la vidéo en Full HD à 60 ips (images par secondes) et piloter des capteurs d’images de 16 mégapixels. Un GPS plus rapide sera également de la partie.Gravé en 14 nm FinFET, ce nouveau SoC se veut au top de la technologie, mais avec des spécifications de moyen de gamme qui devraient permettre à Samsung de proposer une puce compacte, peu gourmande en énergie et d’un prix de revient relativement bas. Idéal pour aller concurrencer Qualcomm.Le passage de 28 nm à 14 nm devrait permettre de réduire la consommation de cette puce de 30 % par rapport à son prédécesseur de puissance équivalente, l’Exynos 7 Octa 7580. De quoi enfin proposer des smartphones à forte autonomie ? Il est à craindre que Samsung suive une autre voie, en profitant de cette réduction des besoins en énergie pour diminuer la taille des batteries de ses smartphones, afin de proposer des terminaux plus compacts, mais aussi plus économiques à produire.Réponse dans le courant de l’année. L’Exynos 7 Octa 7870 devrait en effet entrer en production ce trimestre. Il faut donc s’attendre à le voir arriver dans de premiers terminaux mobiles au cours du second semestre 2016.
Gros buzz autour du Freedom 251, un smartphone qui sera vendu en Inde pour 3,3 euros. Il est en fait sponsorisé par le gouvernement, qui prend en charge la majeure partie de son prix de revient.Le constructeur indien Ringing Bells lance le plus économique des smartphones jamais conçus : 251 roupies, soit environ 3,3 euros.Le Freedom 251 propose une fiche technique plus qu’acceptable à ce tarif : un écran de 4 pouces IPS qHD (960 x 540 points), piloté par un processeur ARM disposant de 4 cœurs 32 bits cadencés à 1,3 GHz. 1 Go de RAM et 8 Go d’espace de stockage (extensibles via une carte microSD de 32 Go maximum) sont présents en standard. Le tout fonctionne sous Android 5.1 et est compatible avec les réseaux 3G. La batterie est un peu faiblarde (1450 mAh) et les capteurs d’images anémiques (0,3 et 3,2 mégapixels). Mais à ce prix, il sera difficile de se plaindre.
Ce smartphone ne sera livré que cet été. Les précommandes ont débuté (elles sont réservées aux seuls indiens), mais sont actuellement inaccessibles, la société indiquant que ses serveurs sont saturés. Pourtant, le site dédié à ce smartphone fonctionne toujours à cette heure. Ringing Bells aurait-il été submergé de commandes… au-delà de ce qu’avait accepté de financer le gouvernement indien ? Le Freedom 251 est en effet un smartphone sponsorisé par le gouvernement, ce qui explique son tarif plancher. L’objectif est ici de connecter le plus grand nombre de personnes à l’Internet mobile.Cette politique de subvention est critiquée par certains, comme l’Indian Cellular Association. L’organisation explique que le Freedom 251 va casser le marché, en étant proposé quasiment à un dixième de son prix de revient. Normalement, c’est à entre 3500 et 4100 roupies qu’un tel téléphone devrait être vendu, soit de 46 à 54 euros. L’association gonfle ici un peu les chiffres, les offres 3G pouvant probablement approcher les 2500 roupies. En particulier sur le territoire indien, où des économies d’échelle importantes peuvent être réalisées.
Pour preuve, Ringing Bells propose une offre non subventionnée, le Smart 101, à 3000 roupies, soit environ 39 euros. Proche du Freedom 251, le Smart 101 propose un modem 4G, un écran de 5 pouces (960 x 480 points) et une batterie plus généreuse de 2800 mAh. La société pourrait donc faire une excellente affaire avec le Freedom 251. Ce téléphone subventionné lui permettra de se faire connaître largement sur le territoire indien. Et lorsque ses utilisateurs adopteront l’Internet mobile, le Smart 101, dont le prix reste abordable pour un terminal 4G, sera la suite logique du smartphone à 3,3 euros.Sponsorisé par le gouvernement indien, le Freedom 251 ne sera pas distribué à l’étranger (du moins pas à ce prix). Aujourd’hui, certains smartphones 3G d’entrée de gamme sont accessibles pour un peu moins de 40 euros TTC en France. Des tarifs qui ne devraient pas baisser. Par contre, il faudra s’attendre à voir basculer certains de ces combinés à la 4G, courant 2016-2017.
« Le Grand Bleu » dans sa version longue sans un moment ou l’autre avoir à recharger sa batterie sur la prise secteur. L’objectif de ce partenariat est à terme de proposer des portables capables de fonctionner en autonomie entre huit et douze heures. Mais pour arriver à un tel résultat il faut également travailler sur les composants, grands consommateurs d’énergie. Seulement voilà, en terme de R&D il est plus rentable de chercher à augmenter la capacité de stockage d’une batterie. « Nous espérons que ce développement commun nous permettra de proposer une solution offrant 8 heures d’autonomie totale avec une batterie » a déclaré à Reuters un porte-parole de Matsushita. Le groupe nippon, que l’on connaît principalement sous la marque Panasonic, va apporter à Intel son expertise dans la mise au point de batteries Lithium-Ion. La firme a en effet déjà développé une batterie de PC portables pour le marché japonais qui fournit, selon la méthode de mesure de la « Japan Electronics and Information Technology Industries Association », une autonomie de sept à douze heures. A noter que le groupe a annoncé qu’il proposerait dés le mois d’Avril prochain une batterie Lithium-Ion pouvant stocker jusqu’à 30 % d’énergie en plus. Cette batterie pour l’instant en expérimentation est d’une densité de 600 Watts heure par litre (15 % de plus que les batteries Li-on traditionnelles) et d’ici sa sortie en avril la compagnie compte faire passer cette densité à 620 Watts heure par litre. De son côté, Intel va apporter à Matsushita son savoir-faire en matière d’économie d’énergie Pour l’heure, les deux groupes n’ont pas indiqué quand la fameuse batterie capable de tenir une journée arrivera sur le marché. Alors patience…
Les batteries pour appareils numériques, ordinateurs portables ou téléphones mobiles, sont essentiellement composées d’ingrédients hautement nocifs, en particulier de lithium et de cobalt.NEC annonce une nouvelle technologie de batterie dite ORB ou ‘Organic radical battery‘, qui utilise un composant organique, le PTMA, et qui reprend la structure des batteries lithium-ion. Mais la technologie de NEC irait plus loin encore qu’une simple imitation grâce à des composants plus écologiques. Si la durée de vie d’une recharge serait plus réduite que sur batterie lithium-ion, la puissance d’ORB serait supérieure. Par exemple, quatre petites batteries de ce type ? le prototype mesure 55 x 43 x 4 millimètres (trois cartes de crédit empilées) pour un poids de 20 grammes – dans un ordinateur portable pourraient offrir la puissance nécessaire pour sauvegarder le poste et interrompre la session. Autres avantages intéressants, ORB peut être rechargée très rapidement, 80% de sa capacité en moins d’une minute, important pour les systèmes mobiles. Durant son utilisation et sa décharge, le voltage reste constant. Et sa durée de vie serait plus longue, son taux d’usure est donc moins élevé. NEC n’a pas donné d’indication sur une éventuelle introduction en phase industrielle de sa découverte, dont le développement a été lancé en 2000. Mais cette étape pourrait être franchie rapidement, le processus de fabrication serait très proche de celui des batteries lithium-ion. NEC s’accorde encore deux à trois ans pour évaluer les applications technologiques de ORB et envisager une commercialisation.
Les fabricants d’ordinateurs portables ont bien des soucis avec les batteries. Après Apple il y a quelques semaines, c’est au tour de Fujitsu Siemens d’avertir que certaines d’entre-elles présentent des risques de surchauffe, donc de court-circuit et d’incendie. Quatre incidents (pas de blessures) ont déjà été recensés.Le constructeur annonce qu’il va rappeler pas moins de 250.000 batteries en Europe. Le rappel concerne les batteries des portables AMILO commercialisés depuis le mois d’octobre. On ne connaît pas le fabricant de ces composants. Précisemment, le rappel concerne les portables AMILO A7640, A1640, M1405, M1424, M1425, M7405, M7424, M7425, Pro V2020. Les batteries impactées ont un numéro de série se terminant par G1L1. « L’entreprise recommande que sur certains modèles, les clients utilisent uniquement l’alimentation secteur », est-il précisé dans un communiqué de la société qui précise qu’elle remplacera les batteries gratuitement. Plus de détails sur le programme d’échange: www.fujitsu-siemens.fr/echangebatterie La liste noire des batteries explosives s’allonge donc encore un peu plus. Il faudra bientôt une assurance pour utiliser nos ordinateurs portables! Fin mai, Apple rappelait 128.000 batteries équipant les iBook G4 et les PowerBook G4 vendus entre octobre 2004 et mai 2005. Six incidents ont été recensés. En octobre 2004, Dell a rappelé pas moins 4,4 millions de ses PC portables pour risque de surchauffe du transformateur. En juillet 2004, Dell encore rappelait 8.000 adaptateurs secteur et batterie de voiture Combination Auto/Air Adapters, des accessoires vendus pour les ordinateurs portables Inspirion et Latitude. En septembre 2003, IBM rappelait 553.000 ordinateurs portables afin de remplacer leur alimentation AC 56-watts qui, là aussi, pouvait présenter un défaut avec risque de surchauffe et de feu. Et il ne faut pas oublier les multiples explosions de batteries pirates de téléphones mobile dans le monde…
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