La connectique se compose de deux ports USB 3.0, un USB 2.0, un lecteur de carte SD, un port HDMI, un VGA et un graveur de DVD. La connectivité sans fil est assurée par le Wi-Fi et le Bluetooth.Sennheiser s'est associé avec Apogee, connu pour ses interfaces audionumériques compactes, afin de créer le HandMic. Ce micro numérique a été pensé avant tout pour les enregistrements mobiles et pour se connecter facilement sur PC portable via USB ou smartphones/tablettes iOS via Lightning.Ce microphone, protégé par un châssis tout en métal et fabriqué en Allemagne, est taillé pour les enregistrements à l'extérieur. Il offrirait une bonne atténuation du souffle du vent ainsi que des bruits de contact. Il serait protégé contre les ondes électromagnétiques pour éviter les perturbations liées aux appareils à proximité, comme les smartphones par exemple. De ce fait, il se veut comme une excellente solution d'enregistrement pour les journalistes en déplacement, pour les interviews comme pour les podcasts. Il peut également être utilisé pour de l'enregistrement musical (préproduction ou enregistrement à la maison par exemple). Un pied pour table ainsi que deux câbles USB (Lightning et USB) de 2 mètres sont fournis. Le HandMic est compatible avec les ordinateurs Mac et Windows et les smartphones/tablettes sous iOS uniquement.
Les consommateurs, les semi-professionnels et même les professionnels se servent de plus en plus de leurs terminaux mobiles pour leurs enregistrements vocaux. Mais la qualité des micros de ces appareils laisse souvent à désirer. Avec le HandMic numérique, mis au point avec notre partenaire Apogee Electronics, les utilisateurs vont pouvoir profiter de tous les avantages d'un micro-main dynamique Sennheiser, simple d'utilisation et offrant des résultats professionnels. ACHIM GLEISSNER, Directeur commercial en charge des solutions broadcast et média de Sennheiser
Le Sennheiser HandMic s'accompagne de deux applications : MetaRecorder et Maestro. La première assure un enregistrement dans la meilleure qualité possible et capture également les métadonnées nécessaires pour une future édition. Les fichiers peuvent ensuite être envoyés via Dropbox, Email ou intégrés dans iTunes. La seconde application permet de contrôler les réglages du microphone. Grâce à la coopération de Sennheiser et d'Apogee, le HandMic dispose d'un préamplificateur intégré Apogee PureDigital et d'un convertisseur A/D. Les seules informations techniques sonores dévoilées pour le moment indiquent que le micro est cardioïde et dispose de deux niveaux de pression sonores.
Il faut bien reconnaître à Acer une belle capacité à se remettre en question sur le marché du PC portable, puisque le constructeur met de plus en plus en avant ses produits haut de gamme, qu'il essaie cependant de vendre toujours un peu moins cher que la concurrence.
Ainsi, si le Aspire S 13 s'affiche à partir de 799 €, il n'en propose pas moins une fiche technique digne d'une machine à 1000 €. Ce nouvel ultraportable propose en effet une dalle IPS au format 13 pouces en Full HD (1920 x 1080 px) et équipé d'une surface tactile en option. Côté processeur, nous avons droit à un Intel Core i3, i5 ou Core i7 de sixième génération (Skylake), qui s'accompagne de 8 Go de RAM en LPDDR3 au maximum. Côté stockage, on pourra monter jusqu'à 512 Go de SSD. Acer précise à ce sujet que la version de la machine avec la plus grande capacité sera vendue à moins de 1000 €.
Le Aspire S 13 tente également de se démarquer par son châssis, qui semble très travaillé. Les dimensions sont assez réduites (327 x 228 x 14,58 mm), tandis que le poids ne dépasse pas 1,43 kg. Les matériaux employés mélangent le brillant (sur la charnière) et le mat (les bordures autour de l'écran), pour un toucher assez doux. La connectique est quant à elle très complète, puisque l'on profite d'un port USB Type-C, deux ports USB 3, ainsi qu'un port HDMI. La connectivité est assurée par du WiFi 802 11b/g/n. Enfin, l'autonomie annoncée est de 9 heures, avec toutefois la possibilité d'opter pour une batterie plus endurante, de 54 Wh, qui offrirait jusqu'à 13 heures d'utilisation.
Bref, l'Aspire S 13 semble réunir tous les critères qui font un bon ultraportable. Bien entendu, il reste à juger de qualité de l'écran et la solidité de la machine sur la durée. Elle se positionne en tout cas d'ores et déjà comme un concurrent sérieux des MacBook Air d'Apple ou des ZenBook d'Asus. Espérons que l'essai soit transformé en mai, mois de sortie du produit. Pour rappel, l'Aspire S 13 sera disponible à partir de 799 €.
Les hybrides tablettes/laptop sous Windows 10 sont nombreux cette année au MWC 2016 : Huawei est venu avec son MateBook, Samsung présente à nouveau le Galaxy Tab Pro S, tandis que Lenovo lance un Ideapad. Alcatel, surtout connu pour ses smartphones, s'y met également et s'est rendu à Barcelone avec le Plus 10. Ou devrait-on plutôt dire "la Plus 10" ?
Par son format de 10,1 pouces et son clavier magnétique qui sert de protection, le produit rappelle en effet le design de la Pixel C de Google... À un prix moins élevé. Le produit sera en effet proposé à 349 € dès le mois de juin en Europe, et propose une fiche technique en conséquence.
Ce deux-en un sous Windows 10 s'équipe en effet un SoC Intel Atom x5-Z8350, doté de 4 cœurs et basé sur la plateforme Cherry Trail, 2 Go de mémoire vive, et 32 Go de stockage. Une faible capacité qu'il est possible d'étendre via un port microSD, qui n'accepte malheureusement que ces cartes de 64 Go au maximum. L'écran IPS de 10,1 pouces affiche quant à lui 1280 x 800 pixels. Petite originalité : la présence d'une compatibilité 4G catégorie 4, via un module situé directement dans le clavier. La machine pourra alors servir de point d'accès pour 15 autres appareils au maximum.
Le clavier accueille également une rainure au-dessus des touches, qui permet d'accrocher magnétiquement l'écran. Ce dernier peut alors basculer en avant, pour un effet assez semblable à la Pixel C. On regrette cependant qu'il n'y ait qu'un unique niveau d'inclinaison une fois la dalle redressée. Également, le format 10 pouces implique nécessairement un clavier au format très réduit, ce qui a pour conséquence une frappe assez peu précise et un touchpad de petite taille.
Côté autonomie, Alcatel a eu la bonne idée d'ajouter une batterie de 2580 mAh dans le clavier, qui complète celle de 5380 mAh située dans l'écran. La compagnie annonce ainsi 8 heures d'utilisation. Comme beaucoup de tablettes de ce style présentées depuis quelques mois, la connectique est relativement chiche, mais l'on peut compter sur un port USB Type-C et une sortie micro HDMI.
Les quelques minutes passées en compagnie du produit n'ont pas été désagréables : la construction est certes tout en plastique, mais le niveau de finition est bon, tandis que la dalle IPS semble afficher une luminosité correcte et de bons angles de vision.
Nous avons en revanche constaté beaucoup de reflets. De par sa petite taille, cet hybride sous Windows 10 risque cependant d'être difficilement utilisable en tant que laptop principal et l'on aura sans doute davantage intérêt à s'en servir en mode tablette. La présence d'un clavier reste bienvenue et pourra permettre quelques menus travaux bureautiques en déplacement.
Les premières cartes graphiques AMD Polaris ne devraient plus tarder à être dévoilées. Une feuille de route récemment dévoilée montre qu'il sera question de deux séries, nommées pour l'instant Polaris 10 et Polaris 11. La société a par ailleurs profité de la publication de ses résultats pour donner quelques détails quant au positionnement de ces deux séries. La série Polaris 11 se destinerait avant tout aux ordinateurs portables de milieu de gamme tandis que la série Polaris 10 viserait les ordinateurs portables gamers haut de gamme ainsi que les cartes graphiques de bureau de milieu de gamme. Cela rejoint les suppositions que nous établissions le mois dernier lors du compte rendu de la conférence Capsaicin d'AMD.
Il n'est donc toujours pas question d'un gros GPU, mais plutôt de puces visant avant tout à redorer le blason d'AMD en matière d'efficacité énergétique. La communication de la société devrait d'ailleurs mettre l'accent sur ce point précis. Pour rappel, AMD parlait le mois dernier d'un gain pouvant atteindre un facteur 2,5. Dans le document présenté aujourd'hui, ce gain d'efficacité énergétique est annoncé à un facteur de 2,0. Le gros GPU devrait vraisemblablement se cacher dans la série Vega, attendue début 2017 et dont l'un des principaux attraits sera le support de la mémoire HBM2.
Avec la Solo 5, Bose met l'accent sur la clarté et l'intelligibilité d'un côté, et sur la compacité, la polyvalence et la facilité d'utilisation d'un autre. Voyons si performances sonores et ergonomie sont à la hauteur des promesses du géant américain.
Pour commencer, côté compacité, c'est gagné. À côté d'un grand écran, la Solo 5 ferait presque office d'enceinte portable que l'on aurait étirée en longueur. Elle mesure précisément 54,8 cm sur 7 cm de haut et pèse un peu plus de 6 kg. Côté design, la Solo 5 est un peu le Johnny Cash des barres de son. Sa sobriété alliée à sa compacité et sa légèreté lui confère une excellente capacité d'intégration : elle peut se poser sur un meuble TV, mais aussi sur une étagère ou bien même se fixer au mur.
Côté connectique, si l'on est invariablement déçu par l'absence de port HDMI, il y a tout de même une entrée optique, une analogique en mini-jack, une coaxiale et une connexion Bluetooth. Tous les câbles sauf l'analogique sont fournis, ainsi que les piles pour la télécommande. Parlons-en d'ailleurs de cette télécommande, dont la taille est inversement proportionnelle à celle de la barre qu'elle pilote.
La Solo 5 est extrêmement simple à mettre en route : il suffit d'appuyer sur le bouton classique de mise sous tension et c'est parti. Elle reconnaît même automatiquement la source active — si d'aventures tel n'était pas le cas, il y a bien sûr les boutons assignés à chaque source sur la télécommande : TV, Bluetooth et Aux. Deux leds sur le côté gauche de la barre de son se chargent de confirmer votre choix. Outre le niveau sonore et la coupure du son, on a droit à un réglage du niveau des basses (via des signaux lumineux un tantinet cryptiques) et à un bouton avec une bulle de BD dessus, traduisez "dialogues".
Ce test débutait sur la ressemblance visuelle entre la Solo 5 et une enceinte nomade, il continue sur la même lancée, versant performances sonores.En visionnant V pour Vendetta, on observe deux apports non négligeables de la mini-barre de son Bose par rapport aux haut-parleurs d'un TV. Tout d'abord, la spatialisation apportée est indéniable : le champ stéréophonique excède délicieusement la largeur de l'enceinte et la profondeur de mixage, particulièrement importante au cinéma, est assez bien retranscrite. Ensuite, l'assise dans le bas du spectre est plus assurée et les voix effectivement particulièrement intelligibles.
Très logiquement, la Solo 5 est limitée par sa taille et ne peut délivrer un niveau maximal mirobolant. Vous pourrez ainsi sonoriser une pièce petite à moyenne, mais elle peinera à couvrir un grand salon. Nous avons d'ailleurs estimé la distance idéale d'écoute de 1,5 à 2,5 m au maximum. Toujours de par sa taille, il ne faut pas s'attendre à des performances exceptionnelles du côté des basses : oui, la Solo 5 offrira des bas-médiums un peu plus riches à votre TV que ceux dont il bénéficie par ses propres moyens ; non, elle ne fera pas trembler votre canapé. Elle échoue d'ailleurs complètement au test du sweep grave qui se trouve dans l'intro d'Unfinished Sympathy de Massive Attack.
En parlant de volume, on remarque rapidement que la distorsion est loin d'être absente du spectre, particulièrement dans les extrêmes — les basses et les aigus en souffrent dès 50 % du niveau maximal. La précision n'est pas non plus exemplaire : si les membranes suffisent pour un film (sans piste son à la Hans Zimmer ou John Williams), elles se retrouvent vite dépassées dès que le contenu fréquentiel est trop riche. Un compresseur (extra-sensible) se met d'ailleurs en route pour les protéger, dont l'action est tout sauf subtile : attention aux effets de pompage à trop fort niveau ! Ce manque de précision, un process sur la phase assez important (pour la spatialisation) et la distorsion non négligeable rendent les aigus souvent acides, chimiques, manquant de douceur.
L'EQ fonctionne assez bien, augmentant les basses de manière efficace... et la distorsion avec. Le bouton "dialogues", quant à lui, met un petit coup de boost sur les hauts médiums et les met certes encore plus sur le devant de la scène, mais les rend légèrement nasillards. Rassurez-vous, les voix sont parfaitement compréhensibles par défaut, on n'a donc que très rarement recours à cette option. Pour terminer, la réponse impulsionnelle en Bluetooth montre une latence d'environ 215 millisecondes, un décalage acceptable image/son.