Facebook testerait ces nouvelles fonctionnalités à un nombre limité d’utilisateurs avant d’éventuellement les pousser au reste d’entre nous, rapporte TechCrunch. Et, ce n’est pas la première fois que le géant bleu copie Snapchat.Facebook a déjà emprunté des idées de Snapchat (le CEO de Facebook, Mark Zuckerberg, a essayé d’acheter Snapchat en 2013), mais cette mise à jour concerne l’outil de caméra intégré directement dans la principale application de Facebook. Elle est conçu pour rendre le partage « rapide, amusant et flexible », selon le directeur de produit Camera, Sachin Monga.Ceci est en fait une version adaptée de la fonctionnalité que Facebook a testée pendant les Jeux olympiques 2016 à Rio. Quoi qu’il en soit, la fonctionnalité semble beaucoup plus souple, et surtout prête pour une adoption de masse, que la transformation des vidéos par des filtres semblables à ceux de Prisma que nous avons vu il y a quelques jours.Après avoir créé une photo ou une vidéo, vous pouvez l’envoyer à votre flux d’actualité, ou directement à certains de vos contacts, qui ont alors 24 heures pour la regarder. Chaque message peut être affiché une fois avant qu’il ne disparaisse, mais tout comme Snapchat, il y a une option de lecture limitée.
Le Yumi n’est pas le premier appareil de cette catégorie. ASUS a également dévoilé son propre robot à commande vocale au prix de 599 dollars nommé Zenbo, et le robot compagnon Buddy vous permet de piloter la maison connectée Somfy. Ce dernier coûtera 645 euros pour le modèle d’entrée de gamme.La semaine dernière, Microsoft a annoncé la Surface Dial, un nouveau périphérique de saisie destiné à compléter les capacités de la gamme Surface en constante expansion. Maintenant, Microsoft a offert de nouvelles informations sur la façon dont la Dial fonctionne, ainsi que les premières applications qui vont offrir un support au produit lors de son lancement.Comme prévu, la plupart des propres offres logicielles de Microsoft seront parmi les premières applications à tirer parti de la fonctionnalité de la Dial. Que ce soit le système d’exploitation Windows, la version Universal Windows Platform (UWP) de OneNote, Groove Musique, Microsoft Photos, Windows Cartes, Pew Pew, et les versions Win32 de Microsoft Office, PowerPoint et Excel sont tous prêtes, selon MS Power User.Les applications d’esquisse et de dessin constituent un autre grand secteur des applications qui seront compatibles avec la Dial au lancement. Que ce soit les applications Microsoft Paint, Plumbago et Sketchpad, Mental Canvas Player et Sketchable vont toutes les deux apporter des fonctionnalités supplémentaires avec la Dial.Au-delà ces dernières, il y a la suite d’animation Moho 12, les outils de création de PDF, Revu et Drawboard PDF, et l’application d’éditeur de partitions tactile, StaffPad. Le service de musique en streaming Spotify a également promis un support pour la Surface Dial, sans doute pour augmenter/baisser le volume dans un premier temps.
Le périphérique pourrait offrir un large éventail de fonctionnalités. Bien que sa mise en œuvre principale soit liée à l’affichage d’un menu lorsque la main est posée dessus, les utilisateurs peuvent faire tourner la molette, et l’utiliser comme un aiguilleur, tout en recevant de la rétroaction tactile. Lorsque le dispositif est utilisé en tandem avec le Surface Studio, il peut même signaler sa position sur l’écran.Surface Dial : idéale pour les artistesSurface Dial : idéale pour les artistes
Néanmoins, un grand nom manque à l’appel : Adobe. Avec de premiers échos positifs, nul doute que le géant derrière la grande suite graphique dont InDesign, Acrobat, Photoshop, Illustrator doit étudier la chose à l’heure actuelle. Espérons que cela ne tarde pas trop…La Surface Dial est compatible avec la Surface Pro 4, le Surface Book, et les dispositifs Surface Studio qui exécutent Windows 10 Anniversary Update. Les précommandes sont ouvertes pour un prix de 99,99 dollars.Dans une récente interview accordée à CNET, le chef de la direction de conception d’Apple, Jony Ive, a rapporté que la Touch Bar qui figure dans le nouveau MacBook Pro d’Apple est « le début d’une direction très intéressante » pour Apple.
La semaine dernière, Apple a dévoilé son nouveau MacBook Pro, et sa nouvelle caractéristique de saisie, la Touch Bar. Incrustée en haut du clavier où nous sommes habitués à voir les touches de fonction, la barre tactile est un mince écran OLED multi-touch qui affiche un menu et des boutons qui changent en fonction de l’application utilisée.Dans son interview, Ive révèle que l’inclusion de la Touch Bar a été portée par le désir de « reconnaître la valeur » des claviers traditionnels et des saisies tactiles plus modernes. Pour ce faire, vous disposez de quelque chose de « contextuellement spécifique et adaptable », ainsi que « mécanique et fixe ».Il semble que ce soit une idée assez simple, mais selon Ive, la Touch Bar est le résultat de deux années de développement qui à l’origine est lié à l’idée d’avoir un « trackpad haptique plus riche et plus grand ». Considérant qu’Apple n’a jamais montré jusqu’ici un intérêt à inclure un écran tactile pour sa gamme de MacBook Pro, la Touch Bar est une démarche intéressante, et elle est « l’un d’un certain nombre de prototypes », que Ive et son équipe ont passé beaucoup de temps à explorer.
La Touch Bar est un composant "iOS"La Touch Bar est un composant « iOS »
En ce qui concerne les écrans multi-touch eux-mêmes, il ne faut pas s’attendre à voir cette caractéristique dans la gamme de MacBook Pro. Ive a révélé que si Apple a exploré cette idée il y a plusieurs années, il « n’a tout simplement pas l’impression qu’il [Mac] est le bon endroit pour cela ».Bien que cela semble être une simple addition au MacBook Pro (par rapport aux rumeurs d’écrans tactiles, aux claviers amovibles), la Touch Bar pourrait se révéler être une option pratique pour les utilisateurs. Et, il sera intéressant de voir où Ive et son d’équipe vont aller par la suite.Les yeux sont un gage de sécurité comme beaucoup le pensent. Pour le LG G6, ces yeux pourraient être une caractéristique phare pour sécuriser au mieux votre futur smartphone.En effet, il est spéculé que le futur dispositif phare de LG mettra en exergue un scanner d’iris intégré en façade. Un module de reconnaissance d’iris est en développement chez LG Innotek, le bras droit de conception de composants de LG, a confirmé la société à GSM Arena, lors d’une annonce l’occasion du Korea Electronics Show de Séoul.
Cela ne signifie pas nécessairement que l’on finira par voir ce composant dans le LG G6, mais il y a une réelle possibilité que celui-ci soit intégré. De plus, cette technologie manque dans le LG G5, de sorte que LG pourrait enfin l’intégrer pour le G6, dans le but d’attirer de potentiels consommateurs soucieux de leur vie privée et leurs données.Le Galaxy Note 7 apportait un scanner d'iris, une première pour SamsungLe Galaxy Note 7 apportait un scanner d’iris, une première pour Samsung
Un autre smartphone phare, le défunt Galaxy Note 7 de Samsung, a embarqué un scanner d’iris qui repose sur un composant dédié pour capturer le regard d’un utilisateur. Ce dernier trouve sa place aux côtés de la traditionnelle caméra frontale. On s’attend à quelque chose de semblable sur le Galaxy S8, ainsi que d’autres constructeurs.Bien qu’intéressant, le module de LG va apparemment fusionner ces deux composants en un seul, avec une sorte de filtre. Cela permettra d’économiser l’espace dans le dispositif, ce qui est toujours important pour les constructeurs afin de rendre leur dispositif plus mince.
Actuellement, on ne sait pas quand le LG G6 va être lancé au grand public, mais avril 2017 semble raisonnable étant donné le penchant du fabricant coréen à présenter ses smartphones à cette période. Nul doute que les fuites vont se poursuivre dans les mois à venir…Chaque fois qu’un nouveau dispositif est introduit, les bidouilleurs d’iFixit désossent le périphérique en question pour voir comment il est conçu. Alors que l’industrie a évolué pour offrir des périphériques de plus en plus minces, iFixit trouve assez souvent qu’un produit est si étroitement fait que la réparation pour l’utilisateur — et souvent le constructeur — est une impossibilité absolue.Les produits d’Apple ne sont pas différents, et avec l’introduction d’une nouvelle gamme de MacBook Pro, iFixit a sorti ses tournevis et s’est mis au travail pour démonter le MacBook Pro sans la fameuse Touch Bar. Ce qu’ils ont découvert est une machine qui, comme d’habitude, est très difficile à réparer.
Dans l’ensemble, iFixit a décerné une note de réparabilité de 2 sur 10 pour le nouveau MacBook Pro, ce qui signifie que la machine ne sera réparée par personne, hormis le fabricant (et encore). Le score a obtenu une note assez basse du fait qu’Apple utilise toujours ses vis Pentalobe « non standard », qui rendent l’ouverture du châssis quelque peu complexe. En outre, la batterie est hermétiquement collée au châssis, ne facilitant pas son remplacement. La mémoire vive (RAM) est directement soudée sur la carte mère, et ne sera donc pas extensible — si vous voulez l’étendre, il faudra le faire avant l’achat, et donc faire grimper la note.MacBook Pro : le SSD PCIe pourra être retiré au besoinMacBook Pro : le SSD PCIe pourra être retiré au besoin
iFixit note que le SSD PCIe est amovible, et est donc un point positif pour toute personne qui voudrait davantage de stockage. De plus, la batterie de 54,5 watts est 27 % plus petite que le précédent MacBook Air. Cependant, cette capacité est nettement plus grande que le MacBook Air avec la Touch Bar, qui dispose d’une batterie de 49,2 watts. Bien qu’Apple affirme une même autonomie de 10 heures avec les nouveaux modèles, celle-ci est équivalente aux itérations de l’année dernière. On peut donc imaginer que l’on aurait pu avoir une plus grande longévité, si Apple avait maintenu une épaisseur semblable.
MacBook Pro : pour retirer la batterie il faudra faire chauffer la colleMacBook Pro : pour retirer la batterie il faudra faire chauffer la colle
Sinon, le démontage n’a révélé aucune surprise. La construction du MacBook Pro semble correspondre à la qualité premium d’Apple, avec une conception très précise et minutieuse – entraînant incontestablement cette note de 2/10. Si vous optez pour ce nouveau modèle, il faudra se rendre à l’évidence que ce dernier ne sera pas extensible.Quelques mois seulement après avoir été acquis par Pinterest, Instapaper va pousser son abonnement premium gratuit pour tous. Cela signifie que tout le monde aura accès à quelques fonctionnalités intéressantes sans aucun coût supplémentaire.Fondée en 2008, Instapaper permet la sauvegarde des articles en ligne pour les lire plus tard, et offre une interface sobre et amputée de l’encombrement et le formatage que l’on retrouve sur les pages Web. Instapaper Premium coûtait auparavant 3 dollars par mois (ou 30 dollars par an).
Parmi les fonctionnalités d’Instapaper Premium, vous allez retrouver la recherche en texte libre (full text) pour tous les articles, la possibilité d’ajouter des remarques de façon illimitée, avoir une vitesse de lecture illimitée, disposer de playlists de texte à la voix (text-to-speech), d’envoyer à un Kindle et à des applications mobiles des bookmarks, ou encore disposer d’un site sans publicité. Sachez également qu’Instapaper est disponible pour iOS et Android.Instapaper Premium passe au 100 % gratuit !Instapaper Premium passe au 100 % gratuit !
Les abonnés actuels d’un compte premium recevront un remboursement au prorata « dans les prochaines semaines ».Cette mesure fait partie de la stratégie de Pinterest pour être plus que juste un endroit pour recueillir non seulement du contenu visuel, mais également des articles et du texte. La société a démarré dans cette perspective lorsqu’elle a ajouté la possibilité d’ajouter des articles à sa plate-forme en 2013. Mais, l’acquisition d’Instapaper, et de rendre toutes ses fonctionnalités libres, suggèrent qu’il y a encore plus à venir.