Si les montres connectées ont la cote en ce moment, le grand public est encore très frileux vis-à-vis de ces gadgets qui ont tendance à très vite se démoder et qui coûtent surtout une véritable fortune. Il suffit de jeter un coup d’oeil au prix des dernières montres connectées pour se rendre compte que celles-ci ne s’adressent pas forcément à tous les publics. L’Apple Watch est par exemple vendue à partir de 399€, la Watch de Huawei démarre à 399€ et la nouvelle Gear S2 de Samsung est facturée près de 350€. C’est à peu de choses près la moitié du budget d’un smartphone “haut de gamme”.Or, selon une étude de Juniper Research menée auprès de 22 373 adultes américains, seulement 1 personne sur 5 serait prête à mettre plus de 160 euros dans une montre connectée. Selon Juniper Research, la majorité des personnes interrogées émettraient des doutes quant à l’utilité d’un tel accessoire, qui se veut avant tout le prolongement d’un smartphone. Pour augmenter les prix, les constructeurs doivent donc miser sur des fonctionnalités uniques qui justifieront l’investissement du consommateur.
Beaucoup plus surprenant, seulement 4% des personnes interrogées évoquent la question de l’autonomie, qui serait un frein à l’achat pour certains modèles. L’Apple Watch par exemple tient environ une journée avec une seule charge, contre près d’une semaine pour la dernière montre de Pebble…“Non seulement leur plage d’utilisation est mieux définie, mais les outils connectés dédiés au fitness offrent également un meilleur rapport qualité-prix. Ce sont les dispositifs portables les moins chers du marché. Et il n’y a que dans cette catégorie que les prix ne dépassent qu’exceptionnellement la barrière symbolique des 175$, que notre enquête a permis d’identifier comme le prix plafond pour la plupart des consommateurs”, explique James Moar, analyste chez Juniper Research.
Toujours selon Juniper Research, 51% des Américains ne comprennent pas l’intérêt de disposer d’une montre connectée. 27% d’entre eux reconnaissent néanmoins qu’ils pourraient changer d’avis en cas de baisse de prix.Ce n’est un secret pour personne, le Surface Book de Microsoft connaît depuis son annonce un franc succès. A un tel point que l’ordinateur portable de Microsoft serait aujourd’hui en rupture de stock. Panos Panay, Corporate Vice-President chez Microsoft, confirme les excellents premiers résultats de la machine.
D’après Panos Panay, Corporate Vice-President chez Microsoft, l’accueil réservé par le grand public au Surface Book aurait dépassé toutes les attentes du groupe informatique. Dans une interview avec le magazine Wired, Panos Panay explique que les précommandes enregistrées pour le Surface Book sont gigantesques. Selon lui, Microsoft a voulu réinventer l’ordinateur portable et l’a fait avec brio avec une machine hybride qui n’a rien à envier au MacBook Pro. Il explique par ailleurs comment Microsoft en est venu à créer un ordinateur portable. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, l’idée ne date pas d’il y a plusieurs années. C’est en effet l’intérêt suscité par la Surface Pro 3 et la demande du grand public qui auraient grandement poussé Microsoft à investir dans ce projet…
Dans un autre registre, Panos Panay revient sur le fiasco de la Surface RT et de la Surface Mini, qui n’est jamais sortie des entrepôts de Microsoft. Il décrit la petite tablette comme un produit de rêve qui n’a malheureusement jamais eu la chance d’être commercialisé…Pour les personnes intéressées, l’article de Wired permet d’en apprendre davantage sur le background de la marque Surface et la manière dont sont conçues ces machines.La finesse de l’appareil provient notamment de sa charnière, directement inspirée de l’horlogerie, composée de plus de 800 pièces imbriquées. Ses quatre modes (portable, chevalet, tente et tablette) permettent à l’ordinateur de se plier à toutes les envies des utilisateurs selon qu’ils souhaitent travailler, communiquer, regarder des vidéos ou bien encore jouer.La fonctionnalité Continuum de Windows 10 permet quant à elle de basculer naturellement d’un mode ordinateur portable à un mode tablette. Le constructeur promet jusqu’à 9h d’autonomie en lecture de vidéos locales.
Ce portable est équipé d’un processeur Intel Core i7 de 6e génération, d’un écran de 13,3 pouces en QHD+ (3.200×1.800 pixels) et propose jusqu’à 8Go de RAM. Il se place ainsi d’emblée comme un sérieux concurrent au Surface Book de Microsoft, qui doit être commercialisé fin octobre aux États-Unis mais pas attendu en France avant 2016.Le Lenovo Yoga 900 sera disponible en Belgique à la mi-novembre 2015 à partir de 1.399 euros.Huawei vient de déposer la marque “Matebook” auprès d’un organisme de certification. Sans surprise, les médias s’interrogent sur les ambitions du groupe chinois, qui pourrait s’attaquer au marché des ordinateurs portables après être parvenu à conquérir la troisième place du podium sur le segment des mobiles.
Après avoir conquis le marché du mobile, mis un pied sur le marché des wearables et pris la température sur le segment des tablettes, Huawei pourrait poursuivre sa formidable ascension en commercialisant dès 2016 son premier ordinateur portable.Le groupe chinois qui n’a cessé de lancer de nouvelles catégories de produits au cours des deux dernières années viendrait de déposer la marque “Matebook” auprès d’un organisme de certification. Un indice qui laisse penser que la marque préparerait son arrivé sur le segment des ordinateurs portables… Le terme “book” est en effet souvent associé aux ordinateurs portables. Microsoft l’utilise pour son Surface Book et Apple pour son MacBook. Néanmoins, le fait que la marque “Mate” soit mise en avant a de quoi surprendre dans la mesure où le Mate est le smartphone à écran extra-large de Huawei et qu’associer cette marque à un ordinateur n’aurait que peu de sens. Dès lors on s’interroge sur la nature exacte de ce produit, qui pourrait également consister en un nouveau type d’ordinateur hybride, à mi-chemin entre la tablette convertible et la phablette. Le verdict final ne devrait en théorie pas trop tarder…
Malgré son prix, le nouveau Surface Book de Microsoft semble déjà connaître un franc succès. Sur Internet, l’ordinateur portable de Microsoft est en rupture complète de stock.Avec un prix d’entrée de 1.499$, le Surface Book n’est pas forcément une machine qui s’adresse à tous les publics. Pourtant, Microsoft semble être parvenu à vendre tous les exemplaires qui seront de stock pour le lancement du produit sur son site Internet, qui affiche une rupture complète des stocks. Plus impressionnant, le modèle haut de gamme, facturé à près de 2500$, était le premier à être en rupture de stock sur le site de Microsoft.Bien sûr, il est difficile de dire ce que cela représente. Contrairement à la Surface Pro, le Surface Book reste un produit de niche, et Microsoft n’en a probablement pas fabriqué des millions d’exemplaires. Néanmoins, le fait que tous les exemplaires soient vendus avant le lancement officiel du produit est plutôt bon signe pour la firme de Redmond, qui est parvenue à créer le buzz autour d’un produit qui, à défaut d’être révolutionnaire, s’impose comme la meilleure alternative au MacBook Pro.
En début d’année, nous vous parlions de Konrad Holubek, de son associé Vincent Canuel et de leur projet d’oreillettes connectées. Révolutionnaire, Elbee se définissait comme bien plus qu’une simple paire d’écouteurs. Les deux hommes lancent aujourd’hui une vaste levée de fonds sur KickStarter, avec l’objectif de lever plus de 250.000 dollars.Après Slidenjoy, une autre startup belge pourrait bien faire parler d’elle dans les médias internationaux. Ambitieux, leur projet d’oreillette connectée retient déjà l’attention des journalistes anglo-saxons. En l’espace de quelques heures seulement, les écouteurs de la startup belge ont déjà récolté 10% de l’objectif total, fixé à 250.000$.
Et sans surprise, c’est sur KickStarter que Konrad Holubek et on associé ont choisi de lancer leur campagne de crowdfunding. Si l’objectif paraît ambitieux, le jeune entrepreneur belge s’est donné les moyens de réussir. “Nous avons engagé une agence de communication pour la Belgique et une autre pour les Etats-Unis” explique-t-il. Mardi soir, ils organisaient également une “Release Party” à Bruxelles, où les invités pouvaient précommander le produit à un prix “avantageux.”L’accessoire conçu par le duo d’entrepreneurs attise également la curiosité des internautes. D’une part, parce que c’est la première paire d’oreillette que l’utilisateur peut retrouver facilement à l’aide d’une appli qui permet de localiser l’accessoire. Ensuite, parce que la startup bruxelloise a conçu un produit qui sort des sentiers battus. Contrairement aux autres écouteurs sans fil, Elbee ne se contente pas de faire office de kit main-libre et de jouer votre playlist à longueur de journée. Les jeunes entrepreneurs ont en effet conçu une paire d’oreillettes “vraiment” intelligentes qui permettent par exemple de contrôler certains objets de la maison à distance, sans devoir sortir le smartphone de sa poche, mais aussi de répondre à des appels, d’envoyer des SMS, d’identifier une chanson et même d’allumer ou éteindre les lampes de son appartement.