Ibrahim Farisi (27) avait, lui, été arrêté le 11 avril avec son frère Smaïl. Smail Farisi avait loué l'appartement de l'avenue de la Caserne à Etterbeek d'où sont partis Ossama Krayem en Khaled El Bakraoui le matin des attentats de Bruxelles et de Zaventem. Il utilisait également ce logement pour pouvoir toucher des allocations du CPAS et comme garçonnière, mais l'a également sous-loué à Khalid El Bakraoui. Après les attentats du 22 mars, Smail Farisi et son frère Ibrahim ont nettoyé l'appartement d'Etterbeek de fond en comble. Ali El Haddad Asufi et Youssef El Ajmi sont également soupçonnés d'avoir été en lien avec cet appartement. Interpellé le 9 juin 2016, Ali El Haddad Asufi aurait eu une fonction de logisticien lors de la préparation des attentats et aurait été en contact téléphonique avec plusieurs noms qui apparaissent dans le dossier. L'homme aurait également été en lien avec l'appartement de l'avenue de la Caserne, de même que Bilal El Makhoukhi. Son ADN a été trouvé sur un emballage vide de piles qui se trouvait dans le logement. Les piles auraient été utilisées lors de la confection des bombes qui ont explosé à Brussels Airport. Le testament audio d'Ibrahim El Bakraoui retrouvé dans un ordinateur portable non loin de la planque de la rue Max Roos à Schaerbeek, fait allusion à un certain 'Abou Imran', le nom de guerre qu'utilisait Bilal El Makhoukhi lors de son séjour en Syrie en 2012.
Youssef El Ajmi était quant à lui un ami d'enfance de Khalid El Bakraoui et Ali El Haddad Asufi. Il aurait également été en lien avec l'appartement d'Etterbeek où l'attentat commis à la station de métro Maelbeek a été préparé. Il travaillait en outre jusqu'il y a peu au service de catering de Brussels Airport, qui pourvoit en repas les avions. Des messages provenant d'une clé USB appartenant à Khalid El Bakraoui qui s'est fait exploser à la station de métro Maelbeek, ont été trouvés dans l'ordinateur d'Youssef El Ajmi. Un message faisait allusion au fait que des vols pour les Etats-Unis, la Russie et Israël décollaient chaque mardi de l'aéroport de Zaventem. Un autre message datant d'octobre 2015 annonçait "qu'un de nos frères passera à l'action le 22 mars".Dans le cadre du dieselgate, D'Ieteren a mis a jour quelque 31.000 véhicules des marques du groupe Volkswagen, alors que 70.000 convocation ont été envoyées aux propriétaires concernés. Chez l'importateur, on voudrait bien améliorer cette performance.
Dans une "lettre ouverte" publiée ce mardi après-midi, Denis Gorteman, partron de D'Ieteren Auto, importateur belge des marques du groupe Volkswagen, défend "l'utilité des actions de rappel" des véhicules organisées par les constructeurs. Celles-ci peuvent être obligatoires pour le propriétaire, lorsque la sécurité ou l'environnement sont en jeu. Des voitures peuvent être rappelées pour airbags, fermetures des portes, freins, pot catalytique défectueux. Mais, dans le cadre du "dieselgate", le groupe Volkswagen a initié une action de mise à jour du logiciel truqueur, et force est de constater que, malgré les envois de courriers aux propriétaires des véhicules concernés, tout le monde ne se présente pas faire la mise à jour.Actuellement, sur 70.000 courriers, concernant autant de véhicules, 31.000 voitures ont suivi l'action de rappel et leur logiciel a été corrigé.Bien sûr, certains voitures ont été vendues, parfois à l'étranger et sont donc sorties des fichiers. Mais pour les autres? Dans le cadre de cette mise à jour, consécutive au dieselgate, Volkswagen insiste sur le fait qu'il n'y a d'impact ni sur la sécurité, ni sur les performances des véhicules. Par contre, lorsque le véhicule sera vendu à un tiers, ce dernier ne peut être assuré qu'il acquiert une voiture suivant totalement les prescriptions du constructeur, donc théoriquement au top. D'où l'action de sensibilisation menée par D'Ieteren Auto, qui verrait bien ces programmes de mises à jour contrôlés par un organisme indépendant, lors du passage au contrôle technique par exemple, et recensé dans le Car Pass.
La mise en conformité des véhicules concernés par le « Dieselgate » bat son plein et des milliers de voitures ont déjà été rappelées. Nos invitations successives par courriers, nos communications par voie de presse et par internet tentent de convaincre la totalité des utilisateurs des voitures concernées de réaliser la mise à jour prévue. Nous sommes toutefois conscients que le taux de 100% de mises à jour risque de ne pouvoir être atteint et qu’en conséquence, un nombre encore indéterminable de voitures continueront à circuler sans avoir bénéficié de cette action.Il est vrai qu’il ne s’agit nullement, dans ce cas-ci, d’un problème lié à la sécurité et, rappelons-le, la mise en conformité ne change rien au niveau d’aspects sensibles comme le comportement routier, les performances, la consommation ou les émissions de CO2 des véhicules concernés.
Ceci ne nous empêche pas de mener une réflexion plus large sur l’ensemble de la problématique des actions organisées par les constructeurs.Ces actions, courantes dans le domaine automobile, apportent une réelle valeur ajoutée au client. Elles permettent de corriger un défaut découvert après la phase de développement d’un produit, de préserver la sécurité d’utilisation, d’éviter les accidents ou tout simplement de maintenir le produit à jour et sans défauts. Ceci à l’instar de ce qui se fait pour un ordinateur ou un téléphone portable par exemple. Ces actions menées pro-activement par les services après-vente des constructeurs apportent une plus-value à la voiture et la garantie au client qu’il dispose d’un produit sûr et mis à jour gratuitement. La plupart des actions de ce genre sont d’ailleurs bien suivies par notre clientèle qui y voit un intérêt évident.
Mais il faut bien constater qu’une partie des conducteurs ne donne pas suite à ces actions, y compris aux actions de rappel, avec comme conséquence que certains véhicules en circulation peuvent présenter des risques liés à la sécurité (comme les freins ou les airbags par exemple). Plus interpellant encore, ces véhicules peuvent également être revendus sans que l’acheteur ne soit informé de ces risques.Comment convaincre les utilisateurs que toutes les actions de rappel sont importantes et doivent être réalisées ? Comment d’autre part garantir que les véhicules que nous croisons sur nos routes soient sûrs et correctement entretenus ?Lors de mon audition devant la Commission parlementaire « Dieselgate » l’année passée en décembre, j’avais formulé une série de recommandations et, entre autres, plaidé pour un contrôle obligatoire des actions de rappel sur base régulière et par un organisme indépendant. Cette vérification obligatoire pourrait avoir lieu lors du passage au contrôle technique et figurer dans le Car-Pass par exemple. Cela offrirait la garantie au propriétaire du véhicule de disposer d’un produit conforme aux prescriptions du constructeur et d’améliorer la sécurité sur nos routes.
En France, où vivent Philippe Bihouix et Karine Mauvilly, les auteurs du plaidoyer choc, l’école numérique a pris un sérieux coup d’accélérateur. Objectif : un outil numérique par élève d’ici 2018.Chez nous, on n’en est pas là. Cependant, le ministre Jean-Claude Marcourt, vice-président des gouvernements de la Wallonie et de la Fédération Wallonie-Bruxelles, également en charge de l’Enseignement supérieur et du Numérique, a fait de l’école numérique une priorité de rentrée. Objectif à terme : WiFi et équipements mobiles dans toutes les écoles wallonnes.Dans la Silicon Valley, pendant ce temps, les grands patrons ne se cachent pas d’inscrire leurs enfants dans des écoles sans écrans. Google, Yahoo, Apple, eBay, Twitter : tous paient cher pour offrir à leurs bambins des salles de classe "à l’ancienne", avec craies et tableau noir. Pour le moins interpellant. Signe de leur méfiance ? Cette polémique est l’une des plus vives qui agitent le petit monde de l’enseignement depuis près de vingt ans aux Etats-Unis.
Philippe Bihouix n’en est pas à son coup d’essai. Dans la même lignée que l’ouvrage présenté ici, il a publié en 2014 "L’Age des low tech, vers une civilisation techniquement soutenable" (Seuil, Prix de la Fondation pour l’Ecologie politique), un livre dans lequel il démonte les mirages des innovations high tech dont il suggère de prendre le contre-pied en se tournant vers les "basses technologies". Cet ingénieur centralien de 44 ans a travaillé dans différents secteurs industriels comme ingénieur-conseil ou à des postes de direction. Spécialiste de la finitude des ressources minières et de son étroite interaction avec la question énergétique, il cosignait aussi en 2010 "Quel futur pour les métaux ?" (EDP Sciences). Il a deux enfants.Adel Kermiche et Abdel Malik Petitjean, les deux tueurs de Saint-Etienne-du-Rouvray, ne se seraient rencontrés que quatre jours avant la tuerie qui a coûté la vie au prêtre Jacques Hamel. Et cette rencontre n’était, dans un premier temps, que virtuelle : le second aurait rencontré le premier via la chaîne mis en place grâce l’application Telegram.
Telegram, que l’on dépeint comme "l’application préférée des djihadistes", n’est qu’une des méthodes utilisées pour communiquer de manière secrète via son téléphone portable. Ses fonctionnalités rappellent celles de Facebook Messenger ou encore de WhatsApp. Elle s’en distingue par les "chaînes" qu’elle permet d’établir, qui peuvent être suivies par de nombreux utilisateurs.Mais Telegram n’est pas utilisée que par des personnes mal intentionnées. L’anonymat de l’application n’est pas complet car les comptes créés sont liés au numéro de portable de l’utilisateur.Si l’on a installé l’application sur son GSM, on découvre, en ouvrant Telegram, tous les numéros de son propre répertoire qui ont aussi un compte Telegram. "La Libre Belgique" a fait l’expérience : les avocats - spécialisés dans des matières qui n’ont rien à voir avec le terrorisme - ou encore quelques rares politiques ne sont ainsi pas les derniers à utiliser Telegram.Pour feuilleter depuis sa tablette, son portable ou son smartphone tous les numéros du célèbre hebdo people, culture et société.
Elle McPherson qui pose comme un top model dans un shooting très spécial, le mystère Dupont de Ligonnès décortiqué 5 ans après, Madonna et les retrouvailles avec son fils Rocco mais aussi la frimsousse du fils de Julie Taton... Stars, grandes affaires, coulisses politiques : tout se trouve dans les pages de Paris-Match Belgique, l'hebdomadaire people et société. Good news : Paris Match Belgique lance ce jeudi 21 avril sa nouvelle application digitale pour lire toutes les infos people mais aussi société, politique ou encore culture et shopping depuis ses appareils mobiles (ou son ordinateur).
Concrètement, on pourra feuilleter en PDF les numéros du magazine de son choix pour 1,99€. L'abonnement d'un mois sera à 4,99€ et pour un an, ce sera 54,99€.Facile et pratique, il n'y a qu'à s'abonner en quelques clics! Et comme le mieux est d'essayer, le premier numéro est offert. Toutes les infos se trouvent sur parismatchbelgique.beTout comme plus de 12.000 Belges, Sebastian, Felipe, Branko, Filiep, Jonas et Sven s’étaient rendus à l’Euro dans l’idée de vivre une aventure inoubliable. Mais arrivés à Bordeaux, ils ont vécu un cauchemar : tout leur a été volé. Y compris leur toute nouvelle Multivan Volkswagen Caravelle d’une valeur de 70.000 euros, qui n’avait que quelques milliers de kilomètres au compteur.
Sebastian : "On s’était garé sur un parking avant Bordeaux, au bord d’un bois, où on pensait dormir dans nos tentes. Vu qu’on allait boire un verre, on préférait prendre les transports en commun pour nous déplacer dans le centre-ville. En revenant au parking, le minibus avait disparu. On pensait qu’on s’était trompé d’endroit, mais on a tout compris quand on a retrouvé des débris de verre."Le minibus était rempli d’objets de valeur. Sebastian : "Moi, j’avais laissé 450 euros à bord. D’autres des cartes visa. Il y avait une caméra GoPro, des ordinateurs du boulot, des cartes de banque, et évidemment tous nos vêtements. Il nous reste une seule carte de banque et nos portables. On nous a volé plus de 1.000 euros en argent liquide et plus de 5.000 euros en objets."La police essaie de retracer les voleurs. "Ils ont essayé d’utiliser nos cartes bancaires, mais nous les avons bloquées. La police essaie également de voir s’ils n’ont pas abandonné le minibus quelque part. Jusqu’à présent, rien n’a été retrouvé."
- (cliquez ici pour suivre le lien)
- (cliquez ici pour suivre le lien)
- (cliquez ici pour suivre le lien)