Le capteur d’empreintes digitales Touch ID a été une caractéristique qui a longtemps été suggérée pour voir le jour sur la prochaine génération de MacBook. Cependant, Apple peut travailler sur un moyen de se connecter à distance avec un iPhone.MacRumors rapporte que les ingénieurs d’Apple travaillent sur une telle fonctionnalité pour OS X 10.12, la prochaine version du système d’exploitation de bureau d’Apple. Au lieu d’avoir à taper des mots de passe tout le temps, l’iPhone sera censé envoyer un signal de déverrouillage grâce à la connectivité Bluetooth Low-Energy (LE) lorsque les utilisateurs appuient sur le bouton Touch ID de l’iPhone.L’Apple Watch utilise actuellement la même méthode de déverrouillage, de sorte que la firme de Cupertino pourrait utiliser la même méthodologie pour ses ordinateurs portables ou de bureau. Un combo Apple Watch-MacBook pourrait fonctionner d’une manière similaire. Néanmoins, une application nommée Knock offre une fonctionnalité similaire. Mais, elle nécessite une application qui doit être installée à la fois sur l’Apple Watch et le MacBook.
Ce dont on ne sait pas, c’est si le gestionnaire de mot de passe intégré d’OS X, le trousseau d’accès, va également interagir avec l’authentification distante Touch ID. Cependant, un accès facilité au Mac App Store semble être une évidence.Apple devrait montrer la prochaine version majeure de Mac OS X lors de sa prochaine conférence réservée aux développeurs qui aura lieu du 13 au 17 juin à San Francisco, avec un système d’exploitation lancé plus tard dans l’année, probablement dans le courant du mois de septembre ou d’octobre. Dès que nous aurons un peu plus de détails sur d’autres nouvelles fonctionnalités qui arriveront dans la prochaine version majeure de Mac OS X, je vous tiendrais informé.Vous pourrez déverrouiller votre prochain Mac avec le Touch ID de votre iPhone
En plus de dévoiler Mac OS X 10.12, Apple devrait également présenter iOS 10 lors de la WWDC. Les multiples rumeurs entourant les nouvelles fonctionnalités de Mac OS X 10.12 semblent suggérer que la dernière version du système d’exploitation d’Apple va obtenir un tas de nouvelles fonctionnalités. Mac OS X 10.11 El Capitan avait quelques nouvelles fonctionnalités, cette version était davantage axée sur la stabilité, les optimisations et les améliorations de performances.
Google croit que l’intelligence artificielle (IA) est l’avenir, si bien que la firme a commencé à faire ses propres processeurs pour permettre à ses algorithmes d’apprendre plus vite.En effet, le géant de recherche a dévoilé sa propre puce, créée spécifiquement pour faciliter les projets liés à l’apprentissage automatique (machine learning, en anglais) et à l’intelligence artificielle. La société nomme cette puce Tensor Processing Unit, ou TPU, en référence au fait qu’elle a été adaptée pour fonctionner avec son API TensorFlow dédiée à l’apprentissage automatique.Un article sur le blog publié par l’ingénieur Norm Jouppi révèle que le TPU a commencé comme un « projet furtif », il y a plusieurs années. La technologie a maintenant été mise en place dans les centres de données de Google pendant plus d’un an, et il semble que les puces offrent des avantages distincts par rapport aux processeurs standards.
Google a secrètement conçu son propre cerveau dédié à l'intelligence artificielle
Google affirme que son TPU offre des « performances optimisées pour l’apprentissage automatique ». Jouppi poursuit en affirmant que la puce est « à peu près équivalente à la technologie que nous verrons dans les sept années à venir ». Le TPU a été construit à partir de zéro, avec l’apprentissage automatique à l’esprit, utilisant une conception adaptée à la précision de calcul. Le processeur nécessite moins de transistors par opération, ce qui lui permet d’accomplir plus d’opérations par seconde.Google affirme qu’il n’a fallu que 22 jours à compter du premier test matériel du TPU pour mettre en œuvre les processeurs dans ses centres de données. La technologie a depuis été utilisée pour aider à améliorer les services les plus populaires de la société.Le TPU a apparemment contribué à améliorer la précision de Maps, et des aides à la navigation offertes par Street View, ainsi que la pertinence des résultats de recherche grâce à son application sur le projet RankBrain. TPU a également contribué à fournir au programme informatique AlphaGo la puissance dont elle avait besoin pour vaincre le champion du monde de Go, Lee Sedol, plus tôt dans l’année.
La populaire application Runkeeper, l’une des applications les plus prisées des joggeurs, a révélé garder un œil sur les utilisateurs alors que ces derniers ne le savaient pas. Mais, ceci était lié à un bug dans l’application, et ce n’était donc pas volontaire selon l’entreprise derrière l’application.Un article sur le blog de Runkeeper indique que le bug a été identifié dans un service de publicité tiers inclus dans l’application. Et, une nouvelle mise à jour de l’application a tout simplement corrigé cette faille. RunKeeper a écrit : « comme d’autres applications Android, lorsque l’application RunKeeper fonctionne en arrière-plan, celle-ci peut être réveillée par le dispositif lorsque certains événements se produisent – comme lorsque l’appareil reçoit une notification push Runkeeper ».Elle poursuit en mentionnant que, lorsque de tels événements réveillent l’application, le bug de l’application causait par inadvertance l’envoi de données de localisation au service tiers.
Le problème de suivi a été porté à l’attention de Runkeeper par le conseil des consommateurs norvégien (Norwegian Consumer Council) dans le cadre d’une vaste analyse de 20 populaires applications, et déterminant si les autorisations de celles-ci ne sont pas abusives, portant plainte officielle pour une violation des lois européennes sur la vie privée.Même si le bug touchait l’application Android, RunKeeper a également décidé de retirer le service tiers incriminé la version iOS de l’application. L’autorité des consommateurs norvégienne attend également que Runkeeper s’assure que le réseau publicitaire tiers supprime toutes les données de localisation collectées illégalement sur leurs serveurs.Les erreurs de ce genre mettent en évidence la façon dont nos informations peuvent se retrouver dans la nature après que des applications malveillantes ou non, recueillent en tout temps celles-ci. Ce scénario est très rare, mais si l’on ne peut pas faire confiance à une application avec 45 millions d’utilisateurs, que dire des autres applications ?
Quoi qu’il en soit, il est bon de savoir que des enquêtes de ce genre sont menées afin de savoir si nous devons ou non continuer à utiliser l’application incriminée.Qui l’aurait cru ? Les ventes de Chromebooks ont éclipsé celles de MacBook pour la première fois pour ce dernier trimestre. Bien que nous n’ayons pas de chiffres précis, les estimations de ventes de MacBook d’Apple à travers les États-Unis au cours des trois derniers mois — se terminant en avril, sont de 1 760 000 périphériques. Cela suggère que les multiples fabricants auraient vendu près de deux millions de Chromebooks.Comme avec les ventes de smartphones iOS versus Android, il est nécessaire de rappeler que seul Apple vend des MacBook, alors qu’avec les Chromebooks, vous avez les plus grands vendeurs de PC dans le monde poussant les différents modèles. Il y a Dell, HP, Lenovo et d’autres, avec leurs propres conceptions de Chromebook.
Mais, cela est encore la première fois que ce collectif a réussi à surpasser les efforts d’Apple.Bien sûr, ce serait bien d’avoir des chiffres précis à ce sujet, car il serait bon de pouvoir expliquer ce qui peut avoir causé un tel changement, et quelles sont les entreprises ayant vraiment bénéficié de la croissance de la vente de Chromebooks. Cela dit, l’International Data Corporation (IDC) a confirmé tout cela à The Verge.IDC a également mentionné que la plus grande raison pour laquelle les ventes de Chromebooks ont augmenté était liée aux écoles, qualifiant même ceci par « U.S. K-12 story ». En effet, les Chromebooks se sont révélés très populaires auprès des écoles, très probablement en raison de leur faible coût par rapport aux MacBook d’Apple, et la simplicité relative par rapport à Windows de Microsoft.Cependant, comme certains l’ont fait remarquer, il se peut que les Chromebooks n’aient pas été les seuls tributaires de la chute d’Apple. Au cours des dernières années, les partenaires de Microsoft ont réussi à commercialiser des périphériques très abordables, et inondant le marché du 2-en-1, notamment avec la gamme Surface. Si les Chromebooks arrivent sur ce marché, cela pourrait se révéler problématique pour Microsoft.
En effet, il sera intéressant de voir comment chaque entreprise répond à ces nouvelles. Nul doute qu’Apple et Microsoft scrutent de près ceci… Arriveront-elles à séduire les consommateurs reste une énigme. Alors que des rumeurs rapportent que Google pourrait abandonner Chrome OS, à la vue de ces chiffres, ce serait dommage…Les applications Android — de Microsoft Word à Hearthstone en passant par Firefox — arrivent prochainement sur les périphériques équipés de Chrome OS. Mais, vous aurez besoin d’un appareil relativement récent pour les utiliser.Google a dévoilé une liste des premiers Chromebooks, Chromebox, et d’autres ordinateurs sous Chrome OS qui offriront un support au Google Play Store et aux applications Android. Et pour la plupart, ce sont des dispositifs qui ont été lancés en 2014 ou plus tard.Autrement dit, les Chromebooks âgés semblent être mis à l’écart, et ne pourront même pas profiter de cet ajout, qui vient combler deux des plus grandes problématiques au sujet du système d’exploitation de bureau de Google : le manque d’applications et un meilleur support hors-ligne. Et, cela vaut même pour les propres produits de la firme de Mountain View, à savoir l’original Chromebook Pixel.