NON, Microsoft Edge ne va pas arriver avec un bloqueur de publicités
Malheureusement, pour ce qui est du bloqueur de publicités, ce ne sera pas le cas. Peu de temps après la publication de ZDNet, l’ingénieur de Microsoft Edge, Jacob Rossi, est allé sur Twitter pour démystifier celle-ci. « Nous ne construisons pas un bloqueur de publicités en natif au sein de Microsoft Edge, mais nous allons offrir un support aux bloqueurs de publicité tiers comme AdBlock et AdBlock Plus », dit-il.En plus des extensions du navigateur, la diapositive de la Build 2016 révèle que Microsoft Edge va voir Bing Translator poussé dans le navigateur. Le géant de Redmond travaille également en permanence sur les problèmes de rendu des sites Web au sein du navigateur. L’entreprise travaille également pour faciliter la gestion et l’organisation des favoris dans la nouvelle version.
Jusqu’ici, le navigateur Web de Microsoft, Internet Explorer, utilisait les listes de protection contre le tracking pour protéger votre vie privée lorsque vous naviguez sur le Web. Cette fonctionnalité permet aux utilisateurs de choisir les sites tiers qui peuvent recevoir ou non leurs informations, et les suivre en ligne. Lors de l’ajout d’un site à cette liste, les utilisateurs bloquent le contenu qui peuvent compromettre leur vie privée, ainsi que les ennuyeuses publicités incluses.
Opera a quant à lui annoncé son bloqueur de publicités natif. Puisque le blocage des publicités a lieu au niveau du moteur, le processus est beaucoup plus rapide que lors de l’utilisation d’une extension du navigateur. Cette fonctionnalité est désactivée par défaut (car, après tout, l’Internet se développe sur les revenus publicitaires). Les utilisateurs ont simplement besoin de cliquer sur l’icône représentant un bouclier pour activer ou non le blocage des publicités pour un site dédié.
Apple a introduit la possibilité d’installer des extensions dans Safari avec la sortie d’iOS 9. Les développeurs tiers sont désormais autorisés à développer et vendre des plug-ins pour le navigateur mobile sur l’App Store. Ce fut un énorme changement de la part d’Apple.
La suppression de la publicité dans l’expérience de navigation signifie un environnement potentiellement plus sûr, tout en consommant moins de données sur les appareils mobiles. Et bien sûr, les temps de chargement sont plus rapides. Bien que ne pas voir Microsoft Edge arriver avec un bloqueur de publicités puisse être un peu décevant pour certains, les bonnes nouvelles sont que les extensions pour le blocage de publicités arrivent. Nous allons probablement en entendre plus sur les extensions prochainement.Le 30 mars, lors de l’ouverture de la keynote Build 2016, le PDG de Microsoft, Satya Nadella a évoqué les « conversations comme une plate-forme ». Cela signifie que les conversations entre deux personnes ou plus, entre les personnes et les assistants numériques, et entre les personnes et les bots, qui sont des applications intelligentes où les humains peuvent converser avec.Finalement, cette plate-forme comprendra la communication entre les bots et des assistants numériques.Dans sa présentation, Nadella a également rappelé que Cortana est centré sur l’utilisateur, et non les appareils. Cela dit, Marcus Ash, de l’équipe Cortana, est monté sur scène et a révélé qu’un million de questions vocales sont ingurgitées quotidiennement par Cortana. Les bonnes nouvelles sont que l’assistant personnel de Microsoft recevra une mise à niveau « Anniversary Update » prévue cet été (aka Redstone 1), qui va notamment vous permettre de fonctionner plus étroitement avec Office.
En plus d’améliorer l’intégration d’Office, Cortana aura également la possibilité de suivre les détails de la géolocalisation sur les appareils compatibles Cortana. Ash a expliqué que Cortana va aussi compter sur une « équipe d’experts » qui sont essentiellement des apps fonctionnant dans l’écosystème Cortana. Ash a également partagé que la version de Cortana dans la mise à jour « Anniversary Update » sera disponible dans 13 pays cet été. Cependant, Cortana Developer Preview est disponible dès maintenant, afin que les développeurs puissent commencer à travailler avec les nouvelles fonctionnalités.Dans la présentation de Skype, Cortana va également jouer un rôle majeur dans l’avenir du populaire client de messagerie instantanée de Microsoft. L’assistant virtuel sera situé dans le coin supérieur droit de l’application.Dans une démonstration, Cortana a envoyé à l’utilisateur un message privé sur Skype pour demander où un livreur doit déposer un colis. Depuis Skype, la démo a également montré que l’utilisateur a pu réserver un créneau dans l’agenda d’un ami lors d’un voyage à Dublin. Elle était même capable de réserver un hôtel en utilisant un bot du Westin Hôtel sur Skype, et a reçu une suggestion de Cortana pour aller voir un autre ami également à Dublin.En s’éloignant de Cortana, la keynote Build 2016 a révélé que l’intelligence est également injectée dans la vidéo en temps réel grâce aux bots Skype Video. Cela dit, les développeurs ont désormais accès au Skype Bot Platform SDK. En outre, la dernière application Skype pour le grand public donnera accès aux bots Skype.
Aussi mentionné au cours de la session, le Microsoft Bot Framework SDK. Ce dernier permettra aux développeurs de créer plus facilement des bots sécurisés qui peuvent communiquer entre eux. Le SDK fournit un chat réutilisable qui peut être inséré dans des pages Web pour tester le bot. Il y a aussi le Bot Builder SDK, qui va accélérer le processus de développement.Dans une démonstration, Lili Cheng a révélé quelques outils du Bot Framework pour la construction de règles en langage naturel. D’un simple clic de souris, les développeurs peuvent développer un dictionnaire pour un simple verbe. Ils peuvent même enseigner à un bot de comprendre l’argot. Si le bot ne comprend pas ce que l’utilisateur final tente de communiquer, il peut faire appel à une personne réelle pour résoudre le problème afin qu’il puisse correctement terminer la commande. À titre d’exemple, si le bot ne comprend pas ce que vous voulez sur la pizza, il peut alerter un employeur pour corriger la commande avant de la passer.La plate-forme contient un langage naturel en back-end qui vous aidera à comprendre ce que l’utilisateur final demande. Il peut également présenter aux développeurs ce qu’il sait au sujet d’une demande d’un l’utilisateur, afin que le développeur puisse modifier ce que le bot reconnaît et comment il répond en temps réel. Cette plate-forme sera disponible pour des applications telles que Slack, SMS, Skype, et plus encore.
Enfin, Cornelia Carapcea est montée sur scène pour parler des services cognitifs de Microsoft disponibles depuis ce lien. À ce jour, 22 API Cognitive Services sont disponibles pour les développeurs, parmi lesquelles on retrouve Search, Vision, Language et bien d’autres. Cette plate-forme permettra de relier un certain nombre de capacités de Microsoft, et des services de « machine learning » (apprentissage automatique).Dans un exemple fourni par Carapcea, l’API Vision a été utilisée pour reconnaître des images dans une photographie juste capturée. Dans une autre démo, un CaptionBot était capable d’ajouter une drôle de légende à toute image récupérée depuis Bing sans aucune connaissance préalable de cette image. Une autre démonstration a permis depuis une piste audio de mauvaise qualité de correctement traduire les paroles dans un fichier texte en utilisant un processus nommé CRISP.La keynote a pris fin sur une bonne note, montrant une vidéo d’un développeur londonien nommé Saqib Shaikh. Ce dernier a conçu une application qui est capable de décrire de manière audible les gens et les lieux qui l’entourent. Ce dernier a été aveugle depuis l’âge de 7 ans, et cette application est conçue non seulement dans une paire de lunettes, mais également sur son smartphone. Cela signifie qu’il peut prendre des photos de ses environs, et l’application va automatiquement reconnaître ce qui l’entoure pour décrire ce qu’elle voit.
Depuis un certain temps maintenant, les Chromebooks de Google ont été vendus comme une alternative abordable aux plus chers PC sous Windows. Simpliste par la conception, ils ont toujours sembler cibler ceux qui sont moins familiers avec les tenants et les aboutissants d’un système d’exploitation de bureau approprié.En conséquence, lorsque Google a lancé sa première génération de Chromebook Pixel en 2013, beaucoup ont été déconcertés par le prix d’entrée des 1 300 dollars. Bien sûr, maintenant il est plus abordable puisque vous allez pouvoir l’acheter pour la « modique » somme de 999 dollars, mais quand même, il n’a rien avoir avec ce que l’on retrouve aujourd’hui sur le marché dans la même gamme de prix. Mais, il semble qu’une version mise à niveau du Chromebook Pixel plus robuste soit sur le point de voir le jour.Ces nouvelles informations émanent de Jacob Gwiazdzinski qui a découvert un fil de discussions autour de Chromium OS de Google, le nom de code « chell », qui semble être un modèle de Chromebook Pixel de nouvelle génération, où l’on va retrouver la bande de LED — un composant phare dans chaque dispositif Pixel commercialisé à ce jour.
Du côté des spécifications, le périphérique connu sous le nom de code « shell » dispose d’une impressionnante quantité de 16 Go de mémoire vive (RAM), un processeur Intel Skylake, et un clavier rétroéclairé.Bien que tout cela semble tout à fait fascinant, ce qui est plus intéressant est la question de savoir si oui ou non ce Chromebook Pixel offrira quelque chose d’un peu plus appétissant qu’un système d’exploitation complet basé autour d’un navigateur Web. Cela est particulièrement intéressant après les innombrables rumeurs suggérant une convergence entre Android et Chrome OS.Si ces informations sont authentiques, un Chromebook vendu plus de 1 000 dollars pourrait finalement correspondre à la réelle valeur du produit. Mais là encore, tout dépend de ce que le système d’exploitation est, et comment il fonctionne sur un ordinateur portable classique. La Pixel C était un pas en avant pour dynamiser le marché du Chromebook de Google, mais n’a pas été exactement une solution portable idéale en soit.Le nouvel iPhone SE de 4 pouces d’Apple est maintenant en vente. C’est donc une excellente nouvelle si vous avez envie de mettre la main sur le petit smartphone d’Apple. Si ce nouvel iPhone ne va pas réussir à convaincre tout le monde, il est une bénédiction pour les fans d’Apple qui ne veulent pas acheter l’un des plus grands modèles disponibles, à savoir l’iPhone 6, 6S, 6 Plus et 6 S Plus.
Comme vous avez pu le lire sur le BlogNT lors de son annonce, l’iPhone SE emprunte le même design, l’écran, la caméra face de 1,2 mégapixel et le capteur Touch ID que l’ancien iPhone 5S. Mais, il a été remis au goût du jour.Apple a également réussi à caser son processeur Apple A9, son coprocesseur de mouvement M9 et sa caméra iSight de 12 mégapixels que l’on a découverts sur l’iPhone 6S dans l’iPhone SE — lui donnant ainsi un petit coup de pouce par rapport au modèle qu’il remplace.Un autre « point fort » de cet iPhone SE est son prix. Bien qu’il ne soit pas le prix que l’on pourrait avoir sur un smartphone d’entrée ou de milieu de gamme sur Android, le nouveau smartphone d’Apple reste très abordable, comparé à ses modèles les plus chers.En effet, si vous optez pour un modèle nu, c’est-à-dire sans abonnement à un opérateur mobile, vous allez devoir débourser 489 euros pour le modèle de 16 Go, tandis que la variante de 64 Go vous coûtera 589 euros — je vous laisse vous faire votre propre idée si le prix est raisonnable ou non. À noter que si vous optez pour un achat chez un opérateur, le smartphone devrait être beaucoup plus abordable.