Ce n’est un secret pour personne, le Surface Book de Microsoft connaît depuis son annonce un franc succès. A un tel point que l’ordinateur portable de Microsoft serait aujourd’hui en rupture de stock. Panos Panay, Corporate Vice-President chez Microsoft, confirme les excellents premiers résultats de la machine.D’après Panos Panay, Corporate Vice-President chez Microsoft, l’accueil réservé par le grand public au Surface Book aurait dépassé toutes les attentes du groupe informatique. Dans une interview avec le magazine Wired, Panos Panay explique que les précommandes enregistrées pour le Surface Book sont gigantesques. Selon lui, Microsoft a voulu réinventer l’ordinateur portable et l’a fait avec brio avec une machine hybride qui n’a rien à envier au MacBook Pro. Il explique par ailleurs comment Microsoft en est venu à créer un ordinateur portable. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, l’idée ne date pas d’il y a plusieurs années. C’est en effet l’intérêt suscité par la Surface Pro 3 et la demande du grand public qui auraient grandement poussé Microsoft à investir dans ce projet…
Dans un autre registre, Panos Panay revient sur le fiasco de la Surface RT et de la Surface Mini, qui n’est jamais sortie des entrepôts de Microsoft. Il décrit la petite tablette comme un produit de rêve qui n’a malheureusement jamais eu la chance d’être commercialisé…Pour les personnes intéressées, l’article de Wired permet d’en apprendre davantage sur le background de la marque Surface et la manière dont sont conçues ces machines.La finesse de l’appareil provient notamment de sa charnière, directement inspirée de l’horlogerie, composée de plus de 800 pièces imbriquées. Ses quatre modes (portable, chevalet, tente et tablette) permettent à l’ordinateur de se plier à toutes les envies des utilisateurs selon qu’ils souhaitent travailler, communiquer, regarder des vidéos ou bien encore jouer.La fonctionnalité Continuum de Windows 10 permet quant à elle de basculer naturellement d’un mode ordinateur portable à un mode tablette. Le constructeur promet jusqu’à 9h d’autonomie en lecture de vidéos locales.
Ce portable est équipé d’un processeur Intel Core i7 de 6e génération, d’un écran de 13,3 pouces en QHD+ (3.200×1.800 pixels) et propose jusqu’à 8Go de RAM. Il se place ainsi d’emblée comme un sérieux concurrent au Surface Book de Microsoft, qui doit être commercialisé fin octobre aux États-Unis mais pas attendu en France avant 2016.Huawei vient de déposer la marque “Matebook” auprès d’un organisme de certification. Sans surprise, les médias s’interrogent sur les ambitions du groupe chinois, qui pourrait s’attaquer au marché des ordinateurs portables après être parvenu à conquérir la troisième place du podium sur le segment des mobiles.
Après avoir conquis le marché du mobile, mis un pied sur le marché des wearables et pris la température sur le segment des tablettes, Huawei pourrait poursuivre sa formidable ascension en commercialisant dès 2016 son premier ordinateur portable.Le groupe chinois qui n’a cessé de lancer de nouvelles catégories de produits au cours des deux dernières années viendrait de déposer la marque “Matebook” auprès d’un organisme de certification. Un indice qui laisse penser que la marque préparerait son arrivé sur le segment des ordinateurs portables… Le terme “book” est en effet souvent associé aux ordinateurs portables. Microsoft l’utilise pour son Surface Book et Apple pour son MacBook. Néanmoins, le fait que la marque “Mate” soit mise en avant a de quoi surprendre dans la mesure où le Mate est le smartphone à écran extra-large de Huawei et qu’associer cette marque à un ordinateur n’aurait que peu de sens. Dès lors on s’interroge sur la nature exacte de ce produit, qui pourrait également consister en un nouveau type d’ordinateur hybride, à mi-chemin entre la tablette convertible et la phablette. Le verdict final ne devrait en théorie pas trop tarder…
Malgré son prix, le nouveau Surface Book de Microsoft semble déjà connaître un franc succès. Sur Internet, l’ordinateur portable de Microsoft est en rupture complète de stock.Avec un prix d’entrée de 1.499$, le Surface Book n’est pas forcément une machine qui s’adresse à tous les publics. Pourtant, Microsoft semble être parvenu à vendre tous les exemplaires qui seront de stock pour le lancement du produit sur son site Internet, qui affiche une rupture complète des stocks. Plus impressionnant, le modèle haut de gamme, facturé à près de 2500$, était le premier à être en rupture de stock sur le site de Microsoft.Bien sûr, il est difficile de dire ce que cela représente. Contrairement à la Surface Pro, le Surface Book reste un produit de niche, et Microsoft n’en a probablement pas fabriqué des millions d’exemplaires. Néanmoins, le fait que tous les exemplaires soient vendus avant le lancement officiel du produit est plutôt bon signe pour la firme de Redmond, qui est parvenue à créer le buzz autour d’un produit qui, à défaut d’être révolutionnaire, s’impose comme la meilleure alternative au MacBook Pro.
Afin de vérifier la qualité de l’offre Easy Internet @Home, l’opérateur nous a fourni un exemplaire du routeur Huawei B310. Hormis des limitations étonnantes, le produit remplit sa mission.Mobistar lance cet automne un point d’accès Wi-Fi qui se connecte à la 4G et, première surprise, uniquement à la 4G. Certes, le dispositif livré (à 29 ou 129 euros selon la durée du contrat) dans le cadre de l’abonnement de 15 euros par mois pour 15 Go est capable d’indiquer sur quel type de réseau il dialogue avec l’infrastructure mobile mais il ne livrera des données qu’alors qu’il capte les ondes LTE. Les dernières évolutions de la 3G permettent tout de même une connexion valable mais certainement pas suffisante pour une utilisation domestique.
Second point sombre: le boîtier ne prend pas en charge la 4G+ ni le Wi-Fi de dernière génération. Mais, de toutes façons, cet intermédiaire n’autorise qu’un débit de téléchargement de 25 mbps. Au-delà du quota, il descendra même à 256 kbps. L’opérateur suggérera l’achat d’une légère rallonge par SMS. L’interface de gestion de l’appareil permet ces échanges de message.Pour être tout à fait honnête, une exploitation bureautique, avec trois dispositifs liés – un smartphone, une tablette et un portable – est tout à fait confortable, sans ralentissement sensible. La lecture d’une vidéo en streaming n’a posé aucun souci alors que des mises à jour étaient en cours sur les plateformes mobiles connectées. Pourtant, les quelques speedtests réalisés dévoilent des taux d’échange entre 7 et 10 mbps descendants et approximativement le double en envoi. Il est donc effectivement illusoire d’y brancher une Chromecast ou un ordinateur de joueur assidu mais les performances du réseau admettent des tâches relativement exigeantes et simultanées sur plusieurs objets.
Lors de l’installation du modem, nous avons été confrontés au choix de monter les deux antennes. Sur les hauteurs de Liège, la couverture 4G étant parfois parcellaire, les tiges ont donc été fixées et, ô bonheur, la qualité de connexion a été de suite nettement plus confortable que celle constatée sur les téléphones présents. Durant les premières minutes d’utilisation, le lien a semblé hésitant, passant d’une absence totale de connexion à un lien proche de la perfection. Mais les heures passant, les choses se sont sérieusement stabilisées.
Cependant, cet aspect peu décidé, témoigné par quelques danses colorées de LEDs, nous a fait craindre une limitation géographique. C’est bien le cas. Trois adresses physiques mensuelles sont autorisées. Mobistar s’autorise à mettre un terme à l’abonnement si trop de mouvements sont constatés. A la décharge de l’entreprise, la communication sur ce produit est très claire: il ne s’agit pas d’un Mi-Fi mais bien d’un modem domestique 4G. L’appareil, même s’il bénéficie d’une alimentation électrique adéquate, ne doit pas équiper un véhicule ou voyager sans arrêt.
La configuration de l’objet est on ne peut plus simple: le mot de passe d’accès est affiché dans le socle du boîtier et l’interface d’administration, simplifiée mais très complète, autorise de nombreux changements. On regrettera l’absence de synchronisation avec les données de facturation de Mobistar directement dans les menus du routeur. Globalement, le public visé s’y retrouvera très aisément. D’autant plus qu’un bouton de configuration rapide WPS et un autre d’allumage et d’extinction sont présents.Malgré quelques petites remarques et un quota relativement faible qui confinera ce modem à des connexions d’appoint, éventuellement dans une seconde résidence ou en cas de panne du réseau fixe, le produit remplit intégralement sa mission. Dans notre cas, l’exploitation exclusive de Easy Internet @Home lors des sessions de travail et en soirée a été parfaitement transparente puisque rapidement oubliée.
Toutefois, il reste important de souligner qu’en à peine trois heures d’utilisation légère, pas moins de 400 Mo ont été échangés. Les smartphones, quel que soit le système d’exploitation installé, ont cette fâcheuse tendance d’enclencher des synchronisations, parfois lourdes, ainsi que des mises à jour lorsqu’ils aperçoivent un point d’accès Wi-Fi. Quelques instants sur YouTube peuvent, par exemple, être préjudiciables. Le lancement automatique de lecture vidéo sur le plus grand réseau social reste également à surveiller.Enfin, au moment de conclure cet test et d’appuyer sur le bouton de publication, le modem a subitement perdu la trace du réseau 4G. La diode n’affichant plus le cyan rassurant mais un bleu plus prononcé, ce qui signifie que seule une connexion 3G a été établie, il devient impossible d’échanger la moindre donnée. Une coïncidence malheureuse mais qui traduit également l’incertitude de disposer d’une couverture 4G suffisante chez soi et la frustration que pourrait provoquer l’absence d’option de secours sur d’autres fréquences.