Pas d’appli pour les ordinateurs portables, mais une bonne surprise : il suffit de se connecter au réseau Wi-Fi et le contenu du disque et de la carte SD s’affichent directement dans l’explorateur de fichiers de Windows, en allant voir dans les périphériques réseau.Et pour changer les paramètres de l’appareil, par exemple le mot de passe Wi-Fi, il suffit de lancer son navigateur Internet et d’aller sur le site pour aboutir à une interface d’administration très bien conçue et qui rappelle celle du NAS My Cloud EX2 Ultra de WD.Ce disque portable Wi-Fi WD My Passport Wireless Pro 2 To est un très bon périphérique de stockage. D'abord pour les photographes qui désirent libérer de la place sur leurs cartes SD. Mais aussi pour les gros consommateurs de fichiers multimédias. Il n’est cependant pas parfait car il se révèle un peu lourd, ne lit pas les cartes SD lorsqu'il est branché en USB et montre des limites pour la lecture de vidéos sous iOS. Voilà qui lui coûte sa cinquième étoile.
Les batteries concernées sont d’origine Panasonic et présentes dans des ordinateurs portables Vaio vendus entre février 2013 et octobre 2013, lorsque la célèbre marque appartenait encore à Sony. Elles y sont présentes d’origine ou suite à un remplacement par le service après-vente du constructeur dans le cadre d’une réparation.Des chercheurs de l'EPFL ont fabriqué un dispositif en graphène modulable qui pourrait rendre les systèmes de communication sans fil bien plus rapides et efficaces. Leur système peut fonctionner à de très hautes fréquences, et avec des performances jamais atteintes.
Téléphoner en utilisant un système de communication 4G ou 5G, brancher son GPS, ou encore connecter son ordinateur via Bluetooth à un capteur portable... autant de formes de communication sans fil qui utilisent des bandes de fréquences différentes. Pour être multitâches, les objets connectés doivent pouvoir fonctionner sur toute une gamme de fréquences, sans pour autant s'encombrer de dispositifs volumineux.Actuellement, la plupart des systèmes portables et sans fil sont dotés de circuits capables de se reconfigurer, et de moduler l'antenne pour transmettre et recevoir des données dans les différentes bandes de fréquence. Seul problème: ces technologies en silicium ou en métal ne sont pas bien adaptées aux hautes fréquences, là où l'information pourrait circuler de manière bien plus rapide.
La fonction n'est pour l'instant déployée que sur la branche test du navigateur, disponible au téléchargement via le site de l'éditeur. Elle se matérialise par un symbole en forme de batterie intégré au niveau de la barre d'adresses. L'utilisateur peut déclencher ce mode économie d'énergie manuellement ou choisir son activation automatique dès que la batterie de son portable descend sous les 20%.
Si les tests à grande échelle confirment l'efficacité de ces mesures, Opera les portera vraisemblablement sur la déclinaison tout public de son navigateur, qui s'est récemment enrichie d'un module de lecture déportée des vidéos ainsi que d'un bloqueur de publicités, dont l'activation est d'ailleurs proposée en mode économie d'énergie. L'éditeur travaille par ailleurs à l'intégration d'un service de VPN gratuit et illimité à Opera.
Car comme tout programme, logiciel ou application, un navigateur Internet mobilise de la mémoire vive mais consomme aussi de l’énergie, ce qui n’est pas sans impact sur l’autonomie de la batterie des ordinateurs portables…
Le choix d’un (bon) navigateur Internet est donc très important quand on travaille en mobilité. Et dans ce domaine, le navigateur Internet Opera vient de marquer un point.Dans sa dernière version “développeur” disponible depuis le 12 mai 2016, Opera intègre une nouvelle fonctionnalité permettant, selon les tests effectués par l’éditeur norvégien, d’économiser jusqu’à 50% d’énergie en comparaison avec d’autres navigateurs tels que Chrome de Google (qui vient juste de passer devant Internet Explorer en terme de parts de marché au niveau mondial).C’est la troisième innovation majeure présentée en quelques semaines par les ingénieurs d’Opera après l’intégration d’un bloqueur de publicités et celle d’un client VPN.
François Duchateau, président directeur Général de SLAT, une entreprise française spécialisée dans l’alimentation électrique continue de sécurité des bâtiments et des infrastructures, revient sur les inquiétudes liées à la sécurité des batteries au lithium et compare les différentes technologies de batteries lithium, leurs avantages et défauts respectifs.Le basculement de la technologie des batteries vers le lithium est né d’une directive européenne destinée à protéger ses citoyens des effets nocifs des métaux lourds sur la santé. Ainsi le cadmium qui était très largement diffusé au début des années 2000 - les fameuses batteries CadNi (ou NiCad en anglais) - s’est retrouvé banni des applications grand public.
Développées à partir des années 90, les batteries à base de lithium se sont rapidement démocratisées, et se sont quasi totalement substituées aux batteries CadNi, avec des avantages écologiques certains par rapport aux batteries au plomb ou au cadmium.Pourtant, récemment et en dépit de sa large diffusion, le lithium a été classé parmi les marchandises dangereuses. Des mesures surprenantes et potentiellement anxiogènes ont été prises par l'Association internationale du transport aérien (IATA), qui régule le transport aérien, pour interdire aux passagers de mettre leurs appareils électroniques avec batterie dans les bagages en soute.
Pour le moment, aucune date de commercialisation effective n'a été communiquée. Quant à une potentielle arrivée sur les côtes européennes, on se permet d'en douter, puisqu'on attend encore les 6 autres mobiles annoncés par le constructeur.
Martín Bustos, est un designer industriel qui a fait sa thèse sur les Energies Renouvelables non conventionnelles (ERNC).En grimpant et en se rendant compte de la chaleur de son descendeur lors d'un rappel, il s'est dit que la friction au lieu d'être transformée en chaleur... pouvait être transformée en éléctricité.
C'est ainsi qu'il à inventer un appareil qui se place au dessus du descendeur et qui permet de stocker l'énergie de la friction dans une petite batterie, batterie qui peut ensuite servir a recharger tout type d'appareil, dont les téléphones portables ou les lampes frontales.
D’après les résultats d’une nouvelle enquête réalisée par le cabinet J.D Power, l’Apple Watch serait la plus appréciée des montres connectées.
Selon une étude réalisée par le cabinet J.D Power, qui a examiné les niveaux de satisfaction de clients ayant acheté une smartwatch au cours des douze derniers mois, l’Apple Watch serait la plus appréciée des montres connectées.L’étude a été menée sur 2.949 clients et J.D Power a demandé aux propriétaires de smartwatch de classer les choses suivantes par ordre d’importance: la facilité d’utilisation, le confort, l’autonomie de la batterie, les fonctions téléphoniques, le prix, la taille de l’écran, le design, la fiabilité, les applications disponibles, et le service client.
Un score sur 1000 a ensuite été donné et c’est Apple qui est arrivé en tête avec sa smartwatch avec un respectable 852. L’Apple Watch a été particulièrement salué pour son confort, son design et sa facilité d’utilisation. Samsung est arrivé deuxième avec un score 842 et s’est distingué par son service client, la taille de l’écran et les fonctions téléphoniques de son appareil.La satisfaction globale des smartwatch est étonnamment élevée, avec un score de 847, ce qui suggère que la plupart des acheteurs sont généralement satisfaits des modèles actuels. L’autonomie et les difficultés liées à la personnalisation sont les choses les plus reprochées aux appareils.
Une enquête similaire a été effectuée au cours de la même période pour les bracelets, avec cette fois-ci 2.949 participants. Samsung est arrivé en tête avec un score de 859, et Garmin se place en seconde position avec 836 points. Chez Samsung, le confort, la fiabilité et la facilité d’utilisation ont été les points les plus positifs.La satisfaction globale des clients a été à nouveau élevée, avec une moyenne de 829 points. 47% des personnes interrogées disent que la facilité d’utilisation était la principale raison de l’achat d’un tracker, bien au dessus du prix et de la réputation de la marque ainsi que des avis d’utilisateurs.
Ce qui est très intéressant au sujet de ces deux études est qu’il n’y a aucune mention de Fitbit, sans doute la marque la plus importante lorsqu’on parle de technologie portable. La société a dû faire face à quelques très gros problèmes avec sa gamme de trackers, comme par exemple des irritations de la peau.Il est également surprenant de voir Samsung figurer sur le podium du côté des bracelets étant donné que son Gear Fit 2 vient seulement d’être lancé, ce qui suggère que les gens ont effectivement été très satisfaits du Gear Fit original.SCIENCE - C'est paradoxal. Plus nous nous entourons d'objets connectés et portables, plus nous sommes envahis par les fils. Car bien que ces gadgets soient connectés en Wi-Fi, 4G ou Bluetooth, il faut toujours les recharger. Et cela ne devrait pas s'inverser, car les experts nous prédisent une pluie de "wearables", bracelets, montres ou encore jeans connectés dans les années à venir.
Les scientifiques travaillent donc à nous libérer de tous ces chargeurs. Des chercheurs de l'université de Pékin ont justement trouvé un moyen de produire de l'énergie grâce aux mouvements du corps. Car si les montres se remontent automatiquement grâce au mouvement de balancier, tout cela reste très mécanique et ne peut pas alimenter un objet connecté.Dans une étude publiée vendredi 17 juin dans la revue Science, ils expliquent avoir réussi cela en utilisant des générateurs "triboélectriques". La triboélectricité, c'est tout simplement l'électricité statique qui s'accumule quand vous frottez votre pull à une chaise en plastique, par exemple. Ici, les chercheurs ont réussi à utiliser cette énergie et à la canaliser et à allumer des leds avec.
"L'avantage, c'est que c'est un système simple et pas cher, qui utilise de l'eau dans du caoutchouc", explique au HuffPost Pascal Vincent, maître de conférences à l'Institut lumière matière de l'université Lyon 1. Un avantage de taille, car les autres systèmes essayant de capter l'énergie des mouvements de notre corps sont souvent complexes.Si allumer des lumières peut servir, le véritable but est bien sûr d'alimenter les batteries de nos objets connectés. Mais pour cela, il va falloir encore travailler sur le sujet, car la puissance captée est très modeste. "En une minute, avec l'objet au poignet, la puissance accumulée est de 3*10^-4 joules", précise Pascal Vincent, qui a fait le calcul. Traduction: c'est au moins 1000 fois moins puissant qu'un chargeur classique de téléphone.